Layori vous emporte dans son beautiful magique univers !

layori

Photo by SsirusPakzad

Layori est une magnifique artiste  à découvrir absolument. Son deuxième album « Rebirth » paru sur le label Afro Jam Music est sorti en France le mois dernier.

Layori est tout aussi belle qu’intelligente. Dotée de capacités vocales exceptionnelles, elle porte en elle tradition du passé et modernité. Elle fait partie de ces artistes qui ont le don de mettre de l’âme, de la soul, dans tout ce qu’ils touchent. Ajoutez à cela un sens respectueux de l’identité personnelle et une large vision du monde et nous voici en présence d’une artiste qui décrit sa musique comme « moderne, élégante, à la mode et toujours avec une touche africaine. » C’est en fait une musique qui envoûte – une fusion de jazz, de soul et de pop pleine de mélodies et remarquablement douce à l’oreille. Un sentiment d’authenticité, de vérité personnelle se dégage de cet album. Grâce à la maîtrise de plusieurs langues, Layori donne un caractère universel à sa musique, tout aussi à l’aise en anglais, portugais et yoruba. Elle va de plus puiser d’autres sonorités issues de différentes parties du monde, notamment en Amérique latine, en Europe et bien sûr en Afrique.

Layori est née au Nigeria et injecte ses racines africaines dans tout ce qu’elle fait : dans sa pensée, son apparence autant que sa musique. Son bagage culturel est multiple, fait de sources diverses. Layori n’avait que six ans quand sa famille partit pour l’Amérique. Elle y passa cinq ans et demi avant de revenir au Nigéria. Suffisamment rare pour être mentionné, Layori est de père musulman et de mère chrétienne. « La religion est en vous » aime-t-elle dire. Les marques tribales apparentes sur son visage sont un autre indice de l’éducation traditionnelle africaine qu’elle reçut. « Pour mon nouvel album, je voulais avoir un son clairement jazzy » disait-elle avant de fanfaronner avec son nouveau line-up constitué par son bassiste germano-américain, lequel a notamment joué avec la légende Chet Baker.

Layori se dit citoyenne du monde, elle aime voyage, elle aime raconté les plaisirs de la vie. Loyori aime chanté en Yoruba sa langue natale, ce qui donne à son album une sonorité vraiment très particulière, une sonorité envoûtante qui vous emmène loin, très loin, dans une grande et belle ballade. Layori aime la vie, mais aussi la mode, la création et elle prépare actuellement sa nouvelle collection de prêt à porter. Layori a un petit côté malicieux qui lui donne beaucoup de charme et qui donne aussi l’envie de partir en tournée avec elle pour la regarder chanter encore et encore. Rebirth, son nouvel album, quoi qu’il soit, ne pourra pas vous laisser indifférent, car des les premières mesures, les premières notes vous vous laisserez partir et emporter dans son beautiful magique univers. Layori sera en concert à Paris le 29 mars 2013 au Sunset !

Layori « Rebirth » Interview – VO

L’album « Rebirth » sur Amazon

Julia Cinna : Premier EP « Do what you want »

julia cinna

 

On la notamment aperçu  l’année denrière Julia Cinna dans The Voice. Elle sort son premier EP (le 2 Avril prochain) produit à l’aide de mécènes sur le site participatif Octoo. En guise d’introduction elle vous propose de découvrir son premier single « Do What You Want » maintenant dispo. Un univers indie, rock très pétillant. 

Julia Cinna, une voix envoûtante, une énergie électrique. Sa musique nous plonge dans un univers très personnel. Elle tient ses influences des plus grands de la soul, qui l’inspirent depuis son enfance. Aujourd’hui, elle enrichit sa personnalité avec un côté plus rock et assume sans complexe cette dualité. Sa voix tantôt délicate tantôt rauque sert une interprétation généreuse et engagée. Pour cause, la jeune femme sort les armes et perce sa bulle. Le tout avec une sensualité évidente.

