finale du Grand Zebrock à La Maroquinerie

Demi Mondaine

Demi Mondaine

Professionnels de la musique et mélomanes férus de découvertes se croisent chaque année de plus en plus nombreux dans la belle salle de la Maroquinerie pour la finale du Grand Zebrock. Cet événement réunit les trois groupes sélectionnés parmi les 10 de la promotion annuelle du dispositif d’accompagnement et de réperage, « Le Grand Zebrock ».

L’enjeu pour les finalistes est de taille : le Prix Sacem de 1 000€ ainsi que le titre de lauréat du Grand Zebrock 2013, décernés le soir même après délibération du jury. Le jury est composé cette année de : Marcelle Galinari (directrice du Réseau Printemps), Vincent Bonvallet (délégué régional de la Sacem), Antoine de Galzain (directeur de France Bleu 107.1), Edgard Garcia (directeur de Zebrock) et le groupe lauréat de l’année précédente (cette année les W.E.T). Les partenaires du Grand Zebrock, la salle de concerts Canal 93 (Bobigny) et la radio France Bleu 107.1 attribuent également lors de la soirée leur groupe « coup de coeur » choisi parmi les 10 groupes de la promotion.

Les lives sont enregistrés et retransmis lors d’une « Soirée spéciale Zebrock » en juin sur France Bleu 107.1.

Demi Mondaine, emporté par Béatrice, chanteuse sensuelle à la voix profonde, nous magnétise avec un son punk-rock-racé-redoutable. Élégance sauvage, tatouage et cuir, style et assurance, Demi Mondaine s’offre en entier. Le groupe vient de sortir un vinyle intitulé « Private Parts », du titre que leur a offert Iggy Pop himself, conquis par la fureur rock’n’roll des parisiens.

Who’s Betty Argo ? Compositions originales, un sérieux sens de la mélodie, Betty Argo séduit déjà les oreilles les plus attentives. À la croisée des chemins, chanson, trip hop, pop, reggae… le duo nous embarque dans un univers de musiques urbaines résolument dansantes.

Drôle de personnage ce JereM ! Accompagné d’une guitare, d’un looper ou d’un ukulélé, il compose des chansons résistantes à toute épreuve. Sa recette ? Une bonne dose de second degré, des sons fabriqués de bric et de broc et des mots qui claquent façon onomatopées. Un peu fou ce JereM nous direz-vous ?

La Maroquinerie, 23 rue Boyer, Paris 20ème.
Tarifs : Prévente : 6€ (hors frais de loc) / Sur place : 8€

Finale Grand Zebrock 2013

Les 3 lauréats de la seconde édition de esprit musique 2013 sont !

 lauréats esprit musique 2013

Les groupes Backstage Rodeo, The George Kaplan Conspiracy et The Same Old Band, sont les grands gagnants du Concours Jeunes Talents 2013. Pour les récompenser, la Caisse d’Epargne leur offre une tournée en France, du 21 mai au 15 juin 2013. Ils se produiront à Paris le samedi 15 juin 2013.

Cette seconde édition du concours Jeunes Talents a permis de révéler dix groupes régionaux, plébiscités par près de 148 000 votes d’internautes sur la plateforme espritmusique.fr. Un jury de professionnels les a ensuite départagés pour élire les trois lauréats nationaux 2013 : Backstage Rodeo, the George Kaplan Conspiracy et The Same Old Band.

Ils se produiront en concerts gratuits à travers la France aux dates suivantes :

  • Mardi 21 mai 2013 – Rocher de Palmer – Cenon
  • Mercredi 22 mai 2013 – Cargo de Nuit – Arles
  • Jeudi 23 mai 2013 – Lo Bolegason – Castres
  • Mercredi 12 juin 2013 – la Vapeur – Dijon
  • Jeudi 13 juin 2013 – Marché Gare – Lyon
  • Vendredi 14 juin 2013 – Autre Canal – Nancy
  • Samedi 15 juin 2013 – Flèche d’Or – Paris

Ces trois groupes remportent chacun une guitare Gibson Les Paul Studio 2013 équipée du système d’auto accordage Min-Etune et un chèque de 5 000 €. Leurs morceaux musicaux les plus significatifs seront sur la compil Esprit Musique #02. Elle reprend également les titres des lauréats régionaux.

