Glazart vous accueille une nouvelle avec fois ses 50 tonnes de sable et le plein d’artistes pour le LaPlage Festival 2012!

Pour cette troisième édition, Glazart vous accueille une nouvelle fois sur ses 50 tonnes de sable en plein Paris. En 2012, LaPlage marque le coup et devient un véritable festival avec plus de quinze jours de programmation quasi quotidienne : entre groove, electro, reggae, hip hop, world music et indie pop, la Porte de la Villette sera à coup sûr l’endroit le plus chaud de la capitale !

Têtes d’affiches et talents émergents se succéderont pour vous garantir un début d’été exotique, décalé et rafraîchissant. N’oubliez pas votre crème sonore…

Après le festival, LaPlage sera encore ouverte du 16 juillet au 02 septembre, et accueillera concerts gratuits, apéros clubbing, showcases, cartes blanches et animations. Du mercredi au samedi, elle sera le spot idéal pour adeptes des afterworks et vacanciers de passage : un véritable oasis festif, propice à l’évasion et dans une ambiance conviviale.

LaPlage Festival 2012

GLAZART

 

Arbiter distribue la marque Focusrite depuis le 25 Juin 2012

La société Focusrite est née en 1985 d’une demande du producteur des Beatles, Sir George Martin, à Rupert Neve, concepteur réputé de l’audio professionnel de l’époque, pour concevoir un préamplificateur micro et un égaliseur sans compromis en vue de la customisation des consoles Neve aux studios AIR de Londres et Montserrat.

Le module qui en résulte se fait appeler ISA 110, il se compose d’un préamplificateur micro à transformateur couplé et d’un égaliseur 4 bandes – disposant d’un filtre passe-haut et passebas. Les premiers modules sont livrés à Air et Montserrat en 1987 et se révèlent d’une étonnante versatilité – par la suite, Air Londres en commande plusieurs l’année suivante. L’ISA 110 est ensuite vendu comme processeur externe.

L’ISA 130 rejoint la gamme Focusrite en 1988. Mono canal, il dispose d’un Compresseur/ Limiteur, De-Esser et Expander/ Gate, tous développés par Rupert Neve et Stride Trevor. Il semble logique par la suite d’utiliser ces modèles comme la base d’une console d’enregistrement complète. La console Forte de Focusrite voit le jour en 1988. L’idée est tout simplement de produire la console d’enregistrement de la plus haute qualité qui soit, peu en importe le prix. Deux consoles Forte ont, pour ainsi dire, été livrées, l’une à Master Rock studios (Londres) et l’autre à Electric Lady (New York). Elles sont restées en service pendant de nombreuses années. Le logo Focusrite original, s’inspire du symbole musical « ff » (comme fortissimo) et désigne les initiales de la console Focusrite Forte.

Phil Dudderidge, vétéran de l’industrie audio décide de racheter les actifs de l’entreprise en 1989. Focusrite Audio Engineering Ltd entreprend la production des modules originaux en y incorporant de nouveaux designs. La société conçoit également une nouvelle console, la console Focusrite Studio, sortie en 1990.

Focusrite constate un intérêt croissant dans les préamplificateurs micro, EQs et compresseurs, issus des circuits de la console, et décide d’initier une nouvelle gamme de modules externes de sorte que la technologie puisse être mise à disposition d’un plus grand nombre. C’est l’avènement de la série RED, en 1993. C’est alors que s’amorce un processus de développement soutenu, et au cours des années suivantes, Focusrite présente plusieurs gammes de processeurs externes qui repoussent les limites des standards audio et du traitement en général. La gamme Blue, destinée aux ingénieurs de mastering, fait son apparition, puis en 1996, la gamme Green, destinée aux musiciens et aux home-studistes, une série de processeurs à bas prix mais de haute qualité fait son apparition.

Aujourd’hui, Focusrite continue à innover et à miser sur sa réputation de classe mondiale pour développer des produits de superbe qualité à la fois, dans l’analogique et l’environnement numérique. Cette large palette s’étend de la série des processeurs analogiques ISA, devenus des standards de l’audio, à la toute dernière interface audio DSP dotée de préamplis estampillés Focusrite, dont la qualité de conversion numérique force le respect partout dans le monde.

KESIENA nouvel album It was all written dans les bacs

Entre soul et rock, Kesiena dévoile une présence magnétique qui fait mouche sur son premier album It was all written à paraître pour l’automne 2012. Né au Nigéria, et vivant aujourd’hui entre la France, la Suède, et son pays natal, Kesiena a le coeur est au Nord, et ses racines profondément ancrées au Sud. Cela se retrouve dans sa musique et dans sa voix chaude et intense qui évoquent les univers de Tracy Chapman et Norah Jones avec la musicalité hybride de Keziah Jones. Comme on peut le découvrir dans le premier extrait it’s alright !

