11ème édition à Reims du festival Elektricity

Elektricity

Festival nomade et innovant, Elektricity s’est imposé comme l’évènement musical incontournable de la rentrée, mettant la ville de Reims en ébullition le temps d’une semaine au son des  musiques d’aujourd’hui, de  l’electro aux musiques  expérimentales en passant par  la  pop.

Du 20 au 28 septembre prochains, pour la 11ème édition du festival, la Cité des Sacres se transformera en capitale des musiques électroniques en recevant la crème des artistes et dj’s pour des live, créations et cartes blanches exceptionnelles : 2 Many DJ’s, Simian Mobile Disco, Chilly Gonzales, Breakbot, Yuksek, Rone, Is Tropical, DJ Falcon, Connan Mockasin, Juveniles, Monsieur Monsieur, Tristesse Contemporaine, Wagner, Jef Barbara, et bien d’autres…

Pour ses onze ans, Elektricity c’est 9 jours de fête au cœur de la ville. Fort d’une dixième édition haute en couleurs et synonyme de réussite tant au niveau de l’affluence que du succès d’estime et des retombées médiatiques, Elektricity se lance pour 2013 dans un nouveau challenge : réitérer ce succès. Cette onzième édition  ne sera pas une simple réplique de 2012 mais se développera et grandira en passant de 5 jours à 9, proposera une carte blanche à Yuksek (son créateur) et son label “Partyfine”, investira l’Opéra de Reims pour un concert exceptionnel et proposera un premier marché aux créateurs dans les mythiques halles du Boulingrin récemment réouvertes.

Situé à seulement 45 minutes de Paris, le festival s’installera comme à son habitude dans toutes les places fortes de la Ville de Reims au sein de 7 sites dont un particulièrement prestigieux et chargé d’histoire : le parvis de la Cathédrale de Reims. Elektricity, qui se veut plus rassembleur que jamais, conclura en grande(s) pompe(s) cette 11ème édition avec deux grandes soirées de fête autour d’artistes confirmés et de styles fédérateurs,les 28 et 28 septembre sur le parvis de la Cathédrale de Reims.

Créé en 2003 sur une idée de Yuksek, le festival Elektricity s’emploie depuis 11 ans à faire vibrer Reims, nouveau vivier de la musique indé hexagonale, au son des musiques d’aujourd’hui. Air, Birdy Nam Nam, Tahiti 80, Justice, Metronomy, Etienne de Crecy, Pierre Henry, Laurent Garnier, Yuksek, Brodinski, The Shoes, Busy P, Mr. Oizo, Sébastien Tellier, Nicolas Jaar, Woodkid, Amon Tobin, Carl Craig, DJ Krush, Herman Dune, Matmos, Rubin Steiner, Ivan Smagghe, Ariel Wizman, Scratch Massive, The Bewitched Hands... tous ces artistes de renom ont déjà figuré sur le haut de l’affiche du festival.

Elektricity a aussi contribué à placer Reims sur la carte des villes musicales d’excellence. Yuksek, Brodinski, The Shoes, Alb, The Bewitched Hands ou encore About The Girl et Monsieur Monsieur, sont autant de noms d’artistes rémois associés au festival et reconnus au niveau national ou international.

Aujourd’hui reconnu pour son éclectisme et surtout pour son exigence, Elektricity est devenu une étape nécessaire pour nombres d’artistes internationaux. Le festival a créé un réel besoin auprès d’un public chaque année plus curieux et plus nombreux. Les dernières éditions furent un énorme succès tant sur le plan de l’affluence que sur le plan artistique. Plus de 6000 spectateurs lors de la dernière édition et une programmation jubilatoire et aventureuse, ont permis à Elektricity d’afficher clairement ses nouvelles ambitions. Devenir un événement populaire tout en conservant cette ligne artistique audacieuse qui est sa raison d’être et qui a fait son originalité. Fière de ce parcours en phase avec son temps, et du travail accompli, notamment sur le décloisonnement des genres, le croisement des publics et des générations, l’équipe d’Elektricity souhaite créer une nouvelle fois l’événement en 2013 en invitant les rémois à un grand moment de partage, une grande fête collective, celle des onze ans du festival. Onze ans de plaisir partagé avec un public qui n’a cessé de grandir.