Compilation Esprit Musique #02 

Dans la foulée du concours Jeunes Talents, la Caisse d’Epargne édite la compilation Esprit Musique de l’année. Elle sélectionne les dix meilleurs titres des lauréats régionaux qui ont fait vibrer les scènes de musiques régionales :

  1.  “Done Me Good” – THE SAME OLD BAND
  2.  “Montréal” – MINOU
  3.  “Phoenix & Rapsodie” – THE GEORGE KAPLAN CONSPIRACY
  4.  “For all the Kids” – MISS PARKER
  5.  “Picture House” – OH ULYSSES
  6.  “It” – BACKSTAGE RODEO
  7.  “Columbine” – STARVAGE
  8.  “State of Mind” – JAZZEBA SWIFT MACHINE
  9. “A Baby Baby” – AUZIER
  10. “Tired to Get Fired” – BIGMONEYMAKERS

Concours Jeunes Talents Caisse d’Epargne : mode d’emploi

Sur l’ensemble du territoire, les fans ont fait grimper le compteur jusqu’à 148 000 votes sur le site www.espritmusique.fr. C’est une véritable réussite pour cette deuxième édition du Concours Jeunes Talents Caisse d’Epargne.

54 Jeunes Talents ont été sélectionnés par les Scènes en Régions®, salles de concerts régionales, et Radio Nova sur la plateforme Esprit Musique pour cette seconde édition du concours Jeunes Talents Caisse d’Epargne. Du 4 octobre au 23 décembre 2012, chaque groupe s’est produit en première partie d’artistes de renom. Répartis en dix « territoires », les Jeunes Talents ont été soumis du 4 janvier au 8 février 2013 aux votes des internautes sur espritmusique.fr pour élire dix lauréats régionaux. Un jury de professionnels les a ensuite départagé pour élire les 3 lauréats nationaux.

Ecouter : 



Alela Diane, Nouvel Album « About Farewell »

adela diane

« I heard somebody say that ‘the brightest lights cast the biggest shadows,’ so honey, I’ve got to let you go, I’ve got to let you go ». (« J’ai entendu quelqu’un dire que ‘les lumières les plus brillantes créent les ombres les plus fortes,’ alors chéri, il faut que je te laisse partir, il faut que je te laisse partir ». )

…Ainsi chante de sa voix de crooneuse l’élégante reine de la folk, Alela Diane, sur le titre phare de son album à paraître, About Farewell. Toute l’année dernière, Alela s’est consacrée à l’enregistrement et au mixage de ce nouvel opus autoproduit dont la sortie est attendue aux USA sous son label personnel, Rusted Blue Records et en Europe chez Believe Recordings. Un album conçu comme une révérence tirée aux amours du passé qui n’exclut pas certaines incursions poignantes dans les allées du souvenir. Si les textes sont très évocateurs de son récent divorce, ils invitent aussi à explorer avec une honnêteté désarmante et une intuition toute en nuances les relations qui ont marqué la vie de l’artiste pendant ces dix dernières années.

C’est peu dire que l’expérience a des allures de catharsis, tant l’on sent que cet album était, pour Alela, une nécessité absolue. Grâce à la grande lucidité de son écriture, elle a su articuler les émotions nées de sa vie conjugale. Au passage, ce processus allait lui révéler la nécessité de refermer un chapitre de sa vie pour en écrire un autre. Et, comme toujours, son inspiration artistique a guidé ses pas vers le bon chemin. Le processus d’écriture et d’enregistrement de About Farewell est venu concrétiser son intention de tourner la page. Et c’est au moment où l’album sort – et alors même qu’elle le livre au monde extérieur – que cet oiseau chanteur, les ailes enfin libérées d’un lourd fardeau, renoue avec la légèreté pour voler vers ce futur que la langue française nomme l’avenir – c’est-à-dire ce qui reste à venir. »