Bien dans son temps, elle se tourne vers le site Octoo pour réaliser son projet. Une opportunité qui se transforme en succès grâce à des mécènes qui lui permettent aujourd’hui de présenter son premier EP : « Duel ». Réalisé avec l’aide de son complice Haïlé Jno-Baptiste, (Ben oncle soul, Y’akoto , John Legend..) et mixé par Marlon B (Brigitte , -M-, Sébastien Tellier… ) le résultat est détonnant. Julia nous offre six titres : servis par des textes forts bien ciselés, ils sont sincères témoignent d’une poésie et d’une fraîcheur qui marquent son originalité. En français ou en anglais, Julia innove, revisite certains de ses anciens opus : entre son « Fraise Chantilly » sucré-‘salé, son « Duel » électrique et son premier single « Do What You Want » enivrant, Julia se place hors des sentiers battus.

À l’heure où la musique est préfabriquée, Julia nous touche par sa spontanéité. Résolument moderne, elle apporte un vent de fraicheur à la scène indie française.

Julia Cinna sera en concert événement le 15 Avril prochain au Baron pour la release party de son EP !

Julia Cinna – Teaser

 

Zaz annonce la sortie d’un single intitulé « On ira »

Zaz

Certains artistes semblent arriver de nulle part et pourtant, quand on s’attarde réellement à leur parcours, on s’aperçoit qu’ils ont franchi une à une les étapes qui mènent à la reconnaissance des pairs et du public. C’est le cas de ZAZ, cette chanteuse à la voix puissante et légèrement voilée, voire un tantinet rauque et écorchée, qui vient d’atterrir chez les professionnels de la chanson après une suite d’expériences aussi diversifiées que divertissantes.

Née à Tours au début des années 1980, ZAZ, de son vrai nom Isabelle Geoffroy, carbure à la spontanéité, à la simplicité et à la bonne humeur. Elle possède une soif d’apprendre typique des autodidactes même si dans les faits, elle est tout de même passée par le CIAM (Centre d’information et d’activités musicales) situé au coeur de Bordeaux, où elle a connu ses premières expériences de scène.

Son parcours artistique la mène à développer son talent à travers le blues, alors qu’elle connaît un certain succès avec le groupe latino-rock Don Diego.

Ces chansons, elle les enregistre pour son tout premier album qui paraît tant au Québec , Belgique, Suisse, etc .. qu’en France au printemps 2010, un printemps qui, il faut le dire, s’annonce particulièrement rempli. ZAZ apparaît en effet sur de nombreuses tribunes, tant à la télé que sur scène, que ce soit au Festival Alors chante de Montauban, à Chabada sur France 3, au French Art Festival de Kuala Lumpur en Malaisie, aux Francofolies de La Rochelle en mai et en juillet, aux Francofolies de Montréal en juin qu’au Festival Jazz Musette des Puces avec Thomas Dutronc, Marcel Azzola et Maurane.

Artiste dotée d’une voix unique dont elle n’abuse pas, ZAZ n’a qu’un leitmotiv : celui de chanter peu importe le lieu, pourvu qu’elle puisse exprimer, sans retenue et avec des mots qui résonnent, le quotidien, la rue, les souffrances et les joies.

Découvrir ZAZ, c’est prendre part à l’aventure poétique d’une jeune femme pour qui le chant est la vie. L’invitation est lancée…

Mihuma : La Lettre Écarlate

Mihuma

Mihuma vient nous délivrer en ce printemps 2013 « La Lettre Écarlate« , comme une porte ouverte sur ses peurs, ses fantasmes, et aussi ses espoirs. Ce jeune trentenaire parisien, adepte de poésies sombres et de virées musicales nocturnes, s’abreuve de mots comme d’autres s’abreuvent de sang.

Amoureux de la chanson française, Mihuma sait contempler son époque pour se livrer dans un style aux frontières du rap et du rock indé. Auteur-compositeur-interprète autodidacte, il fait ses classes aux côtés d’artistes confirmés tels que : Oxmo Puccino, Féfé, Casey… Et a participé au projet Music’All (Black Stamp/2009).