« INTUITIVE, POETICAL, SOULFUL »

Le coeur au Nord, les racines profondément ancrées au Sud. La musique de Kesiena est à l’image de l’artiste: multiple, intuitive et métissée. Tantôt pop/rock, tantôt soul épicée, dans la retenue ou débridées, ses compositions délivrent des mélodies envoûtantes, servies par une voix chaude et magnétique. Magnétique, comme la présence de Kesiena sur scène, subtile et généreuse. Une enfance mouvementée entre le Nigéria, où il nait, et la France, où il s’installe à 13 ans, inspire à Kesiena ses premiers poèmes, qu’il met rapidement en musique avec le synthétiseur que sa mère lui offre alors qu’il est adolescent.

Quelques années plus tard, une rediffusion télévisée du festival de Woodstock agit sur lui comme une révélation: Kesiena monte sur scène; il a 18 ans. De brèves études de musicologie et une vie partagée entre Paris, Stockholm et son pays natal nourrissent ses premières compositions. Très vite, Kesiena s’entoure de musiciens talentueux et fait ses armes au sein du groupe de jazz fusion The Soundchasers. La scène devient alors le laboratoire où expérimenter de nouvelles sonorités, un terrain de jeu où il danse, slame et s’épanouit. Mais c’est aussi et surtout le lieu qui lui permet de faire la rencontre de sa vie: celle avec le public, qu’il transcende à chaque fois.

Kesiena prend alors le temps de peaufiner ses compositions et d’affirmer son style, et c’est aux côtés de son compagnon de route musical Gunnar Ellwanger qu’il remonte sur scène. Fin 2008, il remporte au New Morning le tremplin Ile de France de l’association La Métisse, qui lui permet de conquérir le public du festival Solidays. Fort de cet accueil chaleureux, Kesiena pousse les portes des studios Davout en mai 2011. Il y enregistre It was all written, son premier album, produit par Adrien Bergerat. C’est une pop/rock soul et métissée que nous distillent ces 11 titres prometteurs, appuyée par la technique implacable et groovy des musiciens desquels il a su s’entourer. S’y mêlent habilement les influences multiples que Kesiena a su glaner au fil de ses voyages sur les deux continents. Et que l’artiste nous restitue avec une grande générosité.

KESIENA : It’s alright (teaser officiel)

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(Léocas Records / Sterne / Sony Music)

 

La 10ème édition des Echos de la Fête accueille à la Bellevilloise la finale du tremplin Sziget Festival

Plus de 200 groupes français, 728 artistes au total, se sont inscrits au Tremplin SZIGET Jeunes Talents Francophone 2012. Suite aux quatre demi-finales régionales, les 5 meilleures formations sont restées en compétition. La grande finale se déroulera lors de la Fête de la Musique car la coordination internationale de cette tradition française s’est associée au Tremplin Sziget. Cette année Les Echos de la Fête seront à La Bellevilloise pour la 3ème année consécutive.

Les Echos de la Fête est un événement destiné à mettre en lumière le dynamisme du réseau international de la Fête de la Musique. Chaque année, des organisateurs du monde entier envoient des photos de leur Fête en temps réel et celles-ci sont diffusées sur http://fetedelamusique.culture.fr/echosdelafete et mises en image par Stello lors d’une soirée à la Bellevilloise. Ce vaste lieu, façonné dans une ancienne coopérative ouvrière datant de 1910, indépendant et pluridisciplinaire, est réputé pour ses activités artistiques et évènementielles toutes veines confondues, de qualité, ainsi que pour l’avant-gardisme de sa programmation.

C’est la première fois que le Sziget Festival organisait un Tremplin Jeunes Talents Francophone. Les organisateurs ont été agréablement surpris par le formidable succès de l’initiative. Le partenaire du Sziget France, le Magikblender a assuré la logistique du Tremplin. Au début du concours, 50 formations musicales furent sélectionnées parmi plus de 200 groupes francophones participants. Puis le public a choisi au cours d’un premier vote via internet, pour élire les demi-finalistes régionaux. Il a ensuite plébiscité, lors de concerts régionaux, les 4 finalistes qu’il souhaitait emmener tenter leur chance. Un groupe repêché par l’organisation poursuit également l’aventure.

Des groupes aux identités fortes : entre la french touch pop des 4 garçons de Tahin pour Nantes ; le rock puissant et racé des Stereotypical Working Class pour Lyon ; le mélange épicé de sons punk, blues et rock du trio franco-libano-japonais Teleferik pour Paris ; ainsi que la musique pop punk survoltée de lignée californienne des Mary Has A Gun pour Marseille, l’ambiance sera très rock. The Shafty Brothers pour Paris, eux, nous offriront un show électro qui abreuve de grosses basses et réveille à grand coup de scratchs à l’ancienne.