A la fois sombres et criants d’une vérité qui fait mal, les titres sont pourtant illuminés par l’infinie délicatesse de son chant poétique. Bouleversante, la voix occupe sur cet album le devant de la scène, Alela s’étant éloignée du groupe qui l’accompagnait encore sur Alela Diane & Wild Divine. About Farewell repose entièrement sur sa voix et sur des arrangements de guitare assez dépouillés. Grâce à une maitrise encore jamais atteinte de son expression créative, Alela est allée à la découverte de son regard à elle sur l’harmonie et la mélodie pour créer ce bijou d’expression personnelle.

Si l’album représente, de ce point de vue, un grand pas en avant pour Alela, il marque aussi son retour aux sources en tant qu’auteur. Originaire de Nevada City, en Californie, Alela n’a jamais rompu avec les charmes domestiques de sa terre d’origine. La pochette de son premier album, The Pirate’s Gospel, comportait d’ailleurs des éléments dessinés et cousus main. C’est cette esthétique artisanale et ce côté «bricolage» qui sont ici revisités et réinterprétés. On les sent présents à la fois dans la décision de l’artiste d’autoproduire l’album et dans la volonté de prendre une part active à l’enregistrement.

C’est chez elle, à Portland dans l’Oregon, à la fin 2011 et au début 2012, qu’Alela a écrit la plus grande partie de l’album About Farewell avant d’enregistrer avec John Askew au Flora Recording Studios. Pendant l’année 2012, elle s’est entourée de quelques amis très talentueux pour peaufiner le son : Heather Broderick (Horse Feathers, Efterklang, Loch Lomond) qui signe les arrangements et l’interprétation au piano et à la flûte, Holcombe Waller, chargé des arrangements des cordes, et Neal Morgan (Joanna Newsom, Bill Callahan l’accompagnent sur scène en tournée) à la batterie. Il aura fallu attendre le début 2013 pour qu’elle mette la touche finale au mixage de l’album avec John Askew, dans les studios Scenic Burrows et Mix Foundry.

Ces chansons folk au style épuré sont sans conteste l’écrin rêvé pour révéler le vaste registre d’émotions qu’exprime le chant d’Alela. Elle, qui peut passer en un instant de la vulnérabilité la plus poignante à un courage tout en sagesse et à une franchise désarmante. Nulle part cette palette d’émotions n’est aussi complète que lorsqu’Alela est sur scène. Un moment d’intimité et de grâce pour ceux qui auront la chance de la voir en concert cette année… Lorsque le printemps paraît, le coeur se réchauffe et s’ouvre à nouveau à la promesse de tous les possibles. Alela avait le coeur brisé, elle a dit «Farewell». Le moment est maintenant venu de faire connaissance avec cette femme nouvelle qui a fait peau neuve.

Alela Diane « About Farewell » (audio)

Smoking Smoking, Concert unique le 4 juin au Café de la Danse

smoking smoking

A ne pas rater. Smoking Smoking une combinaison qui s’avère imparable sur scène, 1 piano, 4 mains, 2 voix. L’influence pop de la première qui place les Beatles au panthéon et admire l’orfèvrerie des mélodistes Rufus Wainwright et Peter Von Poehl, épouse merveilleusement la mélancolie de la seconde, élevée aux chanteuses à piano ( Fiona Apple, PJ Harvey ). Smoking Smoking évolue dans un univers fantasmé et délicieusement anachronique : le cinéma de Cassavetes y croise les chansons d’amour d’Elvis Presley, Nina Simone y côtoie les héros des westerns. Après avoir sorti leur premier album très remarqué It’s all about Love, Audrey Ismael et Vanessa Filho, les deux musiciennes de Smoking Smoking seront le 4 juin au Café de la Danse pour un concert rempli de surprises avec un dress code imparable : en noir et en blanc.

