La 24ème des « 24 heures du swing » va à l’essentiel…

Les 24 Heures du Swing de Monségur

Organisé par l’Office Monségurais de la Culture et des Loisirs, le festival Les 24 Heures du Swing de Monségur attire depuis plus de 20 ans, chaque premier week-end de juillet, plus de 12 000 passionnés de Swing, New Orleans, Swing Manouche, Jazz Vocal, Be Bop, Ragtime, Blues, Hard Bop, Jazz Rock, Salsa… Le défi de départ des organisateurs : organiser une fête du Jazz… Pari relevé. Le festival a gagné une renommée nationale en faisant venir les pointures du jazz tout en proposant une manifestation conviviale et familiale.  Du jazz pendant 3 jours de fête. Un festival pour tous, accessible à tous.

Vendredi 5 juillet

  • Halle (jazz vocal)
  • September celebration

« …Une création autour de 3 chanteuses réunies par le pianiste Serge Moulinier Alice Mc Carthy, Lo Jay & Martine Olméda… » Cecile Mc Lorin Salvant «… l’aisance et l’aplomb qui révèlent instantanément le talent… « …côté naturel, la belle est désarmante. Le genre de technique vocale tellement éblouissante qu’elle annihile tout sentiment d’effort… »

Samedi 6 juillet

  • Halle (tradition jazz)
  • Benny Golson & Pierre-Yves Sorin 5tet

« …L’une des dernières légendes du saxophone jazz, Benny Golson reste l’un des musiciens les plus complets de ces 25 dernières années. C’est un compositeur doué d’une sens de la mélodie absolument exceptionnelle »… »

  • Les Gosses de la rue invitent Romane

« …Romane, le plus fin, le plus mélodique, le plus ardent des guitaristes de la planète Gypsy… » Village swing (swing) Sanguinet Jazz Band Jazz Chamber Orchestra Evan Christopher’s Jazz Tradition Project « …l’un des représentants majeurs du style New Orleans tel qu’il est pratiqué à l’heure actuelle… »

Dimanche 7 juillet

  • Village swing (jazz, gospel, funk)
  • Fonegna Copie
  • Jérôme Gatius New Orleans Big 4
  • Gizelle Smith

« Gizelle saute, trépigne, se fait doucereuse, sensuelle, crie.une pure énergie, une pêche vocale, du groove, de la sensualité ! »

Renseignements / Réservations

Office Monségurais de la Culture et des Loisirs – 4 avenue Jean Paul Glanet – 33 580 MONSEGUR – www.swing-monsegur.com

Cinquième édition à Biarritz du BIG festival

big festival

La cinquième édition du Biarritz International Groove Festival, événement musical et festif incontournable de la côte Basque, aura lieu du 17 au 21 juillet 2013. Au programme : 4 jours et 4 nuits de fête et de musique, une succession de concerts exceptionnels de midi à l’aube, de la plage aux clubs, entre le BIG Village face à l’océan, le stade Aguilera, et la BIG boîte dans la halle d’Iraty. « Music, Sea, Sun & Fun » !

Après avoir annoncé il y a quelques semaines la programmation des 18 et 19 Juillet avec la venue de Neil Young, Wu Tang Clan, Jonathan Wilson, Gary Clark Jr, Orelsan et The Bloody Beetroots, le BIG festival dévoile aujourd’hui les artistes qui se produiront le samedi 20 Juillet au stade Aguilera de Biarritz. Mais également la programmation des artistes qui se produiront à la BiG Boite à la Halle d’Iraty.

Pour la 2 ème année consécutive, le festival vous mènera sur le dancefloor jusqu’au bout de la nuit ! La BIG Boite investit cette année la halle d’Iraty pour s’offrir un club sur mesure, construit de toutes pièces à l’intérieur de la salle de concert et pouvant accueillir 2500 clubbers*. De Minuit à l’aube, les fans de musiques électroniques pourront venir finir la soirée en dansant sur les DJ sets les plus attendus.

La liste des artistes s’agrandit et rend le festival de plus en plus incontournable pour son édition 2013.

Le BIG Festival est aujourd’hui l’événement culturel le plus médiatisé de la ville de Biarritz, partenaire privilégié de l’événement. L’objectif du festival est simple : mêler les têtes d’affiches et coups de coeur en phase avec l’actualité musicale et des talents émergents locaux, français et internationaux, s’ancrer au coeur de Biarritz pour en dévoiler toutes ses saveurs, créer un rendez-vous de nuit aussi intense que celui du jour avec un village ouvert de 12h à 20h où se mêlent restauration, activités pour enfants, académie de surf, showcase et dj set au coucher du soleil.

Le BIG Festival a gagné sa place dans le tour de France des festivals exigeants et novateurs. Les artistes et professionnels viennent y partager l’expérience unique d’un festival tourné vers l’océan, le surf, la détente, dans un cadre merveilleux, faisant se croiser publics français, basques et espagnols. Avec plus de 16 000 spectateurs en 2011, et 20 000 visiteurs en 2012, l’édition 2013 s’annonce incontournable.