Au final, seul le meilleur remportera le droit de jouer au Sziget (du 6 au 13 août à Budapest) en persuadant le jury par sa qualité musicale, son jeu de scène et son originalité.

Les membres du jury :

  • David Millier, responsable de la coordination de la Fête de la Musique pour Paris et l’international
  • András Berta, directeur des relations internationales du Sziget Festival
  • András Derdák, responsable de développement et programmation du Sziget France
  • Lionel Corlay, co-président de Magikblender
  • Philippe Jupin, directeur général associé de la Bellevilloise
  • Anastasia Malakhova, journaliste/chroniqueuse de la Grosse Radio
  • Csaba Varga, directeur adjoint de l’Institut Balassi

La Hongrie sera mise en avant avec la participation de l’Institut hongrois, donc l’Institut Balassi. Durant toute la soirée, la remarquable formation hongroise D7 Blast (DJ Jutasi, DJ Pozsi et MC Hipernomád) assurera une ambiance survoltée, digne du Sziget Festival entre et après les concerts du tremplin.

Rendez vous le 21 juin de 19h à 00h30 à la Bellevilloise !

  • 19-21, rue Boyer, 75020 Paris

 

Ouverture du site Hazle Factory.com dédié à la culture Hiphop

HAZLE FACTORY, 1ère fabrique consacrée aux fondateurs et aux piliers de la culture Hip-hop voit le jour ce 14 juin 2012 avec la mise en ligne de son site internet hazlefactory.com Label, vitrine de la culture Hip-hop, nouvelle boutique en ligne, relais culturel…Hazle Factory, c’est un peu tout ça à la fois…Mais c’est aussi et avant tout le rêve de deux anciens, deux passionnés de Hip-hop, décidés à partager leur passion en proposant à tous les fans de cultures urbaines un retour aux sources ; à l’origine de la culture Hip-hop et de ses plus grandes figures. Le tout à travers des produits culturels placés sous le signe de l’authenticité (tee-shirts, accessoires…).

1911 : Retour aux origines HAZLE est la contraction de Hazlehurst, ville du Mississipi où est né, le 8 mai 1911, Robert Johnson, le fondateur du Blues. Car pour Jean- Michel Carda, le Blues est la base de toutes ces musiques qui ont révolutionné le XXème siècle, telles que le Gospel, la Soul, le Jazz, la Funk et qui ont finalement conduit au Hip-hop.

«Plus qu’une simple marque, Hazle est un label dédié aux pionniers de la culture hip-hop et à toutes les musiques dont elle est l’héritière comme le blues, la soul, la funk et le jazz. Le but est d’honorer, de rendre hommage et de faire connaître, mois après mois et à travers différents supports, les artistes ou acteurs qui ont oeuvré à l’émergence de la culture Hip-hop et qui lui ont donné ses lettres de noblesse», explique Jean-Michel Carda, fondateur de Hazle Factory

2011 : Une vitrine conceptuelle des cultures urbaines Hazle Factory a été pensé et conçu en 2011 par ses créateurs comme un voyage dans le temps, proposant de célébrer la culture Hip-hop au travers de ses pionniers américain, français ou d’aill eurs, autour de produits et supports, toujours et uniquement édités en séries limitées ou en séries Collector : des tee-shirts, des produits culturels spécifiques (livres, DVD, disques, oeuvres d’art) et des accessoires (sacs, casquettes…). Ces produits exclusifs misent sur la qualité, l’authenticité et la rareté.

Le coeur du concept, c’est le T-shirt, uniquement en série limitée, avec des Featuring avec des grandes figures de la culture Hip-hop (rappeur, chanteur, Dj, grapheur, danseur,…) ou en référence direct à un évènement fondateur de cette culture.

Aucune série de T-shirt n’excédera plus de 1911 copies (un clin d’oeil adressé à Robert Johnson dont c’est l’année de naissance). Chaque T-shirt sera marqué au fer rouge avec une étiquette spéciale indiquant le nombre total d’items édités dans cette série. Sur chaque objet vendu, une partie du bénéfice sera reversée à des projets ou des structures artisans de la culture hiphop.

14 juin 2012 : Ouverture du site Pour marquer le lancement, la fabrique honorera l’une des plus grandes figures à l’origine de la culture Hiphop en France dont nous dévoilerons le nom à partir du 15 juin 2012. Il aura droit à un hommage spécial le 20 juin, avec sa première édition limitée.