A quiconque avait encore des doutes sur sa vitalité, les dernières saisons se sont chargées d’illustrer l’excellente santé de la pop française: de Rover à AaRON, la scène locale se porte mieux que jamais et n’a plus rien à envier à sa voisine anglo-saxonne. Ce dynamisme se confirmera cet automne avec la sortie de It’s All About Love, le premier album de deux nouvelles représentantes sonores du pays, Audrey et Vanessa, réunies sous le patronyme de Smoking Smoking.

C’est à AaRON, d’ailleurs, qu’on doit d’avoir entendu pour la première fois la musique du duo. Proches des jeunes femmes, les Français les avaient invitées à assurer leur première partie lors de leur tournée française sur la foi de quelques morceaux. « C’était un immense défi pour nous, car on n’avait créé Smoking Smoking que quelques mois plus tôt. ». Jusqu’alors, les deux jeunes trentenaires avaient en effet chanté, mais séparément : la première au sein du projet Maëlis, la seconde sous son nom- Vanessa Filho-, aux côtés d’Olivier Couriser, co-membre d’AaRON.

Quelques mois avant qu’Aaron ne les prenne sous son aile, les deux amies discutaient autour d’un verre, dans une brasserie parisienne. « On évoquait nos projets musicaux, nos histoires personnelles. Soudain, on s’est mis à envisager un projet commun. On a fredonné une mélodie et on l’a enregistrée sur nos répondeurs pour pouvoir la réécouter.» Heureuse surprise lorsque le duo consulte sa messagerie le lendemain : il y découvre le refrain de ce qui deviendra le premier single du groupe, un Are We Lucky imparable porté par une mélodie enivrante. Audrey et Vanessa, qu’une forte amitié lie depuis une demi douzaine d’années, se redécouvrent alors en alter egos artistiques : l’influence pop de la première, qui place les Beatles au panthéon et admire l’orfèvrerie des mélodistes Rufus Wainwright et Peter Von Poehl, épouse merveilleusement la mélancolie de la seconde, élevée aux chanteuses à piano (Fiona Apple, PJ Harvey) et aux enchanteurs inaugurant l’alphabet (Dominique A, Antony and the Johnsons). Riche de ces influences complémentaires, le duo agence Smoking Smoking, créant pour cela une combinaison qui s’avèrera imparable sur scène : un piano, quatre mains, deux voix. «Ensemble, on a perdu nos craintes et nos complexes. On est devenues beaucoup plus libres dans le processus de création. On peut tout se dire dans Smoking Smoking, donc on peut aussi tout oser.»

A ces influences musicales s’ajoutent des références esthétiques communes: Smoking Smoking évolue dans un univers fantasmé et délicieusement anachronique : le cinéma de Cassavetes y croise les chansons d’amour d’Elvis Presley, Nina Simone y côtoie les héros des westerns. « On aime bien l’idée de faire du romantisme vintage. Smoking Smoking, c’est un projet qui tourne autour du fantasme. On aime ces images du passé, le noir et blanc, les fifties…» Fort de ces références cinématographiques, Smoking Smoking a agencé, pour son single Are We Lucky, une vidéo épatante, tournée dans un New-York irréel et captivant. Le clip, comme toutes les photos du groupe d’ailleurs, est signé Vanessa : en marge de sa carrière de musicienne, la jeune femme est vidéaste et photographe, et a notamment travaillé sur les vidéos et photos d’AaRON. Surtout, le groupe a soigné le casting pour façonner son premier album.