Elektricity 2013

« Run Hippy Run » de Maylin, coup de coeur artéMédia

maylin

Héritière de Joni Mitchell, Nick Cave, dans la mouvance de Moriarty et d’Alela Diane, Maylin invite à la suivre dans son voyage vers une musique métissée. Comment raconter, en quelques lignes, les cheminements, les errances, les erreurs, les leçons, les joies et les illuminations de toute une vie ? Maylin le fait au travers de ses textes, ses poèmes et de ses mélodies. La musique est devenue une thérapie, l’expression de son cœur.

Sa mère malgache lui a donné le goût de la poésie et de la rêverie ; son père franco-allemand lui a transmis celui du drame et de l’aventure. Ce métissage a forgé l’âme gipsy de Maylin.

Mannequin et actrice en Europe et à New York, les tourbillons de la vie l’ont conduite jusqu’à Los Angeles. Là, cherchant une authenticité, elle se remet en question et met sa carrière d’actrice en veilleuse pour revenir à son rêve de toujours : devenir chanteuse.

S’appuyant sur des bases musicales classiques, acquises pendant l’enfance, et l’étude du chant lyrique, Maylin fonce tête baissée. Elle renaît « singer/songwriter » et forme son premier groupe avec Omar Torrez, (Tom Waits) à la guitare et David Leach (Ben Harper) aux percussions.

En 2005, elle sort un premier album « On My Way to See You » réalisé par Robin Di Maggio (Tracy Chapman, David Bowie, Steve Vai…) et Baraka Di Candia (Sting). Elle se produit lors de festivals (SXSW à Austin (TX), PopKomm( Berlin).

La musique de Maylin est diffusée sur les ondes des radios universitaires et radios indépendantes de Californie (KPFK, KXLU) et au Canada.

En 2007, elle s’installe à Paris avec un leitmotiv : intégrer ses influences folk et blues (Nina Simone, Joni Mitchell, Muddy Waters, Tom Waits, entre autres) à sa nouvelle signature artistique. Maylin veut se réinventer, repousser ses limites, pour composer une musique qui lui ressemble. En 2009/2010, un nouveau groupe, de nouveaux collaborateurs à l’écriture (Brice de Margerie) un nouveau son, un nouveau départ.

En 2012, Maylin convainc ses fans, lors d’un appel de fonds, de l’aider à enregistrer son deuxième album. Elle y met sa passion et sa sincérité. Le nom de l’album « Run Hippy Run » paraît une évidence pour cette fiancée du voyage qui cherche sans cesse à aller de l’avant : « je suis comme une toupie, si je m’arrête je tombe.

« RUN HIPPY RUN” DE MAYLIN

Maylin, dévoile « Run Hippy Run », son deuxième album studio. Les amoureux de folk pourront découvrir les six titres de cet opus, dès le 20 septembre 2013, sur toutes les plateformes de téléchargement (itunes, emusic rhapsody, amazon, orange, sfr, deezer, spotify…)

Album aux tonalités folk-bohème, interprété en français et en anglais, « Run Hippy Run » libère une atmosphère chaleureuse, poétique et très personnelle.

Réalisatrice et arrangeur de la majorité de l’album, Maylin a voulu « aller à l’essentiel et retranscrire une sensibilité à fleur de peau ». L’instrumentation se résume à un cocktail délicat entre guitare, piano, cordes et percussions.

De sa voix brune et sensuelle, Maylin décrit le cheminement vers la maturité avec Be a man, évoque le pouvoir de la beauté à nous rendre meilleur (May beauty around),la plénitude du sentiment amoureux (Tout autour de moi) et l’émotion de la femme qui va donner la vie (Waiting for you,). Elle partage aussi sa quête pour devenir elle-même sur I was told). Derrière une certaine mélancolie qui imprègne l’album, Maylin n’oublie pas d’être légère et donne même envie de danser sur le titre Between you and me.

Maylin sur la Playlist sur la Radio des artistes ! A écouter sans modération !

Concert de James Walsh et Ben Montague au Hard Rock Cafe Paris

James Walsh- Ben Montague

James Walsh – Ben Montague

Hard Rock Cafe créé l’événement avec “ Simply Acoustic”, une série de concerts acoustiques gratuits, en collaboration avec James Walsh et Ben Montague. Hard Rock Cafe perpétue ainsi son soutien à la musique live et son engagement auprès d’associations à travers cette tournée exceptionnelle. Les deux artistes britanniques aux compétences acoustiques reconnues sillonneront l’Europe à travers plusieurs Hard Rock Cafe et tiendront leur dernier concert (je ne le préciserai pas car s’ils font moins…certains pourraient raler)au Hard Rock Cafe Paris, le 13 septembre, à partir de 19h30, dont les fonds récoltés seront entièrement reversés à l’ONG la Ligue contre le cancer.