Didier Wampas, nouvel album « Taisez moi » chez Atmosphériques

Jeune retraité à 50 ans de la Ratp et amoureux des filles, de la musique, de la scène,  Didier Wampas vient de présenter son nouvel album « Taisez moi« . Il sera en concert le 22 juin au Solidays et à la Maroquinerie le 29 septembre. Fondateur, chanteur, guitariste et porte-parole du groupe Les Wampas qu’il crée en 1983, Didier Chappedelaine alias Didier Wampas traîne la réputation de dernier des punks français.

Didier Wampas est dit-on le chanteur le plus justement faux de l’Hexagone, et il est vital que cela se sache. Pour ce qui est de l’album celui-ci offre une séduisante collection de n’importe quoi, de romances et portraits déchirés (d’une fille qui préfère des chaussures à un Magritte), en déclarations politiques capitales.

Didier Wampas par Pierre Mikaïloff

Oubliez ce que vous pensiez savoir de Didier Wampas… Ayant remisé pour un temps guitares barbelés et refrains à l’arrache, Didier s’offre une escapade en solo pleine de clins d’œil aux Kinks, à la chanson française et aux sixties. Escapade géographique aussi, puisque l’album a été enregistré entre Los Angeles et Bruxelles, avec le bassiste Nick Johns, le guitariste Ryan Ross (ex-Panic at the Disco) et le batteur et réalisateur Kevin Harp. Bien calées entre des guirlandes de guitares et des gimmicks d’orgue, défilent les vignettes sonores tirées de l’album Panini de Didier Wampas. Des histoires simples, touchantes, vraies, saupoudrés de cet ingrédient qui fait la « Didier Wampas touch » : l’autodérision, mais pas seulement…

Le talent de Didier pour saisir en deux phrases et un bout de mélodie son époque, rappelle irrésistiblement les deux Jacques (Lanzmann et Dutronc), lorsqu’ils régnaient sans partage sur les juke-box et les hit-parades. Aujourd’hui, les juke-box se font rares et les hit-parades ont disparu, restent les iPod. Si le vôtre est en manque de chansons ébouriffantes, vous savez quoi faire.

Nota Bene : Comme la vie est bien faite, deux versions alternatives de l’album sont téléchargeables gratuitement : mono pour les possesseurs du digipack, stéréo pour les possesseurs du vinyle.

Prochains concerts :

  • 22/06/2012 – Paris (75) – Festival Solidays
  • 23/06/2012 – Audincourt (25) – Festival « Rencontres et Racines »
  • 30/06/2012 – Eu (76) – Festival « Le murmure du son »
  • 15/07/2012 – Tours (37) – Festival « Terres du son »
  • 21/07/2012 – Briouze (61) – Festival
  • 27/07/2012 – Habère-Poche (74) – Festival
  • 28/07/2012 – Alise-Sainte-Reine (28) – Les nuits peplum d’Alésia
  • 13/08/2012 – Béziers (34) – Féria de Béziers
  • 22/09/2012 – Poligny (39) – Festival Polizic

Magritte :

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Le Festival Rhino d’été et en octobre le Rhino Jazzs Festival

Pour sa 34ème édition, le Rhino investit du 19 au 28 juillet et du 2 au 26 octobre 2012 plus de 25 villes de Lyon à Saint-Etienne en passant par Roanne, Grenoble et Vienne! Au programme, on y devine encore de belles découvertes, des artistes d’exception et de grands moments…

Dans le cadre du rapprochement du Rhino Jazz(s) festival et de Jazz à Vienne, les deux festivals organisent leur lancement en commun le jeudi 28 juin lors d’une soirée exceptionnelle au Théâtre antique de Vienne.

28 JUIN / 19 – 28 JUILLET

  • 7 concerts en partenariat avec Jazz à Vienne et les Z’estivales de Totem

SOIRÉE D’OUVERTURE

  • le 28 juin à Vienne

En 2011, Jazz à Vienne et le Rhino Jazz(s) festival surprenaient en invitant les japonais du Shibusa Shirazu Orchestra pour un spectacle-concert détonnant et surprenant ! En 2012, les 2 festivals relèvent le défi en proposant une soirée exceptionnelle où les jazz rencontrent l’Afrique et la danse de Merlin Nyakam et Fabby Gaggionne ; où les Ambassadeurs de Blitz enflamment de leurs rythmiques funk-groovy le Théâtre Antique accompagné de la voix de Sandra N’kake; où les percussions de la Cie Transe Express s’élèvent en un Mobil Homme géant ; où se croisent et se mélangent les arts pour donner le ton des éditions Rhino Jazz(s) et Jazz à Vienne 2012 : énergique, surprenante et rythmé. En collaboration avec la Biennale de la Danse, la MJC de Vienne, la Locomysic et ViennAgglo. Réservation des billets-invitations sur www.rhinojazz.com et www.jazzavienne.com (nombre de places limitées)