Autour des musiciennes, on trouve ainsi le réalisateur Florent Livet (ex-assistant de Philippe Zdar ayant œuvré pour Housse de Racket, Phoenix et The Rapture), et les musiciens Thomas Henning, Pablo Pico et Jeremy Verlet. Tous se sont réunis à quelques encablures de la capitale, dans l’élégant manoir du studio La Frète, souvent admirablement fréquenté (Feist, Syd Matters, Katerine…). De ces sessions est né It’s All About Love, un premier disque qui déroule onze ballades à la mélancolie radieuse. Un disque chanté par des filles, mais qui parle beaucoup d’amour et de garçons, qu’ils soient marins, cosmonautes ou cowboys… Fragile et singulier- les guitares y brillent par leur quasi-absence-, l’album, dans sa forme, évoque tour à tour les chants nocturnes de Kate Bush (Dancing), Elysian Fields (l’alangui Don’t Let Me Down) et Beth Orton (l’inaugural Hold My Hand, porté par des cuivres flamboyants).

Fût-il un long-métrage, It’s All About Love serait pressenti pour recevoir, dès l’automne, le grand prix du jury.

Concert unique le 4 juin au Café de la Danse 

Dress Code : En noir et blanc

La 24ème des « 24 heures du swing » va à l’essentiel…

Les 24 Heures du Swing de Monségur

Organisé par l’Office Monségurais de la Culture et des Loisirs, le festival Les 24 Heures du Swing de Monségur attire depuis plus de 20 ans, chaque premier week-end de juillet, plus de 12 000 passionnés de Swing, New Orleans, Swing Manouche, Jazz Vocal, Be Bop, Ragtime, Blues, Hard Bop, Jazz Rock, Salsa… Le défi de départ des organisateurs : organiser une fête du Jazz… Pari relevé. Le festival a gagné une renommée nationale en faisant venir les pointures du jazz tout en proposant une manifestation conviviale et familiale.  Du jazz pendant 3 jours de fête. Un festival pour tous, accessible à tous.

Vendredi 5 juillet

  • Halle (jazz vocal)
  • September celebration

« …Une création autour de 3 chanteuses réunies par le pianiste Serge Moulinier Alice Mc Carthy, Lo Jay & Martine Olméda… » Cecile Mc Lorin Salvant «… l’aisance et l’aplomb qui révèlent instantanément le talent… « …côté naturel, la belle est désarmante. Le genre de technique vocale tellement éblouissante qu’elle annihile tout sentiment d’effort… »

Samedi 6 juillet

  • Halle (tradition jazz)
  • Benny Golson & Pierre-Yves Sorin 5tet

« …L’une des dernières légendes du saxophone jazz, Benny Golson reste l’un des musiciens les plus complets de ces 25 dernières années. C’est un compositeur doué d’une sens de la mélodie absolument exceptionnelle »… »

  • Les Gosses de la rue invitent Romane

« …Romane, le plus fin, le plus mélodique, le plus ardent des guitaristes de la planète Gypsy… » Village swing (swing) Sanguinet Jazz Band Jazz Chamber Orchestra Evan Christopher’s Jazz Tradition Project « …l’un des représentants majeurs du style New Orleans tel qu’il est pratiqué à l’heure actuelle… »

Dimanche 7 juillet

  • Village swing (jazz, gospel, funk)
  • Fonegna Copie
  • Jérôme Gatius New Orleans Big 4
  • Gizelle Smith

« Gizelle saute, trépigne, se fait doucereuse, sensuelle, crie.une pure énergie, une pêche vocale, du groove, de la sensualité ! »

Renseignements / Réservations

Office Monségurais de la Culture et des Loisirs – 4 avenue Jean Paul Glanet – 33 580 MONSEGUR – www.swing-monsegur.com

Collaboration entre Sony et La Fouine avec le casque MDR-XB910

la fouine

La Fouine, devenu un des leaders de la scène hip hop, s’associe à Sony pour le lancement du nouveau casque premium MDR-XB910 créé pour les passionnés de Hip Hop, Rap et R’n’B.