Une rencontre avec le réalisateur Mitch Olivier (Alain Bashung, Dax Riders, les Rita Mitsouko, Olivia Ruiz…) séduit par son univers, va faire le reste. S’entame alors une collaboration sur 12 titres mêlant sa voix posée et éraillée aux rythmes sombres et endiablés de ses compagnons de studio, Les Crotals – Stefane Goldman (guitariste d’Imany), Noël Assolo (bassiste des Rita Mitsouko) et Franck Mantégari (batteur du projet Music’All). On y retrouve aussi un invité vocal presque improbable, Francis Lalanne, sur le titre “Carnet de Nuits”, dans une ambiance aux accents de moiteur latine. La Lettre Écarlate est un road-trip sauvage au coeur des amours torturées d’un artiste ancré dans son époque, qui souhaite rester libre de dire sa vérité.

Mihuma – Crimes & Sentiments

OLIVIA RUIZ : nouvel album « Le Calme et la Tempête »

olivia ruiz

Ses talons, souvent hauts, martèlent le sol avec légèreté et franchise. Le bruit la précède. Olivia Ruiz ne s’avance jamais sur la pointe des pieds. Parfois la cadence de ses pas s’accélère. Elle court. Devant. De plus en plus vite. Toujours plus loin. Un quatrième album aujourd’hui. Son quatrième album. Rien d’anecdotique { utiliser une forme possessive tant ce disque lui appartient et lui ressemble. Ce disque est son disque. Celui qu’elle a pensé, celui qu’elle a rêvé, celui sur lequel elle a travaillé, seule dans l’écriture et la composition, tout au long de ces derniers mois alternant les hauts et les bas, le jour et la nuit, le noir, le blanc et les couleurs, l’alternatif comme le continu. Entre le calme et les tempêtes.

« Le calme et la tempête », une évidence. Dichotomie des émotions. Météorologie interne rendue capricieuse par le cheminement de la vie. Cet album n’est pas l’album de la maturité. Cela n’existe pas. Pas { son âge. Olivia Ruiz n’est pas en âge de vieillir. Olivia Ruiz grandit. Chaque jour un peu plus. Chaque jour davantage. Album après album. « Le calme et la tempête » est plus grand que « Miss Météores » qui lui-même était plus grand que « La femme chocolat » qui lui-même était plus grand que « J’aime pas l’amour ». Oui, plus grand. La grandeur est avant tout une histoire de profondeur et à ce petit jeu là, Olivia Ruiz a du talent. Profondeur des mots, profondeur des sons, jamais elle n’avait donné cette impression de puiser si loin en elle pour trouver la source de ses chansons.

My Lomo & Me (Je Photographie Des Gens Heureux)

Prochaines dates :

  • 13/02/13 Nantes / Stereolux
  • 14/02/13 Lille / aeronef
  • 15/02/13 Bruxelles / AB
  • 16/02/13 Alençon / Luciole
  • 18/02/13 Paris / Olympia
  • 21/02/13 Brest / carene
  • 22/02/13 Rouillac / Palène
  • 27/02/13 Luxembourg / Atelier
  • 28/02/13 Thonex / Salle des fêtes
  • 13/03/13 Rouen / 106
  • 14/03/13 Le Mans / oasis
  • 15/03/13 Angers / Jean Carmet
  • 21/03/13 Clermont Ferrand / Coopérative de Mai
  • 22/03/13 Istres / usine
  • 11/04/13 Schiltigheim / (Fest Artefacts)
  • 12/04/13 Nancy / Autre Canal
  • 13/04/13 Reims / Cartonnerie
  • 17/04/13 et 18/04/13 Lyon / Radiant à Caluire
  • 19/04/13 Bourg en Bresse / ainterexpo
  • 10/05/13 Bulle (ch) / francomanias
  • 16/05/13 Rennes / Liberté
  • Le 4,5 et 6  juin au CENTQUATRE

« Le Calme et la Tempête »  sur Amazon

Killtronik : Sexetape deuxième single de l’opus

sexetape

Héritier de l’ère romantique, Killtronik alias Kévin Blanc est un auteur compositeur aux multiples talents. Souvent considéré comme un «homme à femme» ce sont elles sa principale source d’inspiration et de créativité. Bercé dès sa plus tendre enfance par des compositeurs tels que Frederic Chopin, Rachmaninoff ou Liszt, il met sa passion pour la musique classique et le piano au service de ses compositions pop.