SLURP BB

  • le 19 juillet à Saint-Chamond

FLAMENCO Y PURO

  • le 20 juillet à Lorette

CQMD

  • le 21 juillet à Châteauneuf

PG PROJECT

  • le 24 juillet à Saint-Etienne

ALFIE RYNER

  • le 27 et 28 juillet à Saint-Priest La Roche

2 – 23 OCTOBRE

VOIX D’EXCEPTION

  • Davell Crawford, Otis Taylor, Rokia Traoré, Malia, China Moses…

DE DÉCOUVERTES … EN RÉVÉLATIONS

  • Jungle by Night, Nostoc, Swingin’ Partout, Septeto Internacional, Dorantes…

TRIBUTE TO …

  • Ray Charles, Nina Simone, Jimy Hendrix, New Orleans

AU BLUES ETC…

  • Keith B Brown, Bjorn Berge, Voodoo Skank, Philippe Ménard…

LES INCLASSABLES

  • Nano, Kouyate-Neerman 4tet, Ulf Wakenius, Nadja, Alexis Descharmes et Thierry Coduys…

FESTIVAL JEUNE PUBLIC

  • Concerts primaires avec Mystère Trio
  • Concerts maternelles Avec La Corde à Vents
  • Ça jazze dans les écoles avec Ibrahima Cissokho
  • Concerts hors-scolaires avec Elodie Pasquier

 

Oil revient avec un nouvel Black Notes chez Discograph

Oil revient avec Black Notes ! Après avoir été une des têtes chercheuses des Troublemakers, entité pionnière de la house made in France, qui débuta à la fin du siècle dernier une oeuvre pionnière autour d’un sampler et d’une pile de disques, Oil poursuit ses aventures et cherche les racines profondes du groove pour élaborer un son tout à la fois dense et minimal, moite et sec entre électronique pointue, breakbeats irrésistibles, et racines soul/jazz. Oil embarque dans son voyage une foule d’invités dont Gift Of Gab de Blackalicious, Reggie Gibson, Magic Malik, Sam Karpienia, PO Box.

« C’est mon premier disque. Je n’ai rien fait avant. C’est un vrai départ. » Avant de parler de « Black Notes », impossible de faire l’économie d’un rapide retour en arrière. DJ Oil ne cherche pas à travestir la vérité : à quarante ans, il n’a plus le temps de jouer de faux-semblants. Pas question de (se) mentir pour celui qui fut l’une des têtes chercheuses des Troublemakers, entité pionnière de la house made in France. Une aventure débutée à la fin du siècle dernier, autour d’un sampler et d’une pile de disques lors d’ateliers à la Friche de la Belle de Mai, lieu qui abritait alors les alternatives créatives de Marseille. Jolis succès critique et public sur Guidance, label phare de Chicago, puis deuxième disque annoncé sur Blue Note au mitan des années 2.0. Et là, patatras ! Un contrat mal ficelé, et l’affaire tourne à l’aigre galère. « Les années 2000 ont été très dures. Les Troublemakers m’ont fait perdre dix ans de ma vie. »

À partir de 2005, DJ Oil va donc œuvrer en solitaire, depuis Marseille, sa ville où il a grandi à l’ombre d’un père fan de r’n’b vieille école (« Sam & Dave, James, Otis Redding… » ), collectionneur de disques et non DJ comme le prétend la légende. « Il poussait juste des disques pour les amis le dimanche après-midi. » Le fiston, Lionel Corsini pour l’état-civil, a donc de qui tenir. DJ depuis l’âge de 15 ans, Oil a pratiqué les raves sauvages ou officielles, s’est fait la main avec un show hebdo sur Radio Grenouille, a multiplié les projets où ses platines ont croisé les musiciens : Stefano Di Battista, Julien Lourau, Vincent Ségal, Sébastien Martel, Sandra N’Kake, Magic Malik, Jules Bikoko… Et pourtant. « Etre à Marseille, ça ne m’a jamais aidé. La scène y est très exiguë. Ça créé de l’éloignement, et puis il y a un manque de crédibilité par rapport à Paris. On n’est toujours pas pris au sérieux. » Tant pis, depuis six ans, Oil pousse le pitch plus loin, publie des maxis sur des labels à l’étranger, part en virée en Afrique et en Amérique centrale : ce sera le projet itinérant Ashes To Machines avec Jeff Sharel, trente-neuf pays traversés et des centaines de musiciens croisés entre 2006 et 2009. À la clef : des kilomètres de sons et des tonnes de bonnes vibrations. Un sillon profond où il va planter l’aiguille de sa future création. Ce premier disque donc, un singulier recueil constitué des multiples tours et détours, bons et mauvais, qui ont précédé.