Très influent sur les réseaux sociaux, le rappeur français déjà disque d’Or avec son dernier album « Drôle de parcours » a été choisi pour représenter la marque SONY dans le cadre d’une campagne de communication européenne

Le MDR-XB910 est un casque vertical pliable de 305 g autour d’une technologie avancée de structure à vibrations directes. Avec le MDR-XB910 vous pourrez écouter toute votre collection musicale dans le moindre détail grâce au diaphragme en néodyme de 50 mm et à la puissance d’entrée maximale de 3 000 mW. Le MDR-XB910 vous permet de profiter de de basses équilibrées quel que soit votre style musical : les diaphragmes avant et arrière flexibles fonctionnent ensemble pour une restitution optimale des basses. Doté d’un Design pliable le casque vous assure un rangement aisé : il vous suffit de plier votre casque et de le glisser dans votre sac lorsque vous ne l’utilisez pas. Le MDR-XB910 vous est aussi  fourni avec un câble muni d’une télécommande et d’un microphone intégrés qui vous offrent la possibilité de répondre en un clin d’oeil à tous vos appels téléphoniques.

Principales caractéristique du casque MDR-XB910

  • Advanced Vibe structure: excellente isolation, des basses profondes et un son limpide
  • Réponse en fréquence: 3-28 000 Hz
  • Diaphragme: 50 mm
  • Cordon unilatéral détachable
  • 2 cordons fournis dont un avec télécommande et microphone compatibles tous smartphones
  • Coussinets en uréthane et cuir souple sans couture
  • Coussinet sur l’arceau pour un confort longue durée
  • Ecouteurs pliables
  •  Sensibilité: 106 dB/mW
  • Puissance admissible : 3 000 mW
  • Impédance: 24Ω à 1 kHz
  • Aimant en néodyme
  • Prix public : 200€

La Fouine feat Zaho – Ma Meilleure [CLIP OFFICIEL]

Cinquième édition à Biarritz du BIG festival

big festival

La cinquième édition du Biarritz International Groove Festival, événement musical et festif incontournable de la côte Basque, aura lieu du 17 au 21 juillet 2013. Au programme : 4 jours et 4 nuits de fête et de musique, une succession de concerts exceptionnels de midi à l’aube, de la plage aux clubs, entre le BIG Village face à l’océan, le stade Aguilera, et la BIG boîte dans la halle d’Iraty. « Music, Sea, Sun & Fun » !

Après avoir annoncé il y a quelques semaines la programmation des 18 et 19 Juillet avec la venue de Neil Young, Wu Tang Clan, Jonathan Wilson, Gary Clark Jr, Orelsan et The Bloody Beetroots, le BIG festival dévoile aujourd’hui les artistes qui se produiront le samedi 20 Juillet au stade Aguilera de Biarritz. Mais également la programmation des artistes qui se produiront à la BiG Boite à la Halle d’Iraty.

Pour la 2 ème année consécutive, le festival vous mènera sur le dancefloor jusqu’au bout de la nuit ! La BIG Boite investit cette année la halle d’Iraty pour s’offrir un club sur mesure, construit de toutes pièces à l’intérieur de la salle de concert et pouvant accueillir 2500 clubbers*. De Minuit à l’aube, les fans de musiques électroniques pourront venir finir la soirée en dansant sur les DJ sets les plus attendus.

La liste des artistes s’agrandit et rend le festival de plus en plus incontournable pour son édition 2013.

Le BIG Festival est aujourd’hui l’événement culturel le plus médiatisé de la ville de Biarritz, partenaire privilégié de l’événement. L’objectif du festival est simple : mêler les têtes d’affiches et coups de coeur en phase avec l’actualité musicale et des talents émergents locaux, français et internationaux, s’ancrer au coeur de Biarritz pour en dévoiler toutes ses saveurs, créer un rendez-vous de nuit aussi intense que celui du jour avec un village ouvert de 12h à 20h où se mêlent restauration, activités pour enfants, académie de surf, showcase et dj set au coucher du soleil.

Le BIG Festival a gagné sa place dans le tour de France des festivals exigeants et novateurs. Les artistes et professionnels viennent y partager l’expérience unique d’un festival tourné vers l’océan, le surf, la détente, dans un cadre merveilleux, faisant se croiser publics français, basques et espagnols. Avec plus de 16 000 spectateurs en 2011, et 20 000 visiteurs en 2012, l’édition 2013 s’annonce incontournable.