Marginal, Kévin a ses convictions artistiques mais aussi ses convictions de vie, puisque c’est dans une chambre d’hôtel qu’il vit et compose sa musique.

ALBUM «LA NUIT»

«La nuit», premier album de Killtronik, est un opus écrit et composé au cours de ses virées nocturnes. Enregistré dans l’intimité d’une chambre d’hôtel, l’artiste nous livre sa vision empirique et romantique de la nuit tel qu’il la vit.

C’est à Paris la nuit, qu’il rencontra sa muse, Violaine, une artiste certes, mais surtout une femme, qui aura su inspirer et enivrer Kévin, tant par ses qualités d’écriture que par sa voix douce et sensuelle. C’est avec elle qu’il décida d’écrire cet album «La nuit» et notamment le premier titre qui fera connaître Killtronik auprès de son public et des médias, «Paris la nuit», écrit après une nuit à errer avec Violaine dans les bars et clubs de la capitale.

«Sextape», deuxième single de l’opus,  est sorti le 18 Janvier 2013.  Album prévu le 22 Février 2013.

Killtronik – Sextape (Clip Officiel Censored Version)

Télécharger sur Itunes :
Sextape - Single - Killtronik

Melissmell : Droit Dans la Gueule du Loup

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Pour son deuxième album Droit Dans La Gueule du Loup, Melissmell a choisi d’enregistrer des titres composés par Guillaume Favray, déjà auteur de deux titres sur Ecoute S’il pleut. Il y a dans ce nouvel album des colères, des larmes, des splendeurs, des tristesses, des forces, des prodiges. Ce n’est pas un gentil disque de chansons sages. Dans Droit Dans La Gueule Du Loup, Melissmellcontemple la gueule cassée du monde sans détourner les yeux. Rage, sincérité, profondeur, compassion. Un premier extrait, Le Déserteur est à découvrir en écoute sur www.melissmell.fr

Il y a dans cet album des colères, des larmes, des splendeurs, des tristesses, des forces, des prodiges. Ce n’est pas un gentil disque de chansons sages. « Dans Droit dans la gueule du loup», Melissmell contemple la gueule cassée du monde sans détourner les yeux. Rage, sincérité, profondeur, compassion.

En travaillant à ce deuxième album, elle n’a pas conservé ses propres chansons. Elle a décidé de ne chanter que les oeuvres de Guillaume Favray, qui avait déjà signé deux titre du premier album de Melissmell, « Écoute s’il pleut ». Pourquoi ? L’envie irrépressible de faire vivre des chansons qu’elle admire et qui, autrement, resteraient au placard. « Cet album, c’est celui que Guillaume aurait pu faire, l’album qu’il aurait dû faire », dit Melissmell, admiratrice d’une écriture héritière de Jacques Brel ou de Mano Solo.

Elle a enregistré avec deux musiciens au parcours éloquent : le pianiste Matu a joué plus de dix ans avec Mano Solo et a arrangé l’album Les Années sombres (une référence majeure pour Melissmell et Favray) avant de partir avec Indochine, et le guitariste Daniel Jamet était dans la Mano Negra avant d’accompagner lui aussi Mano Solo. Mais ces deux aînés (renforcés par Christine Ott aux ondes Martenot sur trois chansons) étaient aussi de vieilles connaissances : « Le hasard fait que les premiers musiciens que j’ai rencontrés en arrivant à Paris sont les musiciens de Mano Solo. » Cela donne une étonnante cohérence à son parcours pourtant chaotique. « Je ne suis pas de la ville », dit-elle d’emblée. Elle vient d’un village d’Ardèche, d’une famille « dans laquelle le texte français est très présent ». Sa mère est fan absolue de Goldman, sa grand-mère adore Desproges, elles se partagent Brel, Coluche, Brassens, Devos… « Toute la variété française est passée chez moi », avant que Mano Solo et le punk lui retournent la tête. Dès lors, elle présente « tous les symptômes de la fille qui va devenir artiste». Tant pis pour l’école. « J’ai fait tous les métiers imaginables quand on part de rien. Quand j’en ai eu assez d’être l’esclave apprentie d’un patron, je suis partie sac au dos et j’ai atterri dans la rue. » Elle chante sur les trottoirs en dormant dans le bois de Vincennes, passe un BTS sans avoir le bac, se fait peintre en bâtiment et graphiste, conquiert son premier public dans les bars et dans les squats. « Et la vie m’a récompensé du travail et des risques que j’ai pris. »