 La programmation du BIG festival

JEUDI 18 JUILLET :
BIG LIVE – STADE AGUILERA, dès 19h.
Tarif 59 euros

  • NEIL YOUNG & CRAZY HORSE
  • GARY CLARK JR
  • JONATHAN WILSON
  • JOHN BERKHOUT

BIG BOITE – HALLE D’IRATY, 23h
Tarif 18 euros

  • KAVINSKY
  • BOSS SOUNDSYSTEM FEAT JOEYSTARR
  • DJ PONE
  • RONE

 VENDREDI 19 JUILLET :
BIG LIVE – STADE AGUILERA, dès 19h.
Tarif 45 euros

  • THE BLOODY BEETROOTS
  • WU-TANG CLAN
  • ORELSAN
  • ANAI ARREBAK

BIG BOITE – HALLE D’IRATY 23h
Tarif 18 euros

  • BAKERMAT
  • JORIS DELACROIX
  • WANKELMUT
  • SYNAPSON

SAMEDI 20 JUILLET :
BIG LIVE – STADE AGUILERA 19h
Tarif 45 euros

  • GEORGE CLINTON AND THE PARLIAMENT
  • FUNKADELIC
  • BREAKBOT
  • THE DEDICATED NOTHING

BIG BOITE – HALLE D’IRATY 23h
Tarif 18 euros

  • CHATEAU MARMONT
  • BUSY P ED BANGER MEGAMIX
  • EROL ALKAN
  • CASSIUS

 

Ca bouge au Printemps de Bourges 2013

printemps de bourges 2013

Pendant six jours, le Printemps éclate dans toute la ville : 130 artistes et groupes dans les huit salles du festival, près d’une centaine d’artistes sur les quatre scènes gratuites réparties des rives d’Auron à la place Séraucourt, plus de deux cent artistes encore dans les vingt-cinq bars de Bourges qui participent au Printemps Dans la Ville…

Comme d’habitude ? Bien sûr, mais avec aussi du neuf partout, comme la mue de ce bon vieux Phénix en W, nouveau chapiteau d’une capacité équivalente. Et les Découvertes du Printemps de Bourges qui deviennent cette année les iNOUïS – 3900 groupes et artistes écoutés, auscultés, évalués par Réseau Printemps et son maillage unique d’antennes régionales à travers toute la France. Et trente-quatre d’entre eux vont se présenter de mercredi à samedi au public et aux professionnels dans les deux salles du 22, en espérant évidemment partager le destin de Ez3kiel, Concrete Knives, Juveniles, Mesparrow et Odezenne, qui furent Découvertes avant de figurer dans la programmation du Printemps de Bourges 2013.

On sait déjà que quelques pages d’histoire vont s’écrire cette année à Bourges, comme le concert-performance acoustique de Patti Smith à la Cathédrale – vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous a pas recommandé de prendre vos places à l’avance. Et ce Printemps sera très canadien avec une douzaine d’artistes venus du grand laboratoire américain bilingue – Ariane Moffatt, Marie-Pierre Arthur, Melissa Laveaux, Half Moon Run, The Luyas, Rich Aucoin, Mac DeMarco, A-Trak, Salomé Leclerc, Zeds Dead…

Les Inouïs ? Pendant des années, nous les appelions Découvertes – le nom que nous avions choisi en créant ce dispositif unique en Europe. Mais, depuis 1986, le mot s’est répandu et, finalement, banalisé. D’autres filières, d’autres festivals, d’autres organisations ont commencé à parler de découvertes. Et on ne savait plus qui était vraiment les Découvertes du Printemps de Bourges, qui sont pourtant, à la fois, les pionnières et les plus déterminantes professionnellement.

Nous avons voulu revenir au sens premier de cette programmation particulière : il s’agit d’artistes que l’on ne connait pas, et donc que l’on n’a pas encore entendus… Tout naturellement, un mot s’est imposé : inouï. Alors nous parlons désormais des iNOUïS du Printemps de Bourges-Crédit Mutuel.

Pour le reste, rien n’a changé. Pour la vingt-huitième fois, le Printemps propose au public le plus passionné, aux programmateurs de salles, aux directeurs artistiques de labels et aux journalistes de découvrir la moisson du plus performant des systèmes de repérage et de sélection de nouveaux artistes en Europe. Cette année, ce sont 3900 candidatures qui ont été reçues sur internet pour une première sélection. Puis trente antennes régionales ont vu sur scène des centaines de groupes dans tous les genres (rock, chanson, électro, hip hop, world) pour n’en retenir que trente-quatre.

Tous savent combien ce passage peut être décisif : on voit dans la programmation officielle de ce Printemps cinq anciennes Découvertes : EZ3kiel, Concrete Knives, Juveniles, Mesparrow et Odezenne. Avant eux, il y a eu Têtes Raides, Paris Combo, Jeanne Cherhal, Zebda, Skip The Use, Frànçois & the Atlas Mountains, Cocoon, Nosfell, Amélie les Crayons, Hocus Pocus, Anaïs, Gojira, Chapelier Fou, L, Chinese Man, Beat Torrent, The Bewitched Hands…

Les iNOUïS s’inscrivent dans un mouvement qui, depuis des années, a offert à des centaines d’artistes une chance unique de voir leur carrière changer de rythme et de dimension. Et nous cherchons toujours les améliorations de détail qui peuvent être déterminantes, comme de proposer une troisième session au 22 dans la journée de mercredi : entre les musiques urbaines à 12h30 et l’électro en soirée, des artistes rock sont programmés à 17 heures – c’est mieux pour le public, c’est mieux pour les groupes.

Une tendance, pour finir ? Il semble que 2013 soit partie pour être une année très pop… Mais, maintenant, c’est à vous de juger. Daniel Colling

Les  iNOUïS du Printemps de Bourges-Crédit Mutuel

HIP-HOP

  • D-BangerZ (Alsace)
  • Pumpkin (Ile-de-France)
  • Némir (Languedoc-Roussillon)
  • Set&Match (Languedoc-Roussillon)
  • Nomadic Massive (Québec)
  • La Gale (Suisse)

MUSIQUES ELECTRONIQUES

  • Mein Sohn William (Bretagne)
  • La Fine Equipe (Ile-de-France)
  • Le Vasco (Ile-de-France)
  • Noir Coeur (Midi-Pyrénées)
  • My Disco Jacket (Nord-Pas-de-Calais)