 La programmation du BIG festival

JEUDI 18 JUILLET :
BIG LIVE – STADE AGUILERA, dès 19h.
Tarif 59 euros

  • NEIL YOUNG & CRAZY HORSE
  • GARY CLARK JR
  • JONATHAN WILSON
  • JOHN BERKHOUT

BIG BOITE – HALLE D’IRATY, 23h
Tarif 18 euros

  • KAVINSKY
  • BOSS SOUNDSYSTEM FEAT JOEYSTARR
  • DJ PONE
  • RONE

 VENDREDI 19 JUILLET :
BIG LIVE – STADE AGUILERA, dès 19h.
Tarif 45 euros

  • THE BLOODY BEETROOTS
  • WU-TANG CLAN
  • ORELSAN
  • ANAI ARREBAK

BIG BOITE – HALLE D’IRATY 23h
Tarif 18 euros

  • BAKERMAT
  • JORIS DELACROIX
  • WANKELMUT
  • SYNAPSON

SAMEDI 20 JUILLET :
BIG LIVE – STADE AGUILERA 19h
Tarif 45 euros

  • GEORGE CLINTON AND THE PARLIAMENT
  • FUNKADELIC
  • BREAKBOT
  • THE DEDICATED NOTHING

BIG BOITE – HALLE D’IRATY 23h
Tarif 18 euros

  • CHATEAU MARMONT
  • BUSY P ED BANGER MEGAMIX
  • EROL ALKAN
  • CASSIUS

 

Anouk Aïata « La Femme Mangeuse des Nuages du Ciel »

Anouk Aïatia

Le premier album d’Anouk Aïata est dans les bacs. Beaucoup de monde attendait avec impatience la sortie de celui-ci, tant la chanteuse depuis ses premiers pas dans la chanson a  marqué les esprits. Comme l’indique sa biographie Anouk Aïata, est d’ici, elle est d’ailleurs, elle est d’hier et aujourd’hui. Anouk Aïata est une funambule qui aime jongler avec les styles et les genres. Barbara, Ella Fitzgerald, Dalida, sont ses muses, les voix qui la bercent depuis toujours dans sans vie. « Aïata » signifie, en langue maorie, « la femme mangeuse des nuages du ciel ». Avec ce premier album Anouk Aïata à décidé d’emmener tout le monde dans son univers de ballades folk, du jazz manouche, entre reggae et tango, dans son imaginaire de tragédienne. Ses chansons parlent de la nature, du monde, de l’amour, de l’exil, de l’errance. C’est avec Amos Mâh, co-auteur des textes et des musiques, qu’Anouk Aïata a décidé de fabriquer, de construire cet album. Ensemble ils forment aujourd’hui un magnifique binôme qui devrait, à tout jamais séduire les foules. Avec « La Femme Mangeuse des Nuages du Ciel » Anouk Aïata la « white lady sings the blues »*, le « pinson des faubourgs »** vous emporte  jusqu’au bout de la nuit, dans les astres, très très près de la poétique lune.

Anouk Aiata a assuré la première partie de Marc Lavoine à l’Olympia du 19 au 24 février et sera aux 3 baudets à paris les 22 et 23 avril 2013, puis à Lille le 23 mai, à Saint Etienne le 29 mai et aux Francofolies de la Rochelle le 16 juillet.

* son surnom à la Nouvelle-Orléans

** son surnom à Paris

Ecouter « Pourquoi Regardes-Tu La Lune ? » Extrait.

[audio:http://www.sixmic.net/radio/audio/03 Pourquoi Regardes-Tu La Lune _2.mp3|titles=Anouk Aïatia – Pourquoi Regardes-Tu La Lune ? ]

Anouk Aïatia est aussi en écoute tous les jours sur la playlist de la Radio des artistes !