Auteur-compositeur-interprète à part entière, James Walsh leader du groupe Indie Starsailor, a présenté son nouvel album Time is Nigh sur iTunes un peu plus tôt cette année et est désormais prêt à embarquer pour l’aventure de la tournée « Simply Acoustic » aux côtés de son compatrioteBen Montague. Ce dernier, est auteur-compositeur-interprète-musicien et sa musique est acclamée par la critique journalistique, notamment ses chansons “Can’t hold me down” et “Haunted”, issues de l’album Overcome.

Dans la lignée des valeurs philanthropiques du groupe Hard Rock International, engagé auprès de nombreuses associations caritatives dans le monde, ces deux chanteurs créatifs performeront au Hard Rock Cafe Paris dans le but de soutenir la Ligue contre le cancer. Afin de pouvoir assister au concert, l’entrée se fera sur la participation minimum de 10€ sous forme de don. L’intégralité de la somme récoltée sera reversée à l’association française.

Rendez-vous le vendredi 13 septembre à 19h30 au Hard Rock Cafe Paris

« Mafia Douce » premier album de Pendentif

Pendentif

La pop française est en pleine effervescence, mais il lui manquait encore le sourire étincelant et communicatif de Pendentif. Incarnée par la voix mutine de Cindy, la formation aquitaine a fait fondre les cœurs avec son single printanier Embrasse Moi, porté par une mélodie dansante et ces paroles qui font mouche : « Entre les kiss et les claques, tu provoques l’avalanche ». Dans sa jeune carrière, entamée par un premier EP en 2011, Pendentif a déjà connu plusieurs vies, ce qui explique l’étourdissante maturité de son premier album, Mafia Douceun titre antinomique qui évoque, dans un autre genre, le classique Fantaisie militaire (1998) de Bashung. En choisissant le nom d’un bijou porté par les femmes, les cinq amis affichent la part féminine de leur pop francophone et rappellent ainsi un grand groupe bordelais : Gamine.

Cindy Callède (chant, tambourin), Benoit Lambin (chant, guitare), Mathieu Vincent (basse, chœurs), Ariel Tintar (claviers, guitare, chœurs) et Jonathan Lamarque (batterie, chœurs) forment un joyeux club des cinq, réunis autour d’influences communes et disparates – la fraîcheur insolente des films de Jacques Rozier, l’inventivité universelle de Polnareff, l’espièglerie exquise de Lio, la nonchalance incomparable de Pavement, l’électronique contemplative de Toro Y Moi. Pendentif veut redonner des couleurs à la pop hexagonale, qui en manque parfois à trop broyer du noir.

Pour concocter son album, Pendentif a trié dans son vaste répertoire et fait appel à l’ingénieur du son et mixeur Antoine Gaillet (M83, Julien Doré…). Après des premières sessions d’enregistrement « à l’ancienne » en janvier 2012, le groupe peaufine ses arrangements et trouve sa voix avec Cindy, parfois doublée avec celle de Benoit. Ne résistant pas, le cas échéant, à quelques clins d’œil en anglais dans le texte (le refrain d’Embrasse-moi, des passages de Ondine ou de Pendentif). Depuis sa côte Atlantique, Pendentif signe des chansons réversibles – il ou elle peut s’y reconnaître –, mélangeant immédiateté, élégance et raffinement. Jerricane, l’un des premiers titres qui l’a révélé au public, en portait déjà tous les germes : comme si Arcade Fire rencontrait Mikado. Ou comment marier idéalement ses influences anglo-saxonnes (Real Estate, Girls, Poolside, Foals, Tennis, The Weeknd, Frank Ocean) avec son héritage hexagonal. « À porter en français et à chantonner sans y penser », aiment-ils répéter à l’unisson.