ROCK / POP / FUSION

  • J.C. Satàn (Aquitaine)
  • Hill Valley (Auvergne)
  • Goldwave (Basse-Normandie)
  • ROSCOE (Belgique)
  • Grindi Manberg (Champagne-Ardenne)
  • Catfish (Franche-Comté)
  • Darko (Haute-Normandie)
  • FI/SHE/S (Ile-de-France)
  • Sauvage (Ile-de-France)
  • The Liminanas (Languedoc-Roussillon)
  • LizZard (Limousin)
  • Sing Sing My Darling (Midi-Pyrénées)
  • OKAY MONDAY (Nord-Pas-de-Calais)
  • Disco Anti Napoléon (Pays-de-La-Loire)
  • Wolves & Moons (Picardie)
  • Archipel (Poitou-Charentes)
  • Erotic Market (Rhône-Alpes)

CHANSON / WORLD

  • Toro Piscine (Bourgogne)
  • FAUVE (Ile-de-France)
  • Tiloun (Ile de la Réunion)
  • Laura Cahen (Lorraine / Luxembourg)
  • IRAKA (PACA)
  • Denis Rivet (Rhône-Alpes)

Neil Young superstar cet été au Big Festival de Biarritz

le big festival

Neil Young et son groupe Crazy Horse se produiront lors de la 5ème édition du BIG Festival le 18 juillet 2013 au Stade Aguilera de Biarritz. Le mythique songwriter, chanteur et guitariste folk, qui n’avait pas donné de concert en France depuis 2009, fera étape au Pays Basque dans le cadre de sa tournée française de 5 dates uniquement à l’occasion de la sortie de son nouvel album.

Auteur-compositeur-interprète surdoué et prolifique aux mélodies hors pair, Neil Young est un guitariste/chanteur de folk, country et rock originaire du Canada. Membre du groupe Crosby, Stills, Nash & Young, et Buffalo Springfield, Pearl Jam, Booker T, il a collaboré avec quantités de musiciens pour enregistrer les multiples disques parus sous son nom. Il poursuit une carrière qui n’en finit pas de durer, ce qui fait de lui l’un des musiciens les plus respectés et influents de sa génération. Neil Young ne s’est pas contenté d’exceller dans un style musical qui lui est cher – folk-rock acoustique mâtiné de country – il a également su se diversifier en s’essayant à d’autres répertoires comme le punk rock, la new wave, la soul, le swing, la musique électronique ou le rockabilly.

Ses 67 ans, fêtés le 12 novembre dernier, ne l’ont pas empêché de sortir deux disques en 2012 qui marquent ses retrouvailles avec son groupe fétiche, The Crazy Horse. Un CD de reprises, Americana et en octobre, un double album, l’excellent Psychedelic Pill sont issus de ces sessions. Depuis, le loner, tel est son surnom, a entamé une tournée mondiale débutée aux Etats-Unis et au Canada. Il s’envolera pour l’Australie avant de gagner l’Europe cet été.

5ème édition du BIG Festival

La cinquième édition du Biarritz International Groove festival, événement musical et festif incontournable de la côte Basque, aura lieu du 17 au 21 juillet 2013.

Au programme : 5 jours et 5 nuits de fête et de musique, une succession de concerts exceptionnels de midi à l’aube, de la plage aux clubs, entre le BIG Village face à l’océan, le stade Aguilera, et la BIG boîte dans la halle d’Iraty. « Music, sea, sun & fun » !

Festival éclectique, international, populaire et prescripteur, le BIG festival propose une programmation de découvertes et de performances d’artistes internationalement reconnus, et s’est imposé en 4 ans comme le rendez-vous musical idéal de l’été à Biarritz, une ville au croisement de tous les publics. Le Big festival est né en 2009 de la rencontre entre Michel Poueyts, adjoint au maire, président de l’Atabal (la scène de Musiques actuelles en Pays Basque) et Sébastien Farran, manager incontournable de la scène musicale française (Johnny Hallyday, JoeyStarr…) et producteur de concerts. Cet enfant du Pays a su partager son envie simple et passionnée de créer un festival de musique original. BiG s’impose comme une nouvelle proposition culturelle éclectique dans une région en pleine expansion. Depuis, une collaboration avec Inigo Argomaniz, de la société de promotion Getin, originaire de Saint-Sébastien, apporte un cadre transfrontalier à ce festival unique en Europe.

Le BIG Festival est aujourd’hui l’événement culturel le plus médiatisé de la ville de Biarritz, partenaire privilégié de l’événement. L’objectif du festival est simple : mêler les têtes d’affiches et coups de coeur en phase avec l’actualité musicale et des talents émergents locaux, français et internationaux, s’ancrer au coeur de Biarritz pour en dévoiler toutes ses saveurs, créer un rendez-vous de nuit aussi intense que celui du jour avec un village ouvert de 12h à 20h où se mêlent restauration, activités pour enfants, académie de surf, showcase et dj set au coucher du soleil.

Les quatre premières éditions ont réuni des artistes de renommée internationale et des révélations telles que THE RAPTURE, DE LA SOUL, METRONOMY, IGGY POP, JOEYSTARR, CATHERINE RINGER, IZIA, TETE, BIRDY NAM NAM, YELLE, BB BRUNES, COEUR DE PIRATE, JACQUES HIGELIN, OUTLINES, SELAH SUE, SEBASTIEN TELLIER, SHAKA PONK, SKIP THE USE, YUKSEK, TWO DOOR CINEMA CLUB, ALPHA BLONDY, CALVIN HARRIS… Le BIG Festival c’est une programmation diversifiée de ROCK, ELECTRO, HOUSE, HIP HOP, FOLK, REGGAE.

Le BIG Festival a gagné sa place dans le tour de France des festivals exigeants et novateurs. Les artistes et professionnels viennent y partager l’expérience unique d’un festival tourné vers l’océan, le surf, la détente, dans un cadre merveilleux, faisant se croiser publics français, basques et espagnols. Avec plus de 16 000 spectateurs en 2011, et 20 000 visiteurs en 2012, l’édition 2013 s’annonce incontournable.

