Alex Winston : Sister Wife

En concert le 16 février au Nouveau Casino

Soirée Custom

Le mini-album « Sister Wife«  d’Alex Winston, produit par les New Yorkais The Knocks (connus pour leurs remixes de Passion Pit et Katy Perry notamment), et le londonien Charlie Hugall (Florence and the Machine), aborde des sujets tels que l’ambivalence personnelle, la polygamie, l’écriture sous l’emprise de substances.

Alex Winston a tout juste 7 ans lorsqu’on lui offre sa 1ère guitare.

Et lorsque son père propose à son frère ainé, peu enthousiaste, des cours de musique, c’est Alex qui saisit l’occasion. Dès lors, la petite fille passe des heures dans le sous-sol de la maison familiale à perfectionner ses accords et son jeu.

Elle écoute notamment les songwritters Carole King et Laura Nyro, et sera aussi profondément marquée par l’histoire musicale de sa ville natale, Détroit. Alex écoute le rock d’Iggy Pop and the Stooges, The MC5 et les légendes de la Motown. Et quand l’occasion de partir en tournée aux USA se présente, elle quitte la fac sans trop d’hésitation. Cette tournée l’amènera à jouer en 1ère partie de Chuck Berry à St Louis : un jour inoubliable pour la jeune artiste !

Début 2010, Alex s’installe à New York et commence à travailler sur un EP. Il est produit par les New Yorkais The Knocks (connus pour leurs remixes de Passion Pit et Katy Perry notamment), et le londonien Charlie Hugall (Florence and the Machine).

Ce mini-album aborde des sujets tels que l’ambivalence personnelle, la polygamie, l’écriture sous l’emprise de substances … et davantage encore…

La sortie de l’EP, prévue le 7 février en digitale et le 7 mars en physique, sera précédée d’une vidéo pour le 1er single « Locomotive ».

Ecouter :

Dont care about anything

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Fingers and Toes

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Lucie Bernardoni : Mélancosmiaque

Lucie Bernardoni

Nouvel album : Mélancosmiaque

Son premier single « Il faut d’tout pour faire un monde » sort en juin 2010 et lui permet de dévoiler son style aux médias et au public avec une comptine presque enfantine. S’en suit « Juste mon Homme », une chanson sur l’Amour accompagné d’un clip sulfureux qui aura fait parler de lui (plus de 300.000 vues en ligne). Son disque « Mélancosmiaque » est à l’image de ces deux titres: un recueil d’histoires pour chaque moment de la vie. Un album qui s’écoute, mais surtout qui se ressent…

La bio de Lucie Bernardoni by Lucie Bernardoni

Après avoir poussé mon premier cri le 4 Février 1987 à Nice, (car la naissance est un passage obligé tout comme l’école, les faux maux de ventre pour ne pas y aller et je vous en passe),
j’ai commencé à chanter vers l’âge de 8 ans, enfin, plutôt en criant, pour être précise, car à cet âge là, on braille encore un peu… Quelques années plus tard, j’ai griffonné mes premiers textes de chansons : écrire, pour moi, c ‘est mon pays imaginaire avec Peter Pan, capitaine Crochet et la fée Clochette…

  • En 2001, je participe à « Graines de Star » sur M6. Dans la même année, j’ai doublé mon premier film « Annie et les orphelines » pour « Disney channel », en prêtant ma voix chantée à un personnage du film.
  • En 2003, la maison de disque « Atoll music », me donne ma première chance et me signe. Je sors alors le single « Je suis mes pas ». Un succès très très très très intime…
    Mais une très bonne expérience quand on a que 15 ans.
  • En 2004, j’intègre la Star Academy 4, j’irai au bout de l’aventure aux côtés de Grégory Lemarchal. Encore une étrange et belle expérience malgré tout ce qu’on en dit.
  • En 2005, Je sors le single « Apprends-nous à rêver » que j’écris et compose, « Aux portes de l’hiver » également » écrit cette fois par Yorgos Benardos et Christian Vié. Je reviens dans le vrai monde et toute la troupe de la Star ac 4′ part en tournée pendant quatre mois et nous finirons par Bercy, oui, (là où y’ a la pelouse dessus…) La même année, je prête ma voix au film « Zig Zag ». Encore la même année, mon ami et chanteur, Mathieu Johann et moi-même, sortons le single « Petit Rat petit loup » écrit par Christian Bouclier et composé par François Bernhiem, chez Universal (le logo avec la planète derrière, mais euh.. j’en connais des trucs…)
  • En 2007, j’intègre la troupe de la comédie musicale en préparation « Rimbaud » de Richard Charest et Arnaud Kerane.
  • En Février 2008, je monte pour la première fois sur scène au « sentier des halles » à Paris, dans mon style musical jazzy pour trois concerts qui affichent complet (je l’avoue, ça fait plaisir, même pour une petite salle…)
  • En Septembre 2008, j’interprète le générique de la nouvelle série de TF1: « Seconde chance ».