Les douze chansons de Mafia Douce racontent ainsi des instants volés, des romances naissantes, des ballades futiles, des virées nocturnes. Autant de cartes postales qui siéent idéalement avec l’été indien, où il fait bon humer les derniers effluves. Avec un sens du groove rare pour un groupe français et un songwriting parfaitement ciselé, Pendentif offre un voyage transatlantique, à mi-chemin entre la légèreté pop et la musique dansante : « J’ai quitté mon pays pour gagner l’élégance », comme le chantent en chœur Benoît et Cindy dans God Save la France. À vous d’accrocher ce beau Pendentif dans votre discothèque dès le 24 septembre prochain. L’automne sera également la saison des concerts pour le groupe, bonifié par l’expérience des prestigieuses premières parties qui se sont enchaînées depuis deux ans (Indochine, Baxter Dury, Catherine Ringer, Fránçois & The Atlas Mountains, Melody’s Echo Chamber ou La Grande Sophie) et qui se produira à la Maroquinerie (Paris) le 14 novembre prochain.

Pendentif a déjà reçu les prix suivants :

  • sélection CQFD Inrocks 2010,
  • découverte du Printemps de Bourges 2011,
  • lauréat tremplin SFR Jeunes Talents Francofolies de La Rochelle 2011,
  • espoir 2012 Magic
  • lauréat sélection Fair 2013.

Pendentif – Embrasse moi (Third Mirror Remix)

Prochaines dates :

  • Aug 30 : Festival Oh Les ChoeursTulle, France Sep 19 : L’Autre Canal Nancy, France
  • Sep 28 : COCONUT MUSIC FESTIVALSaintes, France 
  • Oct 10 : Ubu Rennes, France 
  • Oct 17 : I.BOAT – Release Party (Le French Pop Festival) Bordeaux, France
  • Le site de Pendentif : www.pendentifmusic.com/

Closing Party au Festival Météo de Mulhouse

Festival Météo

De G a D Fabien Simon Dir du Festival Meteo Julien Di Giusto Dir Mars Rouge Olivier Dieterlen Dir Noumatrouff @Agence Mars Rouge

Le Festival Météo – anciennement Festival de Jazz de Mulhouse – en coproduction avec le Noumatrouff et en partenariat avec l’agence Mars Rouge, lance sa première «closing party» et invite Rainer Trüby et Michael Rütten. Chargés dans le monde entier de faire découvrir des rythmes étrangers à nos oreilles, les deux allemands parcourent le monde adulés par la presse internationale pour leurs productions de qualité. On les retrouvera pour cette soirée exceptionnelle derrière les tournedisques, pour un son très dansant et de qualité qui émerveillera le public jusqu’au bout de la nuit du samedi 31 août dans la salle du Noumatrouff à Mulhouse.

Qu’on se le tienne pour dit : au Festival Météo, il ne s’agit ni de jazz, ni d’électronique, ni de contemporain, ni de rock, ni d’expérimental, ni d’improvisation. Il s’agit de tout ça à la fois, et plus encore de l’immense sincérité des musiciens et de la beauté implacable de la musique. Depuis le 8 août à Mulhouse, dans le Haut-Rhin et à Bâle sous la nouvelle direction de Fabien Simon. Le site du festival Météo : www.festival-meteo.fr

Rainer Trüby (Compost Records, Freiburg)

Rainer Trüby est un membre éminent du label munichois Compost Records dont les productions musicales sont reconnues pour leur qualité et leur originalité dans le monde entier. Dj renommé, auteur de sets incroyables ou se rencontrent jazz downtempo, house et Funk Rainer Trüby est également connu pour son travail en tant qu’instigateur de club le « Root Down » à Freiburg en Allemagne. Une fois tous les deux mois il mixe un mélange de bossa nova traditionnelle, de breakbeat, deephouse et de jazz tourné vers le futur. Rainer Trüby invite à Freiburg la crème des djs internationaux : Laurent Garnier, Jazzanova, Peter Kruder, Richard Dorfmeister, Christian Prommer, Kyoto Jazz Massive, Phil Asher, Jimpster, Tokyo Black Star, etc…

Ses initiatives ont toujours reposé et reposent encore sur le désir de faire découvrir au public l’éclectisme de la musique électronique sous ses aspects les plus variés et originaux. Les talents de Rainer Trüby lui ont valu le respect de Gilles Peterson. Il travaille actuellement sur une nouvelle production, dont la sortie est programmée au deuxième semestre 2010.