 

Cinquième édition du Festival Au Fil des Voix

Au Fil des Voix

Au Fil des Voix poursuit sa route avec obstination et confiance dans la diversité musicale des voix du monde. Ce cinquième rendez-vous parisien à l’Alhambra, est ponctué de surprises étonnantes qui témoignent s’il en était besoin du renouvellement permanent des pratiques vocales. Il propose une confrontation d’univers musicaux issus de la grande Méditerranée et des musiques noires d’Afrique et d’Haïti. Les artistes invités de grande notoriété dans leur pays, présentent avec générosité et talent leurs nouveaux répertoires à un public avide de surprises heureuses. Au Fil des Voix confirme ainsi l’authenticité et la pertinence de son projet en faveur de la diversité culturelle et de notre monde en questionnement permanent.

PROGRAMME

Jeudi 7 février

1er plateau : Silvia Perez Cruz

  • Espagne – Chanson flamenco – Label Universal
  • Sortie d’album : « 11 de novembre » septembre 2012

2ème plateau : Yasmin Levy

  • Israël, musique séfarade, chants en ladino – Label World Village
  • Sortie d’album : « Libertad » le 23 octobre 2012

Vendredi 8 février

1er plateau : Antonio Zambujo

  • Portugal, Fado moderne – Label World Village
  • Sortie d’album : « Quinto » le 23 octobre 2012

2ème plateau : Amparo Sanchez

  • Espagne, chansons à texte – Label Kasba
  • Sortie d’album : « Alma de Cantaora » le 29 janvier 2013

Samedi 9 février

1er plateau : Carlton Rara

  • Haïti – Blues – Label Aztec Music
  • Sortie d’album : « home » mars 2012

2ème plateau : Cheick Tidiane Seck

  • Mali, Jazz d’Afrique de l’Ouest – Label Universal jazz
  • Sortie d’album : le 04 février 2013

 Jeudi 14 février

1er plateau : Lo Cor de La Plana

  • France occitane, Chants polyphoniques et percussions – Label Buda Musique
  • Sortie d’album : « Marcha ! » le 30 avril 2012

2ème plateau : Vinicio Capossela

  • Italie, Rebetiko moderne – Label Ponderosa
  • Sortie d’album : le 29 janvier 2013

 Vendredi 15 février

1er plateau : Kamilya Jubran

  • Palestine, poésie et musique contemporaine – Label Accords Croisés
  • Sortie d’album : « nhaoul » le 29 janvier 2013

2ème plateau – Planete kurde

  • Traditions et composition du Kurdistan

Samedi 16 février

1er plateau : Houria Aïchi

  • Algérie, chants féminins populaires et savants – Label : Accords croisés label
  • Sortie d’album : « renayate » le 12 février 2013

2ème plateau : Abdelkader Chaou

  • Algérie, chant chaabi

 Le site du Festival Au Fil des Voix : www.aufildesvoix.com

Découvrez la Playlist vidéo de l’édition Paris 2013

Top Of The Spot au festival GéNéRiQ

generiq

Chaque année depuis 1994 se tient dans la ville danoise de Arhus le festival Spot. Un évènement pas tout à fait comme les autres puisque son rôle premier est de donner un coup de projecteur sur la scène nationale danoise, et plus généralement scandinave. Selon la légende, c’est ici, en 2002, qu’un journaliste du magazine américain Rolling Stone serait tombé à la renverse en découvrant the Raveonettes, qui a ensuite pu signer sur une « major ».

Aujourd’hui, ils sont plus d’une soixantaine d’artistes à être programmés à l’affiche de Spot au mois de mai. Tous les groupes danois conviés cette année par GéNéRiQ y ont déjà fait leurs preuves. Avec une forte coloration électro, déclinée en rock (Veto, Pinkunoizu), pop éléctro (Battlekat), ou punk (Reptile Youth) – sans oublier le classicisme posé de I Got You On Tape ou les chansons extrêmes de Budam –, cette scène venue du froid vient dans nos contrées prouver qu’elle sait faire « le show ».

VETO

Avant VETO il n’y avait rien. Du moins sur la scène électronique danoise, où VETO a dompté les machines et s’est ouvert une niche. Sans rien perdre de sa détermination initiale, le groupe a acquis une reconnaissance artistique, tandis qu’il se produisait à guichets fermés tout en remportant une myriade de prix – dont le prix P3 en 2008 (la plus prestigieuse récompense au Danemark). Après être passé en quelques années du statut de groupe prometteur à celui de modèle et initiateur de tendances, VETO a sor ti son troisième album « Everything Is Amplified » en 2011. Loin de se laisser abattre par le poids des espoirs qu’il por te, VETO s’est au contraire déployé comme en atteste cet album sensiblement plus ouvert et apaisé que son prédécesseur.

I Got You On Tape

I Got You On Tape regroupe des musiciens de renom de la scène indé, jazz et underground de Copenhague. Le groupe est sans conteste l’une des grosses pointures de cette scène indie danoise. Leur musique est une combinaison magistrale de rock alternatif et de pop art. Les chansons sont lentes, envoûtantes mais n’en reste pas moins accrocheuses, rugueuses, explosives et sombres, comme un hymne céleste. Les arrangements complexes et imaginatifs s’ar ticulent autour de la voix hypnotique du chanteur Jacob Bellens, qui fournit des mélodies ciselées et sombres, des paroles réfl échies avec intensité et sincérité. Leur très attendu 4e album, « Church of the real » sorti en 2011 a été très largement acclamé par la critique et le public après qu’ils aient gagné la réputation d’un des meilleurs groupes live du Danemark.

