Welcome in Rackstarz has-bling World avec le clip WEED 0.1

Composé de deux MC’s (Jessilann Co et Patrick Stachmou), d’un beatmaker (Thomas Nerubi Sellin) et d’un DJ (T-DOGG), Rackstarz est plus qu’un simple groupe, c’est un état d’esprit, une façon de vivre. Leur nom fait référence au mot « rockstar » prononcé avec une certaine « classe américaine ». De leurs beats électro bons à embraser les clubs à leurs griffe sport wear unique, ces quatre white trash héritiers de l’esprit Beastie Boys font tout de A à Z pour enfin avoir accès à ce qu’ils cherchaient ailleurs sans succès : un concept global frénétique et hédoniste mais surtout éclectique, qui mêlerait rock, électro, mode, cinéma, disco, sonorités 80’s ou hip-hop sans concession ni limite.

Tout est d’abord parti de la sape, la première grande passion de Jessilann : « Je suis un grand fan de mode mais je ne trouvais pas les vêtements que je voulais alors j’ai décidé de les faire. » De fil en aiguilles, le jeune créateur affirme son style atypique entre streetwear et rock spirit et fait tourner ses fringues parmi ses bandes potes. Puis, vint le grand tournant : ses retrouvailles fin 2007 avec Patrick et Thomas, deux amis d’adolescence passés entre-temps par l’âge d’or du hip-hop français dans les années 90 (membres des groupes L’Atout et Redemption, présences sur des mixtapes aux côtés de Mac Tyer, Sinik, Antilop Sa d’ATK). Ensemble, ils se rendent compte de leur attachement commun au Do It Yourself et prennent la décision de faire leur propre musique, celle qui collera à leur vision du monde. Ce sera la naissance de Rackstarz.

Pour se faire la main, Rackstarz livre une première piste en 2008 avec une relecture du I’m In Miami Bitch de leurs jumeaux capillaires, les LMFAO (« On ne les a pas attendus pour être bouclés et avoir les cheveux longs ! »), alors encore anonymes en dehors du pays de l’Oncle Sam et n’ayant pas encore vendu leur âme musicale à la dance rance. Puis, en 2009, ils livrent un premier vrai track, l’accrocheur Racksta, où funk et hip-hop se font des caresses pendant qu’une électro catchy les observe. « Clipé » par le groupe lui-même (Patrick étant réalisateur) avec la bande des DogzRiderz, leurs potes bikers de Dax Monkey customisés, pour une ballade « Paris by night », Racksta réaffirme l’ambition festive et épicurienne du groupe ainsi que leur envie de rapper en anglais. Rapidement rejoint par DJ Scotch-Man (plus tard remplacé par T-DOGG), la formation commence la même année à arpenter les clubs huppés de France pour de véritables shows (où, par exemple, ils sont capables de balancer une piñata dans un public déchaîné) et poste des vidéos de ses périples loufoques et chevelus sur le Net. « Nous, ce qu’on aime, c’est l’entertainment. C’est que le mec qui ressort s’en soit pris plein la gueule, qu’il n’ait pas juste eu l’impression d’être venu voir un DJ. » dixit Patrick.

Une année 2012 chargée après le succès de leur dernier clip et remix de Boulbi de Booba mêlant flash back gominé et paroles de gangsta, un duo inattendu à la fois propré et trash, qui sonne étonnamment juste. Boulbi Remix c’est le choix d’un duo osé avec au rap Booba et pour la star le mythique John Travolta au Studio 54. Ils reviennent aussi bien sur les dancefloors (nouvelles dates) qu’en studio (tracks fraîchement sortis), sur le dos (collection Jessilann) ou sur le Net, Rackstarz continue d’alimenter ardemment son rêve de fusion des genres multi-supports. Ils parlent même d’un jour créer leur propre comédie musicale, c’est dire !

RACKSTARZ -WEED 0.1 [Official Music Video]

Cette vidéo a été tournée à Miami bien avant les événements de l’affaire « Bath-Salt » d’ailleurs une ambiance bizarre pèse autour de ce clip prémonitoire, un groupe de rock miteux qui deale et qui prend les armes pour se battre contre des choses que personne ne voit, à part eux. Un parfait mix pour nous plonger dans un univers 80’s. Le nom du groupe faisant référence au mot « rockstar » prononcé avec une certaine « classe américaine, » il n’est pas étonnant de retrouver les deux acolytes, Jessilann Co et Patrick Stachmou, chiller et rouler dans leur Mustang Mack 1 de 73 à Miami. Ils sont surpris par des comportements bizarres, sont-ils les seuls à les voir?!! To be continued…

[youtube mFnZVIXJfzE]

Ma fragilité le nouveau Clip vidéo d’Eva LEONARD

Révélée au public lors de la Star’Ac 2007, Eva LEONARD revient sur le devant de la scène avec un premier single de 3 titres, dont Jean-Félix Lalanne signe la réalisation artistique. C’est dans un univers de danse classique qu’elle tourne son clip vidéo « Ma fragilité » diffusé depuis ce samedi 23 juin sur YouTube et sur ArtéMédiaMotion.

Piano, danse classique, danse moderne et chant sont autant de formes d’expression artistique qu’Eva Leonard développe, enchaînant depuis des années cours au conservatoire et cours privés. C’est dans un concours de chant qu’elle se fait remarquer par le casting de la Star Ac’ 2007. Intermittente du spectacle, elle multiplie les cachets comme figurante, danseuse ou chanteuse, tout en travaillant sur son premier album. Elle s’entoure du conseil de Jean-FélixLalanne qui signe la réalisation artistique d’un premier single de 3 titres, disponible sur toutes les plateformes de streaming et téléchargement depuis la mi-juin :  Eva Leonard – EP – Eva Leonard

C’est dans un univers de danse classique qu’Eva choisit d’exprimer le thème du titre phare « Ma fragilité » dans son clip vidéo produit par la société Pile ou Face Production (Marseille).

« Eva a de l’air dans la voix ! A son écoute, on est tout de suite séduit par une chaleur et une dimension acoustique qui rassurent et réchauffent. Ce qui m’a séduit aussi est sa manière de chanter certaines fins de phrases avec des « vibe » très personnelles parfois en dehors de l’harmonie. A écouter sans modération ! » (Jean-­Félix Lalanne)

Eva LEONARD – Ma fragilité (clip officiel)