Michael Rütten (Compost records, Francfort)

Originaire de Francfort, en Allemagne, dj virtuose, journaliste, compilateur, promoteur des clubs Lazy et Enzo et producteur pour de nombreux labels prestigieux tels que Compost, Infracom, Schema, Michael Rütten aka Soulpatrol est également responsable du mondialement célèbre Compost Radio Show «Soulsearching». On le considère souvent, a juste titre, comme le Gilles Peterson germanique. Couvrant le spectre de la black Music dans son ensemble, de la techno de Detroit a la nusoul en passant par le jazz, Michael Rütten donne « la » description du « Freestyle ». Son émission de radio diffusé dans 14 pays, fait la part belle à la musique électro mais aussi au jazz en proposant des hommages à des artistes tels que Freddie Hubbard, Curtis Mayfield ou Teddy Pendergrass. Michael Rütten peut s’enorgueillir d’avoir jouer à des évènements ou lieux comme le Kaleidoskop à Berlin, le Mojo Club d’Hamburg, The Met Bar à Bangkok, le Garden Festival à Zadar, le fameux Gilles Peterson Worldwide Festival à Sète, les Worldwide Awards à Londres, l’Umbria Jazz Festival ou le festival Contre Temps à Strasbourg.

  • FESTIVAL METEO : NUIT DE CLÔTURE SOUS LE SIGNE DE L’ELECTRO
  • SAMEDI 31 AOÛT 2013 – A PARTIR DE MINUIT – 5 EUROS
  • NOUMATROUFF – MULHOUSE

Coup de coeur artéMédia avec JAQEE pour son nouveau single « Dance »

Jaqee s’est fait un nom en France grâce à la sortie de son album reggae Kokoo Girl (ressorti sous le nom Land of the Free – Makasound). Elle est de retour avec son second single « Dance » annonçant le futur album à venir ! Fin Mars, Jaqee avait dévoilé un premier extrait clippé intitulé Drop of Water, c’est cette fois encore une nouvelle facette que l’on découvre.

Jaqee

Jaqee est de ces artistes qui refusent les catégories musicales. On a pu l’entendre enregistrer des standards de jazz, développer un son reggae unique, créé un personnage et c’est cette fois sur une solide base de pop fédératrice que Jaqee annonce son grand retour. Après une résidence d’écriture passionnante en Afrique du sud, un enregistrement en Jamaïque, une tournée en Europe, un déménagement à Berlin, l’artiste ougandaise est fin prête à sortir son quatrième album.

On retrouve à la composition et à la production le talentueux Thilo “Teka” Jacks ainsi que Martin Hederos (The Soundtrack of Our Lives) aux arrangements. Après Drop Of Water, découvrez « Dance« , disponible depuis le 7 Juin 2013. Un titre atmosphérique et groovy invitant chacun à s’évader, à prendre de la distance, à lâcher prise dans son quotidien et profiter pleinement de moments simples. Le beat est léger, il flotte et reste difficile à catégoriser. On peut y entendre de la soul, du clubbing, des batteries live, des guitares dubbées, de l’Hammond et une mélodie de clavier irrésistible. Un concentré d’influences avec lesquelles joue Teka tout au long du futur album « Yes I Am« , proposant une sorte de concept-album sans concept(!). « L’idée était de pouvoir ‘fondre’ Jaqee dans cette univers et ces musiques plurielles. Nous n’avons pas voulu nous confronter à des questions de frontières musicales, de limites, nous voulions juste le faire« .

« Dance » parle de l’amour pour la danse et par voie de conséquence, celui pour la musique.

« Dance » est le second single tiré du quatrième album de JAQEE « Yes I Am » qui sera disponible en France le 23 Septembre 2013 (Rootdown Records).

JAQEE en CONCERT :

  • 09/08/2013 – Festival Ard’Afrique- Les Vans (07)
  • 31/08/2013 – FestivalL Du Vieux Chêne – LA Pouèze (49)

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JAQEE – « Dance » (Official Video)

La JIRAFE: Et si on parlait Musique ?

la jirafe

La JIRAFE, c’est le rendez-vous incontournable de la rentrée pour recevoir des conseils de professionnels des musiques actuelles pour développer son projet. Ce temps fort de l’information et de la ressource s’adresse aux musiciens amateurs en recherche de cours, de formations et aux artistes en voie de développement, désireux de mieux connaître leur entourage professionnel et d’élargir leur réseau.

La JIRAFE offre la possibilité, sur une soirée et une journée, d’obtenir tous les renseignements souhaités sur les centres de formations, les studios de répétition et d’enregistrement, les services de soutien administratif, les dispositifs d’aides et les différents acteurs qui accompagnent les artistes tout au long de leur parcour. Plus de 70 professionnels du secteur sont réunis pour rencontrer les musiciens dans un cadre convivial. Cette année, nous terminerons la JIRAFE en musique autour d’un concert gratuit de Sophia Lorenians et Rootwords.