Búi DAM

Búi DAM vient des Îles Féroé, un groupement d’îles perdues entre l’Ecosse et l’Islande. Alors jeune guitariste de jazz, il s’envole pour Cuba dans le but de s’inspirer des rythmes caribéens. Avide d’apprentissages, sa passion se retourne malheureusement contre lui : Búi se blesse au poignet et ne peut alors jamais plus jouer de son instrument de la même façon. Il décide donc de parcourir le monde. A l’occasion de ses voyages, il récolte de multiples petites pièces/morceaux de chaque culture et les ramène aux Îles Féroé où il s’emploie alors à les rassembler. Ce long périple le transforme en Budam, un personnage qui raconte désormais à son public des histoires de démons, d’anges, d’amant(e)s et de meurtriers.

Pinkunoizu

Après leur brillant EP PEEP, Free Time !, le premier album de Pinkunoizu est sorti au printemps sur le label Full Time Hobby. Avec leur nom japonais pour “pink noise” le groupe évoluant entre Copenhague et Berlin est un bel exemple de multiculturalisme : mélange exotique de lo-fi , d’high-life, de pop asiatique des années 60 et de rock post-apocalyptique. Auto-enregistré dans les capitales allemande et danoise, le premier album du groupe illustre une réfl exion sur la notion du temps. Les rythmes répétitifs de l’album nous rappellent que le temps qui passe est un thème récurrent dans le travail du groupe. Un rendu imprévisible à l’écoute qui offre des mélodies profondes. Free Time! est défi nitivement un projet de grande envergure pour ce groupe hors du commun.

BATTLEKAT

C’est sous le nom, Just A Number 05272011 que Battlekat a affolé la blogosphère en Mars 2011. Avec un titre sur soundcloud et une vidéo minimaliste homemade sans aucune autre informaton, le groupe a attiré l’attention de 200 à 300 blogs en deux semaines. Il a fallu attendre quelques mois qu’un blog Danois découvre le groupe au SPOT et fasse le lien. Ce jour-là ils jouaient leur tout premier concert et ont révélé leur véritable identité : BATTLEKAT. Leur musique est centrée autour d’un rythme mélancolique et de la voix charismatique de leur chanteuse. Les origines punk du groupe sont toujours perceptibles dans leur travail et le résultat donne un rock métallique et mélancolique d’avant-garde qui défi nit une nouvelle direction pour l’électro-pop scandinave.

Reptile Youth

Reptile Youth « Très attendu » n’est pas assez fort pour parler du niveau d’excitation que génère la sortie du premier album de Reptile Youth chez les fans et la critique. Produit à Londres par Dave Allen M. (The Cure, Sisters of Mercy, Human League) et Mark Ralph (Filthy Dukes, Hot Chip) il s’agit d’une collection de morceaux fait pour révolutionner le monde de la musique. Ce qui est clair tout au long de l’album, c’est l’évidence totale avec laquelle Reptile Youth fonctionne. Il offre à la fois une pop euphorique que seul le groupe est capable de produire, des rythmes effrénés à se déhancher des heures durant mais aussi des textes mémorables. Enthousiaste, épique, cet album place sans conteste Reptile Youth au coeur du paysage musical de cette année.

4 soirées Top Of The Spot

21 novembre : La Poudrière, Belfort

  • Veto, I Got You On Tape, Budam + BRNS (Belgique)

22 novembre : Le Consortium, Dijon

  • Veto, I Got You On Tape, Budam

30 novembre : Le Noumatrouff, Mulhouse

  • Battlekat, Pinkunoizu, Reptile Youth + The Dandy Warhols (USA)

1er décembre : La Rodia, Besançon

  • Battlekat, Pinkunoizu, Reptile Youth + The Dandy Warhols (USA)

La Bande Annonce du festival Génériq

14ème édition de Blues sur Seine

blues sur seine

Cette année, le festival met à l’honneur les racines africaines du blues ! en accueillant les deux stars internationales du blues du désert, Blues sur Seine ne pouvait rêver mieux ! que ce soit avec le blues touareg de Tinariwen, ou le blues-rock mandingue d’amadou & mariam, le festival nous rappelle que le blues américain a puisé ses racines en afrique noire, et notamment au mali.

AMADoU & MArIAM (Mali)

Propulsé au rang de star mondiale, le célèbre couple malien signe avec son 7ème album un retour triomphal aux sources du blues africain. Toujours aussi festive et généreuse, leur musique métisse marie les riffs contagieux des guitares rock aux sonorités du balafon, des choeurs afro-pop et des percussions. un mariage étincelant qui nous rappelle que les eaux du niger et du mississippi coulent dans le même lit. on danse, on chante sous le ciel étoilé de ces bluesmen du désert, qui du feu sacré de leurs rengaines rock endiablées charmeront tous les coeurs métissés…

Roland Tchakounte (Fr)

Entre ballades acoustiques intimistes et blues électrique rageur, son blues nourrit de ses racines camerounaises, chanté en bamiléké ou en pidjin, marche sur les traces de Taj mahal et John Lee hooker. + tom Attah & Franny eubank (GB) : ou quand « le petit neveu de Son House » revivifi e le blues acoustique.

  • Samedi 24 novembre, 19h15 • Mantes-la-Ville, Salle Jacques Brel

TInArIWen (Mali)

Il y a 20 ans, Tinariwen inventait le blues touareg. Guitares électrifi ées plaquées sur des rythmes syncopés hérités de leurs ancêtres, chants traditionnels enracinés dans la litanie des griots exprimaient, à l’instar du blues, l’exil et la souffrance de ces nomades du désert malien. Depuis, adoubés par la scène rock internationale, élus Grammy award 2012 du meilleur album world de l’année, ils sont devenus l’une des références planétaires en matière de blues africain.