AnouK AïaTA « La Femme Mangeuse des Nuages du Ciel » Interview  :


 

La Femme Mangeuse des Nuages du Ciel sur Amazon

 

Nouvel EP de Marie-Flore “Feathered With Daggers”

marie flore

Photo by Renaud Cambuzat

Marie-Flore, prénom donné par ses parents en référence à une chanson de Joan Baez, il lui donne dès la ligne de départ une belle indication sur la route à suivre. Premières chansons seule, en anglais intuitivement – concerts et un mini album fin 2009. Elle écrit depuis sans cesse, touche et retouche à la scène dans les salles pari- siennes. Représentante contemporaine du Do-It-Yourself, la manière dont elle mène son projet s’assemble logiquement à la musique.

Aujourd’hui ? La chanteuse est armée d’un groupe qui laisse découvrir son ampleur sur scène. Un EP est à venir pour le printemps 2013, produit par Robin Leduc. Il piochera dans la besace où se tiennent des chansons taillées dans un rock parfaitement moderne qui ne se plie pas devant les références qui agissent pourtant en sourdine. Black Rebel Motorcycle Club, The Brian Jonestown Massacre…

Une certaine idée de l’indépendance…

Mais si la chanteuse aime tant les voix d’hommes, la sienne est l’idéal opposé. Une voix qui s’approche par touches, susurre derrière l’oreille, rebondit devant vous dans un refrain. Et évoque sans cesse une frustration brute, venue d’un amour tout en torsion et en complications, véritable fil de ses compositions.

Il suffit d’écouter Waste of time, pop song électrique parfaite qui avance et nous enroule. By the Dozenpuissamment mélodique et son chant si à l’aise. Sybillin King ballade illuminée qui se tend dans une adresse à l’aimé. Sur cette frustration qui lui permet de créer, Marie Flore reste discrète, mais ne cesse de la dire en chantant. Dans un style éblouissant…

Lire aussi sur artéMédia : http://www.artemedia.fr/2013/02/13/marie-flore-a-envoute-linternational/

Tracklisting :
1 – Feathered With Daggers
2 – By The Dozen
3 – Sybillin King
4 – Waste of Time
5 – Wolves’ Breath

Ecouter « By the Dozen »

[audio:http://www.sixmic.net/radio/audio/Marie-Flore By The Dozen 2012.mp3|titles=Marie Flore – By the Dozen ]

Novation : Launchpad S « KillTheRobot » performance

Launchpad S

Launchpad S

Le Launchpad S est une évolution du Launchpad, le contrôleur dédié Ableton Live qui a redéfini la façon dont nous faisons de la musique sur ordinateur. Une matrice de 64 pads permet d’avoir un contrôle sur des logiciels musicaux tels Ableton Live ou FL Studio. Il est spécialement conçu pour le déclenchement de boucles ou clips et peut même lancer des effets ainsi qu’opérer à des opérations de mixage (volume, départ d’effets, pan, mute, solo, etc.). Par ailleurs, il est tout à fait possible de déclencher des sons de batterie et des échantillons ‘one-shot’. Un deuxième mode utilisateur permet d’assigner librement des pads à d’autres paramètres logiciels.

Le Launchpad S est livré avec l’édition Launchpad d’Ableton Live, vous pouvez ainsi commencer à faire de la musique de suite. Il est également livré avec des ‘overlays’ personnalisés qui permettent d’utiliser un autre logiciel de musique basé sur une grille comme FL Studio.

Novation a développé une application iPad Launchpad qui permet le déclenchement de boucles et d’effets sur votre iDevice, indépendamment d’Ableton Live. Le Launchpad S peut être connecté et alimenté par iPad à l’aide du kit de connexion d’appareil photo standard. L’application est livrée avec un pack d’échantillons de 1 Go de boucles sélectionnées par Loopmasters, offrant des samples de batterie, des packs artiste, et une variété de styles modernes.

Novation // Launchpad S « KillTheRobot » performance