« Black Notes ». Un carnet de notes, noirci d’histoires, histoire de ne rien oublier, le meilleur moyen pour repartir du juste pied (au compteur, jamais plus de 120 !). « Enfin, mes idées sont claires. » Pas de doute, le titre en dit déjà long sur cette bande-son autobiographique entre les lignes, plans-séquences peuplés de ruptures narratives et d’irruptions rythmiques, un scénario hanté de voix majuscules. Comme la bande originale d’un film noir de noir, l’envie d’en revenir aux racines du groove pour élaborer un son tout à la fois dense et minimal, moite et sec. Sous le vernis d’une house spirituelle, « ça respire pas franchement la gaieté ! Il y a une évocation assez claire de la souffrance des Blacks, mais le message politique n’est jamais au premier plan, ni au premier degré. » « Black Notes », les noires du clavier, les plus graves. La Great Black Music, aussi, surtout : blues, jazz, funk, soul, house, et puis toute l’expérience africaine, qui apprend à « composer avec le terrain, la rude réalité tout autre que Protools ». Tout en un sampler, passé au filtre de bons vieux amplis. Tout son « background musical » au service de ce son, de ses chansons, de ces boucles qui se répètent et pénètrent en pleine tête.

Trois ans à tout enregistrer, tout seul, tout monté, démonté, remonté dans son studio. « J’ai passé rien qu’un an sur le mix, l’architecture des morceaux. C’était un aspect essentiel du travail : je voulais un son analogique pour me démarquer des productions actuelles. Laurent Garnier et Gilles Peterson m’ont félicité ! » Aux manettes, Oil invente ainsi de nouvelles manières de créer un groove à l’ancienne, un grain rétro-futuriste : les samples s’effacent, mais la technique du montage « virtuel » demeure essentielle. Au final, cet assemblage de sons live, lui aux claviers et quelques invités captés au fil du temps dans des endroits insolites (là un entrepôt en Afrique, un autre dans ses toilettes…), et de samples, « jamais plus de quatre mesures », est construit comme un DJ Set, cinématique et climatique. Telle sera la formule, plus « electro up tempo », sur scène avec les Tontons Macroutes Jeff Sharel aux baguettes et Jean-Phi Dary aux claviers. Tous trois connectés les uns aux autres, pour une interconnexion de tous les instants, où les images, véritable quatrième élément du dispositif, seront déclenchées par la musique. « J’ai toujours rêvé de faire des sets avec uniquement mes morceaux originaux. »

Les thèmes, justement, parlons-en. « Black Notes », pour commencer. Plus qu’une introduction, une déclaration d’intention : un thème des plus sombre, un beat des plus sobre, un retour aux racines du groove pour mieux se tourner vers l’avant. Avec au micro, Gift Of Gab de Blackalicious, qui tombe les mots. Passé « Your Heart », superbe instru soulful, on retrouve le rappeur sur « Rock It » qui pose son flow plus rentre-dedans, en écho au dialogue surréaliste entre un producteur et un artiste extrait d’une tragi-comédie de Mel Brooks, « autour des questions d’étique et de fric » . « C’est une réflexion sur le nouveau buisness de la musique : un bon réseau plutôt que de la bonne musique ». Tout l’inverse de « It’s Teenage Thang », l’histoire d’un vrai gars branché musique, scandé par Reggie Gibson, slammeur de Chicago. Une voix qui tourne en boucle, une flûte qui plane haut, au-dessus ! C’est encore Malik le magicien qui irradie le climat plus feutré, entre forêt et désert, de « Give Me Your Love » : boosté par des cordes perlées et des cuivres tamisés, sa prophétique flûte s’envole à la manière des muezzins soufis sur le tapis rythmique tressé autour d’une basse totémique et des boucles entremêlées de percussions.

Sur « Mind Your Step », seul le tambour tonne l’appel des esprits… et Sam Karpienia convoque en occitan l’âme des ancêtres. « Au départ, l’idée était d’établir un constat pour avancer. Il s’agit d’une réflexion sur le futur, en musique et dans la vie, sans oublier les galères. Ni les amis, qui sont tous cités. » Comme un appel à la prise de conscience, des chœurs comme des complaintes irréelles, comme une transe qui monte peu à peu à la tête, happe body and soul. Retour à la terre africaine avec « PO Box », les éclats d’âme d’un slammeur de Joburg qui dresse un constat sur l’amère réalité australe. « Il s’agit d’une réflexion sur le milieu de la musique en Afrique du Sud, où là aussi les choses ne s’arrangent pas. Le contexte pousse les musiciens créatifs à fuir ! » Ce que souligne ce poème, une voix qui slalome entre les maux et un funky drummer rehaussé de touches électro, qui se termine par « Welcome ».

