THE TOXIC AVENGER

“The next big thing” Rolling Stone Magazine US, 2009.

Sur la foi de trois maxis incontournables dans l’underground electro (Superheroes, Bad Girl Needs love too, Toxic is Dead) The Toxic Avenger s’est taillé une place de leader auprès de l’élite des DJ electro internationaux.

Signé sur l’écoute de son Myspace par le plus hype des label de Los Angeles, Iheart Comix, l’histoire de Toxic démarre comme un conte de fée.

Un pseudo piqué à un chef d’œuvre de la société Troma. Un passé hip-hop (Ed Wood Is Dead) et hardcore. Un culte voué à Morrissey. Un hymne gavé de haine (Saloperie De Minimale), un EP citant Bauhaus (Toxic Is Dead, 2009) et une production pour Orelsan. Tout cela, mais pas N’importe Comment : The Toxic Avenger est simplement multiple. Ce background éclaté est d’ailleurs pour beaucoup dans la richesse musicale du jeune Parisien, qui pousse le son dans ses derniers retranchements pour mieux caler des mélodies intrépides. Pas un hasard si des maîtres tels Switch ou Juan MacLean ont remixé ces tracks vicelards. Un condensé de violence au service de l’intelligence – et vice-versa – qui s’est offert pour la première fois en version live aux TransMusicales.

Adulé autant par le NME (UK) que par Lady Gaga (qui lui a prêté son équipe de tournage pour le clip Toxic Is Dead), il a remixé ses idoles comme Chromeo, Late of The Pier, Todd Edwards ou Juan Mc Lean. Ses derniers remixs ? : Benni Benassi feat Kelis & Black Eyes Peas ou pour les newcommers South Central.

Signé par Roy Music début 2010, le premier single est un succès public avec le track electro-hip hop “N’importe Comment” featuring Orelsan. Succés TV notamment avec un concept original sur le phénomène Facebook adapté à la vie réelle.

Composé entre Paris, L.A. et Essaouira au Maroc (où il est resté pendant un mois pour finaliser), le premier album de The Toxic Avenger va s’imposer comme un des albums majeurs en 2011, oscillant entre electro exigeante et mélodieuse (le fil conducteur ANGST one, two three, four) mais aussi electro pop (avec Annie, Brisa Roché, Simone elle Est Bonne) voire électro-hip hop (Orelsan, Lexicon, South Central).

Sa tournée passe actuellement par L.A., Mexico, San Francisco, Marseille, Paris, Sydney, Berlin,…

Pour soutenir cet album hors norme, The Toxic Avenger s’associe sur scène avec un power duo Guitare-Batterie, Bonjour Afrique, pour former un vrai groupe de scène électro-rock aux sonorités denses et singulières, dont les débuts aux Transmusicales de Rennes en décembre 2010 a été décrit par les Inrocks comme un “orgasme hurlant”. La tournée commence en mars avec Le Printemps de Bourges et sur les meilleures scènes de rock en France (La Laiterie, L’Olympic, Le Nouveau Casino…)

Les Inrockuptibles au sujet de la première date LIVE de Toxic aux Transmusicales:

« The Toxic Avenger. La baffe terminale du soir, l’échauffement graduel qui se termine en orgasme hurlant. Des Français dont on entendra beaucoup parler, dont vous entendrez beaucoup parler, dont on parlera beaucoup: du post-post-post-un peu tout, du Daft Punk musclé et crade, musclé à la force du bras, de la batterie, de la guitare, des robots cinglés aux bras de chair et d’os, des morceaux en tsunamis soniques d’apparence simple mais à l’efficacité incroyable, le son venimeux et atomique d’un groupe déjà capable de faire remuer d’imposantes masses. « Angst » (« Colère »), prévient des lettres de néon sur scène: mais non, pas du tout, on est même plutôt contents »

Ecouter :

[audio:http://www.sixmic.net/wp-content/uploads/2011/03/hKx6z2DVLAh3.128.mp3|titles=ANGST one]

Regarder :

Concerts :

Mars

25 EMB Sannois

26 Festival Nouvelles Scènes, Niort …

Avril

1 Confort Moderne, Poitiers – w/The Subs

2 Zeclectiques festival, Cholet – w/ The Subs

8 Lyon – Reperkusound festival

9 Garorock Festival, Marmande 22 Olympic Nantes – w/the Subs

23 Printemps de Bourges – Le Phénix (!!!)

29 : Festival Le Chat et les Souris, l’Embarcadère – Plélan-le-Petit (22)

Mai

13 Strasbourg, Laiterie – w/ the Subs

20 Montpellier, Twenty-Five – w/ the Subs & SALM DJ

21 Espace Malraux, Six-Fours – w/ The Subs & Arnaud Rebotini LIVE

27 Bikini festival, Toulouse

28 Elektrotasuna, Hesperren

Juin

1 Zénith, Lille w/ Bloody Beetroots

23 Transat Festival, Lausanne

25 Rock dans tous ses Etats, Evreux

Juillet

29 Astropolis, Brest

SCARLET QUEENS

SCARLET QUEENS EP « Outside Play »

  • Sortie le 18 avril 2011

Du rock fleurant bon le Bourbon et la fumée aromatisée aux samples et aux synthés. Un chanteur chaman, un guitariste dandy et un clavier/DJ cloppeur en série prêts à en découdre. Quand l’électro la plus pointue se mêle à des riffs old school, le rock & roll n’a jamais sonné aussi cool.