  • Vendredi 16 novembre, 21h00 • Aubergenville, La Nacelle

le GrooVe

Au début des années 1940, le blues devient rythmé : les influences du gospel et du jazz se joignent aux structures harmoniques des premiers blues pour créer le rhythm’n’blues ! une musique dansante, festive et énergique qui préfigurera deux courants majeurs de la musique noire américaine : la soul et les premiers rock’n’roll du début des années 60. puisant leurs racines dans le blues, le régénérant sans cesse, ces trois styles posent les bases d’une sensation indéfinissable, presque jubilatoire, qui vous pousse irrésistiblement à pousser quelques pas de danse : le GrooVe !

LUCKY PeterSon (USA) featuring tamara Peterson

Pour cet explosif showman blues-funk à la voix soul brulante, chaque concert rime avec générosité et intensité ! réputé pour son jeu de scène ahurissant, le King à la stature internationale explore – et explose ! – les frontières du genre. qu’il s’empare d’une guitare, s’installe derrière un orgue hammond ou s’empare d’un micro, le résultat est identique : un talent à couper le souffle !

+ SALLIe ForD & the Sound outside (USA)

révélation scénique de l’année 2012, Sallie Ford et son rock sautillant est la sensation du moment à ne pas rater. Sur des rythmiques qui swinguent et qui claquent, quelque part entre l’énergie crue du rockabilly et le son chaud du blues et de la soul des années 50, cette chanteuse à la voix surprenante et explosive fait naître une envie irrésistible de danser… De l’énergie à l’état pur ! + Malted Milk (Fr) : le nouveau phénomène soul-blues.

  • Samedi 10 novembre, 19h00 • Mantes-la-Ville, Salle Jacques Brel

FreD WeSLeY & the new JBs (USA)

Tromboniste, compositeur, arrangeur, éternel directeur musical de James Brown, Fred Wesley est une légende. Son phrasé inédit fait de jazz, de gospel et de soul-bluesy a influencé près d’un demi-siècle de musiques afro-américaines. adoubé par les stars du funk, du jazz (marcus miller, David Krakauer) ou du hiphop (hocus pocus), il est devenu une icône au phrasé inimitable et décoiffant !

  • Mercredi 14 novembre, 21h00 • Mantes-la-Jolie, Conservatoire à rayonnement départemental ENM

Les grands noms du blues

SHeMeKIA CoPeLAnD (USA) + 1ère partie : ray Bonneville (Can), lauréat 2012 de l’International Blues Challenge de Memphis

Avec une voix et une puissance qui n’est pas sans rappeler etta James et Koko Taylor, la fille prodige du légendaire chanteur et guitariste Johnny Copeland s’impose comme une des plus grandes divas contemporaines du blues et de la soul. À la fois novateur et authentique, son blues est à son image : bourré de feeling et d’énergie. un show d’exception pour une chanteuse de grande envergure !

  • Vendredi 23 novembre, 20h30 • Poissy, Théâtre de Poissy

OtIS tAYLor & Contraband (USA) + 1ère partie : Liz Green (GB),

La révélation anglaise entre la grâce de la folk et la magie du blues des années 30 néo bluesman inclassable, créateur hors du commun aux multiples nominations, otis Taylor est l’inventeur du trance-blues. Guitare, banjo, mandoline, violon… À la fois proche des racines africaines et des complaintes répétitives des pionniers du delta, sa musique hypnotique et lancinante nous convie à la trance ! otis Taylor accueillera sur scène à ses côtés pour la première fois en europe une chorale d’enfants d’andresy pour une création inédite.

  • Vendredi 9 novembre, 21h00 • Espace Louis Armand, Carrières-sous-Poissy

CAnDYe KAne (USA) + 1ère partie : olivier Gotti, lauréat du prix électro-acoustique au tremplin national Blues sur Seine 2011

Chanteuse à la voix puissante et généreuse, femme à la personnalité flamboyante, Candye Kane a la puissance émotionnelle de ces grandes divas du passé. entre tradition et modernité, jump blues et r’n’b inspiré des années 50, emprunt de country et de rockabilly, son blues nous ballade avec une énergie débordante et communicative. une des plus vibrante et pittoresque blueswoman actuelle !

  • Samedi 17 novembre, 21h00 • Espace M. Béjart, Verneuil-sur-Seine

À la découverte du Blues

LIZ Green (GB) + otis taylor, le roi du trance Blues, 11 fois nominé aux Blues Music Awards

Avec ses complaintes folk teintées d’un blues charmeur des années 30, Liz Green dévoile à la fois une douce mélancolie et un imaginaire fantastique et loufoque. Subtilement enrichie d’une mini-fanfare aux cuivres chaleureux, cette conteuse à l’ironie très british nous promène avec délicatesse dans un cabaret blues enchanté aux chansons intemporelles.

  • Vendredi 9 novembre, 21h00 • Espace Louis Armand, Carrières-sous-Poissy

BernArD ADAMUS (Québec)

Dans le cadre des 10 ans du jumelage entre Blues sur Seine et le FestiBlues International de Montréal (Québec) repéré en 2009 par Blues sur Seine, Bernard adamus est depuis devenu une star dans son pays (Victoires de la musique, prix Félix Leclerc…). Trombone, banjo, guitare, contrebasse, batterie des plus rudimentaires… puisant dans le vieux blues, ces musiciens déjantés revivifient l’esprit des fanfares des années 40, le panache et l’humour québécois en plus !

  • Samedi 17 novembre, 15h00 • Le Chaplin, Mantes-la-Jolie

VALÉrIe JUne (USA)

Perle rare de la scène blues folk, totalement inconnue à ce jour, elle est la découverte dont vous allez très vite entendre parler… une voix soyeuse, captivante, quasi obsédante, un charme magnétique et une présence saisissante sur scène. produite par le guitariste des Black Keys et le producteur de norah Jones, Valérie June est fascinante !

