Nouvel EP de Marie-Flore “Feathered With Daggers”

marie flore

Photo by Renaud Cambuzat

Marie-Flore, prénom donné par ses parents en référence à une chanson de Joan Baez, il lui donne dès la ligne de départ une belle indication sur la route à suivre. Premières chansons seule, en anglais intuitivement – concerts et un mini album fin 2009. Elle écrit depuis sans cesse, touche et retouche à la scène dans les salles pari- siennes. Représentante contemporaine du Do-It-Yourself, la manière dont elle mène son projet s’assemble logiquement à la musique.

Aujourd’hui ? La chanteuse est armée d’un groupe qui laisse découvrir son ampleur sur scène. Un EP est à venir pour le printemps 2013, produit par Robin Leduc. Il piochera dans la besace où se tiennent des chansons taillées dans un rock parfaitement moderne qui ne se plie pas devant les références qui agissent pourtant en sourdine. Black Rebel Motorcycle Club, The Brian Jonestown Massacre…

Une certaine idée de l’indépendance…

Mais si la chanteuse aime tant les voix d’hommes, la sienne est l’idéal opposé. Une voix qui s’approche par touches, susurre derrière l’oreille, rebondit devant vous dans un refrain. Et évoque sans cesse une frustration brute, venue d’un amour tout en torsion et en complications, véritable fil de ses compositions.

Il suffit d’écouter Waste of time, pop song électrique parfaite qui avance et nous enroule. By the Dozenpuissamment mélodique et son chant si à l’aise. Sybillin King ballade illuminée qui se tend dans une adresse à l’aimé. Sur cette frustration qui lui permet de créer, Marie Flore reste discrète, mais ne cesse de la dire en chantant. Dans un style éblouissant…

Lire aussi sur artéMédia : http://www.artemedia.fr/2013/02/13/marie-flore-a-envoute-linternational/

Tracklisting :
1 – Feathered With Daggers
2 – By The Dozen
3 – Sybillin King
4 – Waste of Time
5 – Wolves’ Breath

Ecouter « By the Dozen »

[audio:http://www.sixmic.net/radio/audio/Marie-Flore By The Dozen 2012.mp3|titles=Marie Flore – By the Dozen ]

Marie Flore « By the Dozen » coup de coeur artéMédia

Marie Flore

Prénom donné par ses parents en référence à une chanson de Joan Baez, il lui donne dès la ligne de départ une belle indication sur la route à suivre. Premières chansons seule, en anglais intuitivement – concerts et un mini album fin 2009. Elle écrit depuis sans cesse, touche et retouche à la scène dans les salles parisiennes. Représentante contemporaine du Do It Yourself, la manière dont elle mène son projet s’assemble logiquement à la musique.

Pas fan pour un sou, elle côtoie naturellement ceux que d’autres vénèrent. Candide talentueuse, elle se retrouve ainsi invitée par Peter Doherty sur ses dernières tournées françaises. Un maître ? Disons un modèle avec qui elle échange et construit. Il y a aussi Roger O’Donnell (The Cure, The Psychedelic Furs) & Gregg Foreman (Cat power) avec qui elle enregistrera entre Paris et Philadelphie des duos sentis, hypnotiques, qui figureront sur un futur album.

Cette galaxie intime est toujours en expansion. Au début de l’année 2012, elle co signe les paroles de l’album « Pursuit » des Stuck in the Sound. Entre temps, en même temps, Marie Flore fait voyager son corps et ses chansons en Angleterre, aux Etats Unis, au Danemark, en Italie, en Suisse.

Aujourd’hui ? La chanteuse est armée d’un groupe qui laisse découvrir son ampleur sur scène. Un EP est à venir début 2013, produit par Robin Leduc. Il piochera dans la besace où se tiennent des chansons taillées dans un rock parfaitement moderne qui ne se plie pas devant les références qui agissent pourtant en sourdine. Black Rebel Motorcycle Club, The Brian Jonestown Massacre.. Une certaine idée de l’indépendance…

Mais si la chanteuse aime tant les voix d’hommes, la sienne est l’idéal opposé. Une voix qui s’approche par touches, susurre derrière l’oreille, rebondit devant vous dans un refrain. Evoquant sans cesse une frustration brute, venue d’un amour tout en torsion et en complications, véritable fil de ses compositions. Il suffit d’écouter « By the dozen » à la mélodie puissante, qui avance et nous enroule. Ballade électrique illuminée qui se tend dans une adresse à l’aimé.

Sur cette frustration qui lui permet de créer, Marie Flore reste discrète, mais ne cesse de la dire en chantant. Dans un style éblouissant.

Marie Flore en concert le 24 janvier à l’international !

Marie Flore

Marie Flore – By The Dozen