Mélanie est alors devenue Melissmell, pour la mélisse qui, selon la tradition, soulage « les maux des femmes », pour Smells Like Teen Spirit, pour le mélisme, pour « Mel is Mel », pour le lys de mer fossile que l’on trouve dans le sous-sol de l’Ardèche… Et, pendant six ans, Melissmell a écumé les scènes avec quatre musiciens rencontrés à Strasbourg et, comme elle, nourris de rock et de rage. Avec eux, elle est devenue une référence. Son Aux armes mêlant Marseillaise et Internationale a rappelé que la chanson en France peut encore refuser la tiédeur. Et les concerts incandescents de Melissmell réconcilient amoureux du verbe haut et fervents de l’électricité. Armée des mots de Guillaume Favray, elle arpente avec « Droit dans la gueule du loup » un territoire de mélancolies véristes et de poésie noire. Elle l’avoue tout droit : « Il s’agit de dire la vérité, quitte à se faire détester. » Mais c’est le plus sûr chemin pour conquérir les coeurs.

  • Droit dans la gueule du loup » Nouvel album de Melissmell disponible le 26 Mars 2013.
  • En tournée à partir d’avril +  Café de la Danse le 25 avril 2013.

 Droit Dans la Gueule du Loup

Nouvel album « Komo Sarcani & Co » déjà dans les bacs !

Komo Sarcani & Co

« Komo Sarcani & Co » est le résultat d’un projet collaboratif et cosmopolite réunissant dix-sept artistes issus de la scène hip hop underground internationale (Paris, Bruxelles, Denver, Phoenix, Brooklyn …) ainsi que des guests. La richesse du concept vient sans conteste d’un melting pot de talents variés, à l’image de notre société métissée. La musicalité n’est pas en reste : les courants jazz, soul, funk et électro se démarquent sur fond de beats Hip Hop marqués.

Avec ce pari audacieux, Komo Sarcani nous livre un album sans détour : ses textes à la fois engagés, poétiques et percutants, nous embarquent dans une réflexion sur la vie et nos actions qui la conditionnent. En abordant des thématiques très diverses, Komo Sarcani développe sa vision du monde qui nous entoure et assoie sa volonté de mettre sur le devant de la scène le Rap indépendant, aux textes conscients.

Avec « Tapi dans l’ombre » le rappeur pose le décor, l’appartenance au milieu Hip Hop underground est là. Ce Mc aux multiples facettes se balade d’un registre à l’autre : en affichant certains travers de notre société urbaine actuelle (« Le Mal »,…) et notre condition humaine, puis en abordant les espoirs de tout un chacun (« Juste un rêve », « Dans l’oeil de l’avenir »,…). L’Amour n’est pas en reste («La Nuit, mon amour », « La dernière nuit »…). « Nos Etoiles » aborde d’une manière subtile la Mort sous forme d’un hommage aux êtres qui nous sont chers. Komo Sarcani, en vrai touche à tout de l’écriture, nous livre un message réaliste d’Unité. Sans s’en rendre compte, une véritable prise de conscience s’opère…