  • Mardi 13 novembre, 21h00 • Salle polyvalente, Buchelay

Mais aussi :
HeYMoonSHAKer (Swe) : un mélange éclectique et viscéral de blues et de human beatbox.
JeFF LAnG (Aus) : le virtuose australien de la guitare slide, aux performances uniques sur scène.
LeWIS FLoYD HenrY (Gb) : quand Bob marley, Jimi hendrix et ol ‘Dirty Bastard sont morts, Lewis Floyd henry est né. puissant !
SAMUeL JAMeS (USA) : un songwriter de génie, dans la lignée des folk heroes. À découvrir sur scène, vite !

BLUES SUR SEINE

Picthfork Music Festival 2012

Picthfork Music Festival

En octobre 2011, la halle Charlie Parker (Grande Halle de La Villette – Paris) accueillait le premier festival Pitchfork en Europe ; deux jours de festivités à guichet fermé (et près de 10.000 participants). Au programme, le meilleur de la musique indé et électro était au rendez-vous : Bon Iver, Aphex Twin, Cut Copy, Washed Out, Real Estate, Four Tet, Pantha du Prince, Mondkopf, Wild Beasts, Jens Lekman, …

Cette année le Pitchfork Music Festival voit les choses en grand. 3 jours de festival – les 1er, 2 & 3 Novembre – 2 scènes, la totalité de la grande halle investit par le festival qui accueillera près de 30.000 festivaliers. Plus de 40 artistes se partageront l’affiche pour l’occasion. Sont d’ores et déjà annoncés M83, Animal Collective, Grizzly Bear, Robyn et Sébastien Tellier !

La nuit du samedi 3 novembre, la Grande Halle se transformera en immense club La soirée d’ouverture (31 octobre) se déroulera au Trabendo (fraichement réouvert), à deux pas de la Grande Halle.

Les ARTISTES

M83 : Anthony Gonzales, natif d’Antibes a travaillé sans relâche pour peaufiner l’art de sa chanson depuis la formation de M83 en 2001. Son premier album éponyme cette année-là et le suivant deux ans plus tard, Dead Cities, Red Seas & Lost Ghosts, l’ont imposé comme un poids lourd dans la ligue post-rock/pop planante, doué pour produire des paysages sonores embrumés, multicouches, épiques et sous narcotiques créées (essentiellement en solo) à partir de sons électroniques retravaillés, de synthés somptueux, de voix murmurées et de guitares gorgées d’effets. Le troisième album, Before the Dawn Heals Us (2005) a augmenté la mise spectaculaire et ajouté une dose d’étrangeté sombre, tandis qu’en 2007, M83 a sorti le totalement ambient Digital Shades Vol 1.

Saturdays = Youth en 2008, hommage tout en nostalgie à l’adolescence de Gonzales – et éloge non-dissimulée à des artistes comme Kate Bush et Jean-Michel Jarre – préparait le terrain pour le monumental Hurry Up, We’re Dreaming.

Animal Collective : En quelques années prolifiques, Animal Collective s’est hissé au rang de groupe actuel le plus influent et le plus novateur de la musique indie. Collectif à géométrie variable, né à Baltimore puis déplacé à New York, les américains sur les traces de leurs héros Sun City Girls ont touché à tous les styles avec une marque de fabrique immédiatement reconnaissable. Au gré d’une discographie pléthorique, Animal Collective a su créer la pop du futur et le rock de demain. D’abord noisy puis folk, leur musique a atteint des sommets avec Merriweather Post Pavilion. Une boîte de pandore musicale qui s’est ouverte vers des sommets mélodiques. Puisant dans l’électronique, créant un bouillonnement qui ne renie pas la pop song, Animal Collective est surtout un groupe de vocalistes de hautes volées

Grizzly Bear : En 2006, Grizzly Bear sortait l’album Yellow House, une sorte de voyage lent, progressif et éblouissant au charme si étrange, qui a eu un tel impact qu’il est difficile de croire que trois années se sont déjà écoulées depuis.

En 2008, Ed Droste, Christopher Bear, Chris Taylor et Daniel Rossen commencent à s’échanger des démos et à collaborer ensemble par différents groupes de deux permutant régulièrement. Quelques mois plus tard, ils s’attèlent au début de l’enregistrement de Veckatimest, avec le studio mobile du producteur/ingénieur du son Chris Taylor, qui s’étalera sur les six mois suivants dans trois endroits très particuliers. A bien des égards, cette mobilité aura un impact sur ce disque.

Puis Grizzly Bear rentre dans ses pénates new-yorkaises, plus précisément dans une église, où il peaufine et achève l’album, intitulé Veckatimest : un album d’une rare clareté. En septembre prochain, le groupe reviendra avec un nouvel opus.

Robyn : La dernière fois que l’on entendait parler de Robyn c’était en 2008. La Suédoise jonglait sur le Top 10 entre Be Mind, un tube poporchestral, et sa balade With Every Heartbeat, longtemps numéro 1 au Royaume-Uni qui lui a valu une nomination aux Grammy Awards. Cet album Eponyme, disque de platine, a non seulement propulsé la carrière de l’artiste mais lui a également permis de réinventé sa carrière de pop-star teenager. 3 ans plus tard, la chanteuse revient avec un triple album en trois volets ; sur Body Talk Pt 1 on retrouve ces chansons dance, ou se mêlent rap et pop qui on fait le succès de Robyn. On y trouve des collaborations remarquées avec Dr Alban, Technotronic, Leila K et Neneh Cherry.

A une époque ou les charts semblent dominées par des artistes féminins solo, Robyn représente l’une des rares à laisser l’individu de coté pour laisser les chansons s’exprimer pour elles-mêmes.