AU PROGRAMME

RENCONTRES PROS

Un espace privilégié pour favoriser les échanges entre artistes et professionnels du secteur (ACP Manufacture, Ecole Atla, Studio SMOM, Paris Jeunes Talents, Aglaé Services, IRMA, etc.)

CONFÉRENCES

Jeudi 19 septembre

«Les métiers de la musique : éditeur, producteur, tourneur… qui fait quoi ?» suivi d’une présentation sur «Les réseaux de la diffusion».

Vendredi 20 septembre

Développer une stratégie Web pour la visibilité de son projet artistique

ATELIERS

Une vingtaine d’ateliers gratuits sont proposés sur la journée du vendredi autour de thématiques adaptées aux besoins des musiciens amateurs et en voie de professionnalisation. Les ateliers sont accessibles à tous, les inscriptions se feront sur place dès l’ouverture des portes à 10h30.

Centre Musical Fleury Goutte d’Or Barbara
1, rue Fleury – 75018 Paris
www.fgo-barbara.fr

LA JIRAFE EST ORGANISÉE PAR LE MAP

Le MAP – Réseau des Musiques Actuelles de Paris fédère et représente 53 structures et acteurs de la filière parisienne investis dans l’accompagnement de la scène émergente et la diffusion des musiques actuelles à Paris.

Ce sont des salles de concerts, des studios de répétition, des centres de formation, des producteurs, des labels…Par la diversité de ses adhérents, le MAP reflète aujourd’hui l’intégralité du paysage musical de la capitale et s’emploie continuellement à le structurer, valoriser son activité et à le représenter vis-à-vis des pouvoirs publics. WWW.RESEAU-MAP.FR/JIRAFE

 

Hyphen Hyphen joue pour la marque H&M

(c) Robert GIL

(c) Robert GIL

Après avoir écumé les festivals cet été (Sakifo, Solidays, Bobital, Eurockéennes…), les quatre niçois d’Hyphen Hyphen deviennent les ambassadeurs de la collection Divided automne-hiver de la marque H&M. Hyphen Hyphen, c’est Santa (chant/guitare/synthé), Line (basse/chant), Puss (guitare) et Zak (batterie), quatre étudiants niçois. Le groupe développe sur scène une énergie brute, un groove frais et dansant qui vous sonne et vous transporte. Des prestations scéniques époustouflantes qui vous remuent les tripes tout en vous éveillant les sens en dynamisant l’interactivité avec le public par des chorégraphies, l’utilisation de peintures fluo, costumes, etc.

HYPHEN HYPHEN en concert :

  • 26/07/13 > SUMENES – Festival Transes Cévenoles
  • 27/07/13 > SAINT MARTIN SAINTE CATHERINE – Festival Rock en marche
  • 02/08/13 > MONTREAL – Osheaga Festival
  • 08/08/13 > TOUVERAC – Les Jeudis de l’étang
  • 10/08/13 > LAC DE VILLEGUSIEN – Festival du Chien à plumes
  • 16/08/13 > TREVOU-TREGUIGNEC – Festival Chausse tes tongs
  • 24/08/13 > MONTGAILLARD – Festival Truca Taoules
  • 01/09/13 > MARSEILLE – Les apéros du bateau
  • 13/09/13 > PENNES MIRABEAU – Jas Rod
  • 14/09/13 > MONTPELLIER – Festival 2+2=5

Hyphen Hyphen : H&M Divided High School 2013

Les Plastiscines : Interview !

les plastiscines

Photo by Babette Pauthier

TROIS ANS QU’ON ÉTAIT SANS NOUVELLES DES PLASTISCINES, PREMIER GROUPE ROCK FÉMININ FRANÇAIS À POUVOIR SE FROTTER AUX PLUS GRANDS. ON LES AVAIT QUITTÉES, FIN NOVEMBRE 2010, À LA CIGALE OÙ ELLES CONCLUAIENT EN BEAUTÉ PLUS D’UN AN DE B.I.T.C.H TOUR, UNE TOURNÉE QUI LES A CONDUITES DE L’EUROPE AUX ETATS-UNIS EN PASSANT LE BRÉSIL.

