JEREMIE BOSSONE

Jérémie BOSSONE est né à Loudun en janvier 1978, Jérémie passe son enfance dans la maison familiale de Loudun où il grandit au milieu des disques de Georges Brassens, Graëme Allwright, Georges Chelon… Il apprend la guitare à l’âge de neuf ans.À 11 ans, Jérémie écrit ses premières chansons. À l’âge de quinze ans, désireux de quitter la demeure familiale et se destinant à une carrière de handballeur, Jérémie intègre le CREFER (centre de sport études regroupant les élites régionales). Amoureux dès l’adolescence de Baudelaire et des poètes symbolistes, Jérémie Bossone obtient en 1996 son bac L avec mention Bien.

Il monte à Paris en 2003 un roman bossonien en pôche.( Il est déjà l’auteur de 7 sept romans). Depuis l’artiste a apprivoisé la scène tout d’abord en tant que comédien puis musicien. En 2004, il s’inscrit au Cours Florent obtient le 1er Prix et goûte à une belle carrière de comédien dans des compagnies de théâtre prestigieuses. Après avoir joué notamment trois mois au Théâtre National de Nice dans Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, dans une mise en scène du polonais Krzysztof Warlikowski. Il juge son rapport au théâtre trop conflictuel, et abandonne en 2007 brusquement sa carrière de comédien pour se consacrer entièrement à la chanson.

Depuis son plus jeune âge, Jérémie Bossone évolue dans diverses formations musicales aux univers plutôt rock-métal, mais sa vision de la musique est bouleversée lorsqu’il découvre et étudie l’œuvre de Bob Dylan .

En 2005, il enregistre l’album artisanal Lili Perle. Musicalement, celui-ci se situe entre rock et chanson à texte, « juste milieu » dont Jérémie fera par la suite l’axe principal de son travail. (Je m’appelle Stéphane Mallarmé, L’Empire, Le Cargo noir). La presse française mentionne les influences de Bob Dylan, Jeff Buckley, Noir Désir. Certains commencent à évoquer le nom de Jacques Brel. Jacques Vassal, journaliste à Rock & Folk et auteur d’une anthologie culte sur le folk américain9 déclare : « J’aime beaucoup des chansons comme Jack ou Le Cargo noir. On sent derrière quelqu’un de passionné qui y met tout son cœur. Il me fait penser à mon regretté ami Jack Treese ».

La même année, Bossone se fait remarquer au Festival Visa Francophone en remportant le Prix du Jury. L’Alliance Française l’invite alors à venir représenter la France au Festival international de Plovdiv en Bulgarie, où il joue en première partie de Georges Moustaki et de Francesca Solleville.

Bossone rebondit l’année suivante en enregistrant en 2007 le plus enjoué Notre Jeunesse, avec la formation Jeunesse Parking. C’est l’album de l’éclectisme. La musique y évolue du rock au folk, de la pop au lied allemand (la reprise de Schubert Der Leiermann).

Jérémie Bossone et son groupe participent à divers tremplins où ils remportent plusieurs prix : Grand Prix du Tremplin de Dieulefit, Troisième Prix du concours Yves Montand, Médaille d’argent du tremplin suisse de Saignelégier.

Fin 2010, il rencontre Daniel JEA, guitariste de la Grande Sophie, Buridane, Florent Marchet, l’entente est fusionnelle. Au même moment EVENDO édition, qui a déjà effectué un travail de développement sur des artistes « nouvelle scène » tel que Melissmell (Discograph), Charlie (Athome/Wagram), Mauss (ex Mercury) décide de soutenir son 1er EP. Les premiers enregistrements se sont réalisés au célèbre studio TWINS à Paris en janvier 2011.

Enfin Jérémie est repéré début 2011 par Karine ESTEBAN, spécialiste de la promotion scène d’artistes de chanson française, et de projets inclassables. Elle devient sa manageuse, tourneuse.

Jérémie Bossone bénéficie depuis peu d’une actualité d’ordre honorifique.