Welcome, donc. Comme une ouverture vers un ailleurs, qui s’enchaîne par « Buddy », un instrumental « abstract afro jazz modal » sur un tempo house sweet house. Comme une respiration, qui annonce un changement de registre : toujours plus soul, Malik chante ainsi une ode intitulée « Charlie », le prénom de la petite de DJ Oil, tandis qu’« Ingrid Tapes » célèbre sa douce, sa femme, en une sensuelle montée, avec une voix susurrée et une flûte effleurée (Malik, toujours lui), qui peu à peu glisse vers la house spirituelle : plus de six minutes de glissement suggestifs, rythmique à la coule, vers la piste de danse… « La musique nous évite d’être seul. Travailler la musique en impro, c’est s’offrir des moments de lumière. Un seul moment peut suffire pour toucher à une énergie intemporelle. » Oil résume ainsi le propos du libre-penseur saxophoniste dont la voix habite « Alix In Ornette Land », dédié à son autre fille dont on entend un éclat de rire en guise d’intro de ce morceau au beat plus allusif, un tempo élastique qui s’étire et colle à la peau. Et pour finir, en outro, une interview d’Ornette Coleman réalisée en 1992 par Lionel Corsini encore étudiant. Le sens de la vie, de la musique ? Rendre meilleurs et plus libres les esprits, guérir les souffrances et les peines… Comme une lumière, comme une boucle ouverte, qui raisonne du plus bel écho un siècle plus tard, sur le futur d’un artiste, qui signe avec « Black Notes » le premier album d’un grand producteur.

Dj Oil – « Black Notes (feat.Gift Of Gab) » [Official Video]

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Bart&Baker Nouvel Ep, The Jet Lag EP chez Entoukaprod Label

Bart&Baker, DJs depuis 2005 et producteurs de compilations et de morceaux originaux depuis 2009 vouent un amour immodéré au Grand Music-hall et aux artistes qui créent du rêve et de la bonne humeur. Jo « Baker » a choisi son surnom en hommage à la grande Joséphine, croisée en famille et qui lança à sa maman musicienne, lors d’un dîner, « laissez moi adopter votre fils ! ». Pour « Bart » Sampson, l’origine du pseudonyme est autrement plus actuelle, puisqu’il s’inspire directement d’un des personnages de la série animée impertinente « Les Simpson ». Leur rencontre : Un après-midi de l’année 1998, lors d’une convention de collectionneurs de disques, quelque part entre les rayons jazz et électro. Une passion commune pour la recherche musicale les amènera à faire leur « Grand Tour » des capitales Internationales à la recherche de la perle rare…et de sensations artistiques.

C’est après avoir découvert les soirées (en fait, les dimanches après-midi) new-yorkaises « Body & Soul », qu’ils décidèrent d’unir leurs univers et d’oser proposer à Paris un cocktail musical décomplexé, destiné à réunir toutes les générations autour des musiques d’hier à aujourd’hui en faisant fi des préjugés et des conventions…un genre qu’ils baptisèrent avec humour « sleazy listening »…

Dès lors, rien d’étonnant à ce que voisinent au sein de leur programmation Sammy Davis Jr, Caterina Valente, Danny Kaye ou Todd Terje et surtout que leurs pas croisent inévitablement les tribus du Swing et du Burlesque ! Le temps de compléter une discothèque (qui compte aujourd’hui plus de 10 000 vinyls et CDs) ils se lancent enfin dans le clubbing en 2005 à la faveur du parrainage d’Edouard Rostand, DJ, journaliste et organisateur de festivals. Présenté à la jeune scène Swing parisienne, ils en tombent amoureux et décident d’unir leurs rythmes aux pas des danseurs de lindy hop !

En 2008, Gentry de Paris les découvre à l’occasion d’une soirée (rock et électro !!!) à la Flèche d’Or et leur propose immédiatement de collaborer à ses revues. De cette époque date les rencontres avec les égéries du monde burlesque de Dita Von Teese à Lada Redstar, et la communauté des DJs et organisateurs de soirées Européennes. C’est également suite à l’une de leurs soirées Burlesques que le label Wagram les repère et leur propose de concevoir une série de compilations autour des musiques qu’ils affectionnent et des ambiances qui les inspirent.