Anaïs, Katty et Louise (elles sont trois maintenant) nous dévoilent une nouvelle facette de Plastiscines. Plus urbaine au sens pop du terme mais sans pour autant remiser leurs guitares au garage. La preuve avec les premiers extraits de l’album, « Coming Get To You», hymne électro-pop mutine et « Comment Faire », tornade pop qui ne s’arrête jamais, noyée de guitares électriques, au refrain catchy qui s’immisce au plus profond de votre mémoire et qui ressemble fort à un futur tube de l’été.

Pour ce nouvel album, les Plastiscines ont puisé dans l’énergie des groupes de filles des années 80 comme Blondie, Bananarama ou encore les Bangles, pour retrouver leur atmosphère plus pop et plus dance avec les pianos et les synthés, tout en s’éloignant un peu de leur son garage rock.

Avec l’aide des producteurs RAC, Alalal, Stacy Jones, Jeff Kite, Mirwais… Le nouvel album des Plastiscines conjugue leur background rock énervé à une insouciance pop et un désir de faire des pirouettes sur la piste de danse.

Un retour en grande forme qui confirme, et les Plastiscines en sont le meilleur exemple, que le rock c’est d’abord un truc de gonzesses !

Les Plastiscines : Interview !

Les plastiscines

Photo by Emma Le Doyen

Concerts :

  • [29.11.13 ]STRASBOURG – La Laiterie
  • [ 30.11.13 ]PARIS – La Maroquinerie
  • [ 06.12.13 ]LIMOGES – CCM John Lennon
  • [ 13.12.13 ]CLERMONT FERRAND – Coopérative de Mai

Les Plastiscines sur Amazon

Magic Malik « Tranz Denied » le 12 septembre chez Bee Jazz

Magic Malik

Attiré depuis toujours par la science fiction,  le monde des jeux vidéos et la création de sons proches de cet univers, c’est tout naturellement que Magic Malik, qui s’est illustré en tant que flûtiste jazz dans ses précédents albums se lance aujourd’hui dans la musique électronique (à proprement dite) au fil de ses recherches et compositions..L’album Tranz Denied, ovni musical conçu entièrement en studio en 5 jours en toute spontanéité et dont certaines paroles (Shibuya Memories,en faux japonais et EZ.COM) ont été écrites sur l’instant. Le projet est né au festival « Musique de Jazz & d’Ailleurs » en 2011 pendant lequel Magic Malik, Gilbert Nouno, DJ Oil et Hubert Motteau ont collaboré sur scène. Ce concert fut suivit d’une résidence d’une année à la Villa Médicis de 2011 à 2012 des deux comparses Magic Malik et Gilbert Nouno qui aura permis à ce projet de mûrir et de se concrétiser quelques mois plus tard.

Entre musique contemporaine, électro, pop et jazz, l’alchimiste Magic Malik nous envoûte encore une fois à la manière d’un chaman à l’écoute de son nouvel album Tranz Denied. Contrairement à ses XP destinées à des auditeurs plus avertis, Tranz Denied se destine à un public plus large. Dans cet album Magic Malik chante et joue de plusieurs instruments : flûte, claviers, basse, guitare, Senza  sur des basses rythmiques préparées en amont par DJ.OIL. Magic Malik dans son dernier album se dévoile plus que jamais en tant que chanteur, virevoltant entre soul américaine et pop japonaise, Tranz Denied serait-il le premier pas de Magic Malik vers un album entièrement chanté, le futur nous le dira.

Malik Mezzadri grandit à Pointe-à Pitre en  Guadeloupe, où il commence la flûte à bec et la flûte traversière à l’âge de 6 ans. À 13 ans il apprend la flûte avec Marc Rovelas : il lui fait découvrir Bach, Xenakis, Ravel ou encore Stockhausen. À 17 ans, il quitte la Guadeloupe pour Marseille et sort diplômé du  conservatoire  de  Marseille avec le premier prix de flûte. Il découvre le jazz à cette même.époque. Dès sa sortie du conservatoire, il a l’occasion de jouer dans le groupe de reggae Human Spirit dans lequel il reste pendant 10 ans. Malik Mezzadri multiplie alors les collaborations en tant que flûtiste-arrangeur avec Lio, Teri Moise, Laurent Garnier, Saint Germain, Dj Gilb’R, FFF. En 1992 il fonde son premier Magic Malik Orchestra qui enregistre la même année sa première maquette qui paraîtra en 1997 sous le titre HWI Project chez Salam Aleikum avec 13 musiciens. Il rencontre ensuite Julien Lourau qui tourne avec sa propre formation : le Groove Gang. En 1998 il participe à l’album City Boom Boom et intègre le Groove Gang. En 1999, Malik accompagne le Groove Gang pour une tournée de plusieurs mois entre l’Amérique du sud et l’Afrique.