Tout d’abord il y a un an, Claude LEMESLE (président de la SACEM) et Alain FANTAPIE (président de l’Académie Charles Cros), membres du jury du PIC D’OR de Tarbes lui remettaient le 1er Prix.

Jérémie Bossone est depuis, suivi de près par l’Académie Charles Cros. En avril 2011, Jérémie méconnu du monde de la chanson, fait sensation lors de l’événement Vive la reprise organisé par le Centre de la Chanson, à la Scène du Canal.Sa version de Gottingen restera dans les mémoires. Il y remporte le Grand Prix du Jury du Centre de la Chanson mais également le prix ADAMI, le Prix Manufacture Chanson, le Prix Esprit Frappeur, le Prix Edito Musiques, de même que le Prix du Public…

Le mois de novembre 2011 représentera un tournant dans sa carrière puisqu’il sortira son EP en se présentant pour la première fois sous son nom en tant qu’auteur-compositeur-interprète.

Prochains concerts :

  • 10,11 octobre : TROIS BAUDETS, Paris (20h30 – 1ere Partie Yves JAMAIT – Production CARAMBA )
  • 14 octobre : Générale, 21h sortie de résidence, Scène Jean Roger Caussimon de TREMBLAY EN FRANCE (93)
  • 15 octobre : FESTI’VAL DE MARNE ( 20h30 – Choisy le Roi – Théâtre Paul Eluard – 1ere partie de L)
  • 17, 18 octobre : TROIS BAUDETS (20h30 – 1ere Partie Yves JAMAIT )

Regarder :

 

GOTTINGEN & SCARLETT par vilaris2

Spank Rock, Everything is Boring & Everyone is a fucking Liar

Spank Rock sait s’y prendre comme personne pour mélanger rock, hip hop et électro de façon unique. Désormais seul aux commandes de Spank Rock, Naeem Juwan sort le 05 octobre son très attendu 2ème album, produit par Boys Noize, Mark Ronson et Sam Spiegel, et sur lequel on retrouve en particulier Santigold pour le tube Car Song. Découvrez dès à présent le second extrait de l’album : le single #1 HIT produit par Boys Noize & Mark Ronson dans un clip non censuré à voir absolument.

Désormais seul aux commandes de SPANK ROCK, Naeem Juwan sort son 2ème album, coproduit par Boys Noize, Mark Ronson et Sam Spiegel. On retrouve en featuring Mark Ronson, Santigold, Big Freedia et Tyette. Dans ce nouvel album, on retrouve le son de SPANK ROCK : l’alliance d’un rap alternatif à l’électro, accentué cette fois par la forte présence d’un son rock.

Au départ, Spank Rock réunissait Naeem Juwan (MC Spank Rock) et Alex Epton (XXXChange). Leur 1er album Yoyoyoyoyo est sorti en 2006. Depuis, MC Spank Rock aka Naeem Juwan, s’est retrouvé seul aux commandes. Pour ce nouvel album, il s’est associé au DJ & producteur berlinois Boys Noize. Ainsi qu’aux producteurs Sam Spiegel et Mark Ronson, avec qui il a déjà collaboré sur plusieurs morceaux dont récemment le très beau The Bike Song dans son dernier album Record Collection. D’autres artistes issus de la « team musicale » de Spank Rock apparaissent sur ce nouvel album, tels que Santigold, Big Freedia et Tyette.

Comme son titre le suggère, ce nouvel album Everything is boring & Everybody is a fucking liar s’éloigne délibérément du son du précèdent album Yoyoyoyo. En effet, Spank Rock part cette fois vers des sonorités plus rock, plus pop, rythmées par une forte présence de la batterie. Une évidence, par exemple, sur le duo avec Santigold « Car Song » qui allie un rock très énergique et très dansant à l’électro. Sam Spiegel et Boys Noize quant à eux y apportent des sonorités électro très pointues, parfois très saccadées, d’autres plus sombres ou plus hardcore.

Spank Rock

  • Nouvel album : Everything is Boring & Everyone is a fucking Liar
  • Sortie le 05 octobre chez Boys Noize Records

http://spankrock.net/

Regarder :

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Festival Jazzycolors

Organisé par 16 centres culturels étrangers de Paris, le festival Jazzycolors repose sur un concept simple : chacun des pays participants a pour mission de faire découvrir aux Français les meilleurs groupes de jazz de chez lui. Avec trois mots clés en tête : qualité, originalité, innovation. Depuis 2002, le festival Jazzycolors ne cesse de grandir et pour cette 9e édition, il ne compte pas moins de 17 concerts durant 3 semaines dans 7 lieux de la capitale. Aux 13 pays participant à l’édition 2010, se joignent deux nouveaux : l’Irlande et le Luxembourg. La République tchèque, à l’initiative du festival, est de retour dans la programmation. Avec une politique de tarifs modestes – de 7 à 10 € – le festival cherche à inciter les Parisiens à découvrir des sons venus d’ailleurs. Fidèle à sa devise, le festival accueille des musiciens émergeants de renom, aux univers bien différents. Du jazz folklorique aux standards classiques revisités, en passant par le jazz-rock psychédélique – une chose est sûre – tous les amateurs du genre y trouveront leur compte. Anciennement parrainé par Daniel Humair, c’est le pianiste d’origine serbe Bojan Z qui a repris le flambeau en 2008 et qui ouvrira le festival, en concert le 8 novembre. Musicien apprécié et fortement récompensé, il est aussi un symbole d’intégration, de partage et porte dans sa musique une vitalité représentative de l’esprit Jazzycolors.

  • Du 08 au 30 novembre

Avec :

  • Bojan Z /// PARRAIN DU FESTIVAL
  • Julia Hülsmann Trio /// ALLEMAGNE
  • Christian Muthspiel Trio /// AUTRICHE
  • Sofia Rubina & Villu Veski JazzGroup /// ESTONIE
  • Joonas Haavisto Trio /// FINLANDE
  • Trio Smárton /// HONGRIE
  • Ronan Guilfoyle & Lingua Franca /// IRLANDE
  • Pascal Schumacher Quartet /// LUXEMBOURG
  • Pink Freud /// POLOGNE
  • Júlio Resende /// PORTUGAL
  • Jordan Officer Trio /// QUÉBEC
  • Projekt Z + Rodrigo Parejo /// RÉPUBLIQUE TCHÈQUE
  • Emil Bizga Duo /// ROUMANIE
  • Hot Club of Belgrade /// SERBIE
  • AMC Trio /// SLOVAQUIE
  • Goran Kajfes /// SUÈDE
  • Spiral Quartet /// TURQUIE

En savoir + : WWW.JAZZYCOLORS.NET

Giovanni Mirabassi : Adelante

C’était en 2000 au Saint Jean, un café du côté de la place des Abbesses. C’est là que Giovanni Mirabassi donnait rendez-vous, à l’ombre d’un Sacré Cœur, ce pâle monument qui célèbre la victoire rouge sang des forces de la réaction sur la Commune de Paris. A l’époque, il se définissait comme « libertaire », alors que sortait tout juste « Avanti ! », un disque où il parcourait des hymnes de la liberté et des chants partisans, « Le Temps des cerises » et « Imagine ». Emblématique, « El Pueblo Unido Jamas Sera Vencido » servait d’introduction à ce recueil en solitaire, celui d’un artiste « seul devant ses responsabilités artistiques et ses limites ». Cet album n’allait pas tarder à révéler aux oreilles du plus grand nombre ce pianiste natif de Pérouse, dans une famille de la démocratie chrétienne – c’est-à-dire la droite catholique – où on l’avait promis à un bel avenir, avocat. « Mais il y avait un piano à la maison, et dès mes deux ans, je m’y suis mis. Ce n’est qu’à seize ans que j’ai pris mes cinq premières leçons… et à vingt-deux mes cinq dernières. » Brisant les interdits, les trois fils sont musiciens : Gabriele l’aîné est clarinettiste et Giacommo le petit dernier joue de l’orgue. Quant à Giovanni Mirabassi, biberonné de Monk et de Chopin, sevré d’Enrico Pieranunzi et de Keith Jarrett, il est parti en février 1992 pour Paris, sur un coup de foudre. Il avait 21 ans et des rêves plein la tête. La réalité fut autrement plus rude pour cet autodidacte, qui aura dû patienter dans les coulisses de la gloire : il doit multiplier les petits boulots, tout en accompagnant les chanteurs, « à texte », sans jamais rompre le lien avec le jazz.