Dernière chose, si vous avez lu la bio jusqu’au bout, merci…
Si vous avez triché, merci quand même…
Voilà, voilà, pour cette présentation totalement (non) professionnelle…

Les Concerts :

  • 9 février Pasino Saint-Amand-les-Eaux
  • 10 févrierCasinoForges-les-Eaux
  • 14 févrierCasino « Le Lyon Vert »La Tour-de-Salvagny
  • 15 févrierCasino « 4 Chemins »Vichy
  • 16 févrierPalais de la MéditerranéeNice
  • 24 févrierCook & BookBruxelles (Uccle)

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Mélancosmiaque - Lucie Bernardoni


Dandys-Freaks : Nouvel Album La source

Nouvel Album « La source »

Sortie Nationale le 28 Mars 2011 !

Dandys-Freaks naît en 2002 : Maman est une guitare rock, Papa un beat électro, le bébé est Mutant ascendant Concert.

Première année, premier album, intitulé « K », comme kermesse, ketchup, kaléidoscope. Karrément électro-rock, furieusement déKalé, le ton Freaks est donné. Ninkasi Kao, Nuits sonores de Lyon, première partie des Wampas et de JMPZ : le groupe part sur la route, expérimente, rencontre. Très vite, une évidence s’impose : Il leur faut, sur scène, un univers visuel à leur démesure. Des comédiens rejoignent le groupe, qui devient troupe de rock ; le travail scénique s’affine, de résidences en festivals ; la scène devient le lieu d’une performance visuelle autant que musicale, un show glam-punk, made in Freaks.

Les Dandys ne délaissent pas le studio pour autant : au Loaded studio en 2005 (Brain Damage, Dub Incorporation) ou en 2006 avec Bill Guigneton (Mickey 3D, Parabellum), les guitares s’affûtent et les platines peaufinent. Et en 2007, arrivée de Jean-Pierre Spirli (High Tone, Wampas …) aux manettes, et deuxième album, « Zombie Stars ». Les Dandys fidèles au meilleur d’eux même : la vitamine et l’humour sont intactes, le groove est plus dense, les vocaux plus murs. Le show est retravaillé dans la foulée, le cirque fluo freaks, armé jusqu’au dents, reprend la route. La tournée les mènera du Transbordeur de Lyon à la scène Bastille à Paris avec le combo japonais Plastic Tree, ou encore de la Slovaquie aux Antilles. Et c’est dans la mer des caraïbes, que nos dandys, même pas vaccinés, vont choper tout ce qu’ils croisent : une autre lumière, un autre groove, une langueur, du dub, un hamac… Leur rock se teinte d’electropical !

2010-2011, leur troisième et nouvel opus « La Source » en témoigne. «La Source», parce que c’est là que sont la fraîcheur, la vibration première, l’essence. Fruit d’expériences multiples, scènes, voyages et rencontres, nos dandys nous offre ici un album multivitaminé et coloré. La vitamine de base, l’électrorock, est bien là, et y gagne en densité, mais le cocktail est savant : un zest de psychédélique, une pincée de hip-hop, une tranche d’ananas, deux doigts de dub, avec des collaborations d’artistes caribéens et d’ailleurs. De retour aux manettes, Jean-Pierre Spirli s’est muni de son shaker pour obtenir un subtil mélange à la fois solaire et groovy.

À l’heure où beaucoup semblent prôner le repli sur soi, « La Source » nous invite donc à sortir la tête de l’eau en accompagnant les 4 Dandy Freaks vers un chemin plus essentiel.

LA SCENE

Avec plus de 300 concerts, Dandy Freaks est une expérience rock electropical hors des sentiers battus, qui rassemble 4 artistes venus d’horizons divers (rock, techno, théâtre…) et proposant un show interactif et déjanté.

  • Co-production : Yes Music, La Niña Records
  • Distribution : Cd1d, Believe, Anticraft-MVS
  • Enregistré et mixé par Jean-Pierre SPIRLI (High Tone, Benjamin Biolay, Wampas…) au Studio Ohmnibus
  • Masterisé par Raphaël JONIN (anciennement Studio Dyam)
  • 12 titres – Durée : 40’08 »

Regarder :