Naîtront ainsi Swing Party, Electro Swing 3, Burlesque Swing une déclaration d’amour musicale au milieu du Burlesque et aux danseurs de swing, Saint-Germain-Des-Près-Café The Vintage Edition dont ils se chargent de la sélection pointue de Jazz dansant et enfin ElectroSwing IV sélectionné et mixé par Bart&Baker dont ils assurent la sélection et produisent quelques morceaux dont un remix de Dimitri From Paris. Leur premier EP « JET LAG » est sorti le 14 février 2012, suivi en mai 2012 par « The Swing Phenomenon ». Les titres de Bart&Baker sont produits et gérés par Entouka ProductionsBart&Baker feat Nicolle Rochelle – The Swing Phenomenon

Bart&Baker feat Nicolle Rochelle – The Swing Phenomenon

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The Aerial, Vincha, Glasgow, et les Meltones sont sur les concerts SFR Jeunes Talents 2012

Meltones et La Maroquinerie, acte III ! 6 mois après une seconde prestation électrique dans la petite et mythique salle parisienne, les Meltones sont de retour à La Maroq’ le 11 juin en première partie d’Aline pour défendre leur nouvel album Nearly Colored produit par l’éminent Philippe Zdar de Cassius. Un programme qui promet et dont la vidéo Dear Leader shooté en live nous donne un joli aperçu !

Quatre copains, des instruments, un garage et des parents tolérants : l’équation traditionnelle de chaque groupe qui se lance. A l’époque où ils passent leur bac, les Meltones ont une setlist de dix chansons originales, qu’ils commencent à jouer sur les scènes des clubs parisiens grâce à une amie manager. En août 2009, les Meltones pénètrent dans le studio de Philippe Zdar (Cassius). Le résultat ? Nearly Colored, une superbe déflagration rock sublimée par la finesse de ses mélodies. A découvrir aux Eurockéennes et aux Francofolies.

Grosse actu pour Vincha le rappeur mélomane adepte de chanson française ! Un an après le buzz du clip Les p’tits seins et quelques semaines après une jolie apparition du côté du Printemps de Bourges, le Jeune Talent lauréat du tremplin Francofolies 2012 continue son ascension dans la foulée d’un premier album aux accents facétieux et multiples, Demain promis J’arrête, et un clip du même nom. A suivre en tournée avec notamment un passage le 29 juin au Café de la Danse à Paris.

Portrait d’un artiste atypique. Auteur, compositeur, interprète, Vincha puise ses influences aussi bien dans la chanson française que dans le rap. Accompagné sur scène par Son Of A Pitch, DJ instrumentiste, ces deux complices proposent un show burlesque et original, servant un hip-hop décomplexé et plein de sensibilité. Electron libre, affranchi des clichés du rap, Vincha partage avec ses textes – et avec beaucoup de dérision et d’autodérision – son univers, son quotidien et ses utopies.

 

« Le gros son du rock français actuel. » La définition de MTV est flatteuse et pourtant, ils ne sont pas les seuls à le penser. Avec plus de 80 concerts à leur collection, le groupe lyonnais Glasgow s’affiche définitivement comme l’une des grosses révélations rock de 2012 dans la foulée d’un excellent premier album porté par le clip Chien et Chat avec Bruno Solo. Preuve du succès actuel du groupe, une pastille vidéo de présentation a été diffusée juste avant le concert de Zebda le 31 mai au Studio SFR, et un concert retransmis en direct sur SFR Live Concerts.

Ils se rencontrent en 2006. Elle descend de l’avion en provenance de Glasgow et répond à une annonce où un groupe du même nom recherche une guitariste. L’histoire commence. Ils décident de continuer le groupe à deux et viennent de sortir leur premier album Le Sexe des Anges. Produit par Djoum, producteur de Bashung, Superbus ou encore Indochine, il est actuellement en diffusion nationale sur OUI FM et enchainent les passages à la télévision. Leur clip Chien et Chat est maintenant connu de tous avec la présence de Bruno Solo… On vous laisse regarder et surtout apprécier.

Un sens inné de la création, une insolence propre à la jeunesse. Récentes découvertes du Printemps de Bourges, les quatre fantastiques de The Aerial ont tout pour s’inscrire durablement comme l’une des valeurs sûres de la scène pop-rock française. Eleven Shaking Twenty un premier EP tonitruant, un concert qui très très bon le 22 Mai au Petit Bain et un clip qui annonce la couleur – l’excellent Kick It Up, les Nancéiens crèvent l’écran depuis quelques semaines. La révélation musicale du printemps à découvrir dès maintenant.

Fusion de guitares rock et de beats dance avec une production impeccablement new school, leurs influences font des zigzags en allant des Beatles à New Order en passant par Kanye West et les Beach Boys. Ils sont jeunes et leur univers interpelle déjà. Groupe atypique qui réunit trois jeunes Nancéiens et un Anglais de Liverpool, les 4 garçons de The Aerial réussissent un impressionnant grand écart musical très british. A écouter et à découvrir en clip.