Après des premiers pas en duo baptisé « En bonne et due forme », il pose en 1998 les jalons d’une carrière en devenir sur « Architectures », avec Louis Moutin et Daniele Mencarelli. On y découvre déjà un pianiste décalé des ornières du milieu, une approche singulière en des temps où les copies conformes sont la norme. Le même qui après « Avanti ! » va s’illustrer dans des formats plutôt réduits, un toucher onirique, un rien de romanesque entre les lignes finement couturées, qui rappelle son goût pour la mélodie. « Che Guevara disait que pour faire la révolution, il faut une dose d’amour. Il ne s’agit pas d’un geste politique, mais esthétique. Bien sûr, le contenu étant ce qu’il est, ça ne pouvait que déborder. » Récompensé par les académies, suivi par un public de fidèles, il impose dès lors son style dans le paysage du jazz hexagonal, puis se distingue sur les scènes internationales, comme en témoigne un récent « Live At The Blue Note, Tokyo », troisième volet de ses remarquables aventures avec le batteur Leon Parker et le contrebassiste Gianluca Renzi. Il s’illustrera avec un autre trio (((AIR))), en bonne compagnie : le tromboniste Glenn Ferris et le trompettiste Flavio Boltro.

En 2011, retour vers le futur. C’est encore au Saint-Jean qu’on le retrouve tel qu’en lui-même, à l’heure où il publie la suite d’ « Avanti ! » qu’il a intitulée non sans une douce pointe d’ironie « Adelante ». « J’ai choisi ce titre pour faire un pied de nez aux Japonais sans scrupules qui ont acheté le catalogue où figure « Avanti ! », sur lequel je n’ai plus aucun droit. J’ai été dépossédé de mon œuvre au nom de la liberté d’entreprendre. » Onze ans plus tard, l’Italien au regard de braise demeure plus que jamais engagé, parce qu’il ne s’est jamais senti dégagé de la chose politique, « une matière noble qui consiste à créer les conditions du vivre ensemble ». Aujourd’hui plus qu’hier, il regrette que trop de ses confrères s’éloignent du droit de regard que doit avoir un artiste sur la vie de la cité. Giovani Mirabassi est fier de débattre, de combattre pour des idées. « L’artiste doit retrouver sa place, un rôle dialectique de contre-pouvoir qui permet d’élever les consciences. » Fidèle à ces principes fondateurs, il est donc parti enregistré chez Fidel, dans les studios Abdala de Cuba. Le Premier mai à Cuba, le symbole fait sens. « Cet album est dédié à la révolution. Parce qu’on nous fait croire que cette idée est enterrée, alors qu’elle n’a jamais été autant d’actualité. » Plutôt à gauche toute pour ce pianiste pas franchement maladroit, pas non plus dupe sur Castro, mais encore moins sur les conséquences liées à l’embargo qui « plombe toute possibilité d’ouverture démocratique depuis des lustres ».