PRÉSENTATION DES ARTISTES ET GUESTS DU PROJET

Tareeq, Dj Veekash (Scred Connexion, Rocé), Catch Lungs, Sensey Maryleen O, Enz, Jawad Sillas, Soul Aum, Rubens, Oby Marf, Mic Supreme (Ruff Ryders), Eylboh, Bande Originale, Blaz, Neil, Parano Emcee, Oussen, Lil’ Bird, Fm, Jasmine Arabia

Komo Sarcani

Congolais d’origine, il débute dans l’univers du Hip Hop au début des années 90. C’est en écoutant pour la première fois la compilation Rap Attitude que sa passion pour le courant Rap se révèle. C’est à Pointe-Noire qu’il forme son groupe «Logicik» en 1995 avec ses acolytes Jim Carpena et Oli Zerone. Il fera la rencontre de Dr. Mfuma Strong, qui marquera à jamais ses débuts dans le Rap. La guerre civile qu’à connu son pays l’amène en France à Villetaneuse (2000). C’est ici qu’il peaufine son écriture et son style. Il fait la rencontre en 2002 de L’armée X avec qui il se produit sur les scènes de banlieues parisiennes.

Mais c’est en 2004 que Komo Sarcani se lance officiellement en sortant sa première mixtape « Marchands de fables », élaborée avec Bat en auto-production. Il laissera passer deux années avant de sortir, en 2006, un projet concept intitulé « Double langage » avec Blaz (L’armée X). Cet album fait l’objet d’articles et de chroniques de nombreux médias (Le Parisien, Le Figaro, Rapmag, Zic TV, Booska-P, Radical, Groove…) et certains clips issus de cet opus se retrouvent diffusés sur certaines chaînes comme TF1, Zik TV ou Trace TV. Ce succès acquis auprès du public underground a permit au « Booster » de propulser sa carrière musicale solo.

Komo Sarcani puise son inspiration de par son vécu en Afrique et en Occident. Il prône le mélange des cultures et l’échange de pensées afin d’aboutir à une réflexion et une prise de conscience, tout cela dans un pur esprit Hip Hop.

Son premier album solo « Hors norme », sorti en 2009, en est le reflet, avec des thèmes conceptuels et des textes à la poésie tranchante et réaliste (« mon passé se repose loin là bas, au bled, en Afrique, mon présent a prit place, derrière des murs en briques »).

Ses influences musicales sont autant marquées par sa curiosité de l’autre : elles sont empreintes d’une grande diversité avec des artistes comme Nas, Slum Village, Little Brother, Guts, les Bantus de la capitale et Boris Vian entre autres.

« La Nuit, mon amour » (Feat Maryleen O.)

[audio:http://www.artemedia-agence-presse.com/audio/03-komo_sarcani-la_nuit_mon_amour_feat_maryleen_o..mp3 |titles=La Nuit mon amour]

Komo Sarcani & Co sur iTunes : Komo sarçani & co – Komo Sarcani

Sortie de « Spray » le deuxième album du groupe The Drops

The Drops

« Spray »

Spray est le deuxième album du groupe The Drops, composé du saxophoniste Christophe Panzani, du guitariste Federico Casagrande et du batteur Ferenc Nemeth. Avec leur premier album Falling From The Sky, The Drops avaient créé leur son, leur univers. Après deux années passées à tourner autour du monde, les Drops ont grandi en découvrant des publics, des cultures et des rapports à la musique complètement différents. Ils reviennent avec une musique enrichie et assumée, plus complexe et plus profonde, une musique projetée vers le monde et sur le monde. C’est en ce sens que les Drops ont emprunté au Street Art et à l’artiste Banksy le visuel (détourné) de ce nouvel album, ainsi que son titre, Spray, à la fois moyen de l’expression et de l’impression.

Christophe Panzani

Saxophoniste et compositeur, très actif sur la scène musicale parisienne, il a fait ses armes en intégrant il y a dix ans le Big Band de Carla Bley, jouant sur toutes les grandes scènes européennes aux cotés de Steve Swallow, Billy Drummond, Andy Sheppard. Christophe continue de travailler activement sur la scène américaine, dans le groupe Thiefs, qu’il a fondé avec le bassiste New Yorkais Keith Witty. Ils ont été distingués deux fois pour leur collaboration, en 2010 par le Chamber Music America, et en 2012 par le Mid Atlantic Art Foundation.