Scarlet Queens vient du nom que l’on donnait aux prostituées de luxe, à Londres au début du 19ème siècle. L’histoire du groupe commence lorsque ses deux membres fondateurs Quentin Guglielmi et Gaspard Ménier aménagent à Paris fin 2007.

Ayant du mal à se détacher de leurs idoles, Doors, Stones, Pink Floyd et compagnie, ces deux derniers donnent des concert de rock 60’s et écument la plupart des petites salles de la capitale. A leur côté figurent les membres de la première formation de Scarlet Queens : batteur jazzy, bassiste funk et organiste classique.

Après deux ans de répétitions, de concerts et deux EP enregistrés, mixés et masterisés chez un ami ingénieur son, la formation tourne alors le clip de rock’n roll girl réalisé par un ami. La vidéo fait un petit buzz sur le net.

Suite au départ de l’organiste et du batteur, le groupe prend un nouveau tournant. Quentin et Gaspard veulent évoluer et jouer une musique plus singulière. Ils s’écartent petit à petit de Morrison et de Led Zep et écoutent Brian Eno, les Kasabian, Eyedea & Abilities, Gui Borrato, Teenage Badgirl, Fingathing, Sebastian Shuller, Prodigy, Midnight Juggernauts, Blakroc, etc… Ils font la rencontre de Raphael Fabre, étudiant aux Beaux Arts. Ce dernier a de son côté certaines compositions electronica susceptibles de bien s’intégrer aux compositions rock des deux autres. Raphael prend alors une place prépondérante au sein de Scarlet Queens en y ajoutant ses influences : Clark, Flying Lotus, Jackson And His Computer Band ou encore Philipp Glass. Le groupe se dirige vers un style clairement rock/alternatif/électro.

A quelques semaines de l’enregistrement d’un troisième EP, le bassiste Thomas Clairice annonce qu’il sera complètement indisponible pour le groupe pendant les six mois à venir. L’enregistrement ainsi que les dates programmées sont maintenues, le quintet est désormais devenu un trio électro/rock composé de Quentin Guglielmi (chanteur), Raphael Fabre (dj/claviériste) et Gaspard Ménier (guitariste).

Le nouvel EP marque un changement radical avec ses prédécesseurs et séduit un nouveau public. Cependant le moral n’est pas au beau fixe et le groupe stagne pendant quelques mois et en profite pour composer et aiguiser leurs nouveaux morceaux. C’est en juin 2010 que les trois musiciens rencontrent Jérémy Mahieu et Mathieu Aribart, fondateurs du label Stand Out Records.

Le courant passe très bien et la proposition plus qu’intéressante, le groupe décide alors de tenter l’aventure et de signer. Sans perdre de temps, le trio rappelle leur ancien bassiste (Thomas Clairice) et un nouveau batteur et très bon ami du groupe (Jean Etienne Maillard). Ces deux musiciens, tout juste diplômés de la MAI (Music Academy International), viennent apporter une base rythmique solide, puissante et créative dans l’esprit de Wolfmother, Dead Weather, Perfect Circle, Archive.

L’équipe passe l’été 2010 à répéter régulièrement avant d’enregistrer leur 1er EP sous Stand Out Records. Les prises sont faites et mixées aux Studios de la Seine par Matthieu Marietti. Cette expérience nouvelle mais enrichissante d’enregistrement en live a demandé un certain temps d’adaptation aux musiciens, plus habitués aux home studios.

S’en suit le tournage d’un clip et un premier concert sous les couleurs de Stand Out.

La French Touch a permis à Raphael de découvrir certaines dimensions de l’électronique et de s’y ouvrir. Ensuite, plus intéressé par l’electronica de Jackson And His Computer Band ou encore Clark, et leur manière d’utiliser les samples, il peaufine son style et précise son univers. Il reste cependant influencé par des artistes tels que Bibio, Hudson Mohawke, Sebastian, Mr Oizo, Violent Femmes, The Smiths, Michael Nyman, Steve Reich, Wim Mertens.

Egalement influencé par des compositeurs de bandes originales de films, comme Morricone, Yared, Santaollala, Einaudi, John Murphy, le groupe serait extrêmement intéressé par des projets audiovisuels.

  • (Stand Out Records)
  • EN CONCERT LE 6 MAI A LA SCENE BASTILLE

Ecouter :

[audio:http://www.sixmic.net/wp-content/uploads/2011/03/01_TSC.mp3|titles=TSC]

Regarder :