« En avant », donc, pour paraphraser le titre de ce nouvel album essentiellement en solo, un format où excelle cet esthète du « canto piano ». Il convie juste un trio formé dans les rangs d’Irakere sur « Yo Me Quedo » de l’icône Pablo Milanès, et la chanteuse Angela Elvira Perez, mère de son actuel batteur Lukmil, pour une version plus éclatée de « Hasta Siempre », l’hymne de tout un peuple qui était déjà présent en 2000. « J’ai fait ce disque dans un esprit sans doute moins pacifiste, plus militant, qu’« Avanti ». L’approche reste la même, mais la nécessité se fait plus urgente. Il faut prendre parti. » Giovani Mirabassi s’engage corps et âme sur les 88 touches en ivoire et ébène, une belle gamme dans les chromatismes et une ferveur rythmique, qui soulignent l’éclat mélodique d’un répertoire plus centré sur les chansons en espagnol. « Mon propos était de reprendre les mélodies comme elles sont, de me fier à leur sentiment d’urgence, de confiance et de liberté intrinsèque. » De telles qualités s’appliquent à celles qui ont habité le continent sud-américain comme « Gracias A La Vida » de Mercedes Sosa, mais aussi à ces refrains qui saluent le souvenir tenace de la guerre d’Espagne.

L’Italien devenu Parisien n’en oublie pas de convoquer quelques airs de la douce France, « Le chant des canuts », « un slogan qui redonne toute sa force au concept de lutte ouvrière » et quelques versions françaises, dépouillées de leurs mots : « Graine d’ananar », « L’Affiche rouge », Léo Ferré et Aragon, deux signatures qui ne sont pas résignées. Pas question pour autant pour le pianiste de se la jouer « marketing à la Renaud », pas envie non plus d’étaler son CV d’homme engagé sur le terrain de la réalité, dans la société civile. « J’applique les propositions d’alternative économique à mon travail, en essayant de faire du show-business responsable dans un soucis d’autonomie artistique et de partage équitable. Après tout, on commence toujours par soi-même. Mais je ne vais pas commencer à m’habiller en Che Guevara. Je veux que la musique parle d’elle-même. C’est comme ça que tu vises au cœur, sans faire de la politique à la petite semaine. Défendre une idée, ce n’est pas défendre une chapelle. » Et dieu sait que tous ces chansons en disent long. « La musique contestatrice est toujours très évocatrice. Elle affirme un cri de liberté qui fédère tous ceux qui l’écoutent. L’intention de ce disque, c’est remettre au centre des enjeux ce pour quoi personnellement je milite et œuvre. C’est aussi honorer ceux qui sont allés au charbon pour bâtir un monde meilleur, qu’on essaie aujourd’hui de réduire à néant. »

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« Adelante »
Sortie le 27 Octobre 2011
Label : Discograph
Salle Pleyel le 16 Nov 2011

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Havana Cultura, The Search Continues..

Il y a exactement deux ans, Gilles Peterson, père de l’Acid-Jazz, DJ et producteur se rendit à Cuba à l’invitation de Havana Cultura, structure de mécénat initiée discrètement depuis plusieurs années par Havana Club International SA. Il y enregistra un double album dont premier CD, véritable création originale était constitué de titres enregistrés avec le « Havana Cultura Band », dirigé par le pianiste Roberto Fonseca. Le second disque était une compilation de 16 titres, tous composés par les plus grands noms de la musique cubaine actuelle, mêlant morceaux de hip-hop, de reggaetón, de jazz, de funk ou classiques cubains. Une formidable photographie de la création cubain .

En 2011, Gilles Peterson revient avec « The Search Continues…« , deuxième volet de ses aventures cubaines et de la série Havana Cultura, réunissant pour l’occasion une équipe de production venue de Londres, renouant le contact avec les artistes du premier volume, Fonseca et Danay en tête, et nous présentant de nouveaux venus.

Pendant l’enregistrement en avril dernier, tout ce que La Havane compte de talents créatifs et novateurs a défilé aux studios Abdalá. Entre autres les voix solistes du groupe Interactivo, Francis del Rio et la belle Melvis Santa.

Gilles Peterson producteur, Gilles Peterson défricheur, ses deux facettes sont ainsi une nouvelle fois réunies pour un résultat toujours éblouissant, qui ressemble au Cuba d’aujourd’hui.

Regarder :

« The Search Continues... »
Sortie le 16 Novembre 2011
Label : Brownswood Rds

  • Le 21 nov à La Machine du Moulin Rouge*

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