Federico Casagrande

« Guitariste italien résidant à Paris depuis plusieurs années, Federico Casagrande a déjà plusieurs albums parus sous son nom, dont le dernier produit par CamJazz. Depuis le prestigieux concours Gibson Montreux Jazz Festival Competition, présidé par George Benson, il mène une intense activité live qui l’a vu se produire dans une vingtaine de pays autour du monde. »

Ferenc Nemeth

Ferenc est depuis plusieurs années un batteur de référence de la scène jazz mondiale. Il a accompagné les plus grands musiciens d’aujourd’hui comme Wayne Shorter et Herbie Hancock, et est un des batteurs favoris de la nouvelle génération New Yorkaise comme Turner, Omer Avital ou Kenny Werner.

  • Sortie le 16 janvier 2013
  • En physique sur le site : www.thedrops.net
  • En concert le 16 janvier à Paris au Studio de l’Ermitage 8, rue de l’Ermitage, 75020

The Drops Live à L’Ermitage

Ibrahim Maalouf : WIND

Wind - Ibrahim Maalouf 2012

Quatrième album d’Ibrahim Maalouf, WIND marque un tournant artistique pour le trompettiste. Auréolé du succès incontestable de sa trilogie entamée en 2007, Ibrahim change de braquet et nous offre une véritable bande originale d’émotions.

Diagnostic était le 3ème volet d’un triptyque musical que le trompettiste Ibrahim Maalouf a entamé en 2007 avec Diasporas, son premier album, et enrichi avec Diachronism deux ans plus tard. Mieux qu’une continuation, ce disque était l’aboutissement d’un travail de recherche sur le jeu des harmonies, la dynamique des tonalités, leur acclimatation aux rythmes, les connivences insoupçonnables entre différents styles musicaux. C’était également une démarche personnelle, profonde, un véritable travail sur soi. WIND, quant à lui est une démarche plus collective, organisée autour d’une nouvelle équipe de musiciens composée de Larry Grenadier (basse), Clarence Penn (batterie), Mark Turner (saxophone), Frank Woeste (piano).

« Je dédie cet album à Miles Davis dont le génie a complètement inspiré mes compositions. C’est aussi la première fois que j’enregistre un album en « live studio » c’est à dire avec tous les musiciens sur place en même temps. C’est donc une première à plus d’un titre. L’album a été enregistré à New York City en une demi journée. Les morceaux ont été enregistrés en une seule prise. Pas d’artifice de post production. Le mixage a été réalisé le lendemain dans le même studio. J’ai également choisi de travailler avec des musiciens de jazz capables de flirter avec mes sonorités arabes, sans être déstabilisés. L’équipe New Yorkaise est un trio composé de Larry Grenadier (basse), Clarence Penn (batterie), Mark Turner (saxophone). Ces musiciens sont particulièrement respectés dans le milieu du jazz traditionnel et avant-gardiste pour leur ouverture d’esprit, leur créativité et leur musicalité. Et j’ai eu envie de faire intervenir le pianiste Frank Woeste dans les arrangements afin d’être le plus « juste » possible dans ma démarche musicale. Frank est aussi un excellent arrangeur et compositeur de jazz. Il m’a beaucoup aidé à améliorer l’aspect jazz de mes compositions en y apportant une dynamique légèrement plus conventionnelle. C’est un rêve qui s’achève et le doute qui réapparaît comme toujours avec la sortie de cet album. » IBRAHIM MAALOUF

Biographie

Ibrahim Maalouf est né le 5 décembre 1980 à Beyrouth (Liban). Neveu de l’écrivain Amin Maalouf et fils du musicologue Rushdi Maalouf, il poursuit la tradition musicale familiale en s’initiant à la trompette, un instrument dont il devient vite un grand virtuose classique.

  • Label : Mi’ster Productions
    Distribution : Harmonia Mundi

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