En 2000, il décide de se lancer dans un projet d’album sous son nom et reforme un Magic Malik Orchestra. Il enregistre alors l’album 69.96 chez Label.Bleu. En 2003 Malik sort son double album intitulé 00-237 XP-1. Le premier disque présente un échantillon de son répertoire dans la lignée de l’album précédent mais plus jazz et plus complexe. Sur le second volume, XP-1, Malik dévoile ses premières tentatives d’échafauder une langue personnelle, cachées derrière le nom de code XP. Steve Coleman, intéressé par la démarche musicale de Malik, apparaît même sur une plage de l’album avant d’inviter Malik à le rejoindre sur l’album Five Elements (Blue Note).

En 2004, il propose avec le Magic Malik Orchestra un album intitulé 13 XP Song’s Book : treize chansons célèbres ou non vues sous le prisme de Malik.  Malik enregistre et écrit avec de nombreux musiciens de la nouvelle génération : -M-, Bumcello, Camille, Pierrick Pedron, Aka Moon, Booster. Plus récemment il a également collaboré avec Hocus Pocus, Air, Oumou Sangaré, Anthony Joseph et Meshell Ndegeocello. En 2008, il sort un nouvel album intitulé Saoule en quintet. Et en 2010 il enregistre pour la première fois en quartet, l’album Short Cuts chez Bee Jazz.

L’originalité de Magic Malik, outre une technique peu commune, est son jeu acrobatique et l’utilisation de nombreux cris et chantonnements dans sa flûte, appelé Growl. À ce titre, il peut être considéré comme un héritier indirect de Roland Kirk.

En 2011 il est invité avec le musicien et compositeur Gilbert Nouno à effectuer une résidence d’un an à la Villa Médicis à Rome pour un travail de recherche sur.la.composition et l’improvisation. En 2012 Magic Malik sort l’album Alternate Steps, qui fait aussi bien référence au courant alternatif (courant électrique qui change de sens) qu’à l’album Giant Steps de John Coltrane, il reprend dans cet album ses diverses influences dans un concentré de compositions. Son nouvel album Tranz Denied prévu pour septembre 2013 qui se place plus dans la mouvance de la musique électro-pop que jazz représente d’ailleurs un renouveau musical dans la carrière de Magic Malik et un choc musical pour le public.

Depuis quinze ans, la sonorité de la flûte enchantée de Magic Malik figure sur bien des titres. De la house jazzy de St Germain aux formules mathématiques de Steve Coleman, des productions des Troublemakers à celles de Vincent Ségal, Magic Malik est avant tout un chercheur de sons, un défricheur de talents et un leader charismatique, mais aussi un compositeur unique doublé d’un chanteur hors pair. Attiré depuis toujours par la science fiction,  le monde des jeux vidéos et la création de sons proches de cet univers, c’est tout naturellement que Magic Malik, qui s’est illustré en tant que flûtiste jazz dans ses précédents albums se lance aujourd’hui dans la musique électronique (à proprement dite) au fil de ses recherches et compositions..L’album Tranz Denied, ovni musical qui bénéficie de l’appui de Dj Oil et Gilbert Nouno à l’électronique, est un voyage hallucinant et un choc musical dont on mesure l’importance dès la découverte du premier extrait 渋谷 (SHIBUYA) Memories qui devrait faire sauter au plafond les amateurs de Brian Eno et du Yellow Magic Orchestra.

Sortie le 12 septembre chez Bee Jazz
Avec Dj Oil (Laptop & Electronics), Gilbert Nouno (Laptop & Electronics), Hubert Motteau (Drums)

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En tournée :

  • 11/07/13 – Jazz à Porquerolles-Porquerolles (83)
  • 04/10/13 – Les Treizes Arches -Brives la Gaillardes (19)
  • 12/10/13 – Le Tamanoir – Gennevilliers (92)
  • 17/10/13 – La Batterie – Guyancourt (78)
  • 29/10/13 – La Maroquinerie – Paris (75)
  • 09/11/13 – Victoire 2 – Montpellier (34)
  • 04/12/13 – L’Aéronef – Euralille (59)
  • 27/03/14 – Jazz à l’étage – Rennes(35)