Sébastien Tellier : Arrivé sur terre au milieu des années 70, Sébastien Tellier se manifeste pour la première fois à ses frères humains en 2001 avec L’Incroyable Vérité, odyssée intimiste et universelle à rebours des canons musicaux de l’époque. 2004 sonne l’heure de l’appel, celui de Politics. L’album est une invitation à parcourir le globe sur les ailes d’un géant : La Ritournelle s’impose alors comme le grand classique de son époque. Après des Sessions de rattrapage en 2004 où il revisite son répertoire accompagné d’un seul piano, Sébastien Tellier se jette dans les bras d’un robot (Guy-Manuel de Homen-Christo, moitié de Daft Punk) en 2007 pour donner naissance à Sexuality, album de la consécration où Tellier, réincarné en lover digital, chauffe à blanc ses fidèles qui se multiplient dès lors comme des petits pains..

Cette année, Sébastien revient avec le non moins remarqué My God Is Blue. « J’ai eu cette transe, ces visions bleues, ces vérités qui surgissent quand tu prends des trucs très forts. J’ai plané haut dans le bleu. Ces vérités, je les ai utilisées pour faire un disque. Je vous propose de l’écouter…»

Simian Mobile Disco : James et Jas, tout en ayant des personnalités assez différentes, sont tous deux des types modestes. Ils ont beau mettre leur succès sur le compte de la chance pure, ce n’est pas tout à fait vrai. Bien sûr, ils étaient au bon endroit au bon moment, mais il faut bien plus que ça pour qu’un album aux sonorités aussi ambitieuses qu’Unpatterns atteigne un public aussi large que celui qu’ils ont réussi à toucher.

Lorsque l’on examine plus attentivement le détail de leur carrière à ce jour, il devient tout à fait évident qu’il leur a fallu, pour en arriver là où ils sont aujourd’hui, beaucoup de ténacité, d’érudition, et d’imagination.

Peu enclins à s’intégrer inutilement à un mouvement quelconque, Jas et James ont veillé à ne pas en rester là. Associés au “truc electro” aux côtés de gens comme DFA, Ed Banger et Erol Alkan, ils se sont délibérément tenus à l’écart du bruit de cette scène “rock”, toujours désireux de réaliser quelque chose de bien plus profond et cosmique, en accord avec leur amour d’une longue lignée de musique électronique étrange, qui remonte de la techno des années 90 aux expérimentateurs d’avant-garde d’un passé plus lointain.

James Blake : La musique de James Blake est un véritable choc. Les sons, la voix, le rythme, les silences, l’attente, la tension… Il faut avoir une grande maîtrise des règles de l’art pour arriver à les briser avec une telle conviction. En osant une telle différence, James Blake a su se positionner au dessus de ses pairs.

Sa musique a clairement un effet enivrant, voyant chaque jour un nombre grandissant de personne tomber sous le charme. Maintenant James Blake est devenu le chouchou du public et il ne fait aucun doute qu’il sait exactement ce qu’il fait : « je veux faire de la musique dansante qui touche le public comme la soul le faisait en son temps, je veux que ma musique vous touche comme un album de folk le fait. C’est le contact humain que je veux. »

Fuck Buttons : Andrew Hung et Benjamin John Power forment ce duo à l’hiver 2004. A la base, le groupe est né de leur nihilisme vis à vis des bruits, mais les Fuck Buttons ont vite réalisé qu’ils pouvaient en tirer parti pour nous plonger dans un voyage bien particulier.

Sans craindre harmonie et bruits, le duo est parvenu à transformer de subtiles mélodies en rythme. En live, Fuck Buttons fait preuve d’une énergie percutante, et l’évidence des sonorités nous plonge dans une osmose avec l’espace qui nous entoure.

The Walkmen : Après 10 ans de carrière The Walkmen recueille tout ce dont un groupe peut avoir besoin. Leithauser est un chanteur à maturité qui vogue aisément entre rage brutale comme sur « the Rats » et désire ardent sur « Southern Heart ». Matt Barrick, le batteur, peut s’acharner férocement tout en se calmant au rythme des cliquetis du tramway. Bauer est quant à lui l’homme complémentaire par excellence, pouvant passer de la guitare au piano ou au farfisa ou encore échanger ses instruments avec Walter Martin, le bassiste mais également parolier par certains temps.

Chacun des membres du groupe est maintenant devenu papa et cela déteint sur leurs chansons devenues un brin émotionnelles et sincères. Heaven, leur dernier album, est percevable comme un achèvement pour un groupe ayant atteint le sommet de leur force et qui ont finalement acquis la reconnaissance qu’ils méritaient.

Chromatics : Formé en 2011, le groupe originaire de Portland se compose de Ruth Radelet au chant, Adam Miller à la guitare, Nat Walker à la batterie et Johnny Jewel aux machines.

Le groupe a réalisé 4 albums studios dont le très convoité Night Drive sorti sur le label Italians Do It Better. Kill For Love, réalisé en mars dernier a reçu un accueil chaleureux de la critique. A la base décrit comme un no-wave band, Chromatics est maintenant associé à l’Italo Disco dans un genre lent, sombre et rêveur.

The Tallest Man On Earth : Kristian Matsson, plus connu comme The Tallest Man On Earth, est un jeune musicien de Dalarna (Suède). Son premier enregistrement fait surface en 2006 via un EP éponyme sur le label suédois Gravitation. Kristian poursuit dans la foulée avec un album en 2008, Shallow Grave, salué par Pitchfork et NPR. Les américains le rencontrent à travers la tournée de Bon Iver, et notamment un double arrêt dans la mythique salle du Town Hall de New-York. The Tallest Man On Earth gagne en terme de public à travers des perfomances hautes en puissance, prenant la scène d’assaut seul avec sa guitare acoustique en captivant la foule nuit après nuit…

En 2010, Matsson signe avec le label américain Dead Oceans sous lequel il sortira son 2ème album The Wild Hunt. Cet année, The Tallest Man On Earth revient avec un nouvel album, There is No Leaving Now.

Chairlift : Caroline et Patrick ont sortis Something, leur second opus, après avoir passé 18 mois entre l’arrière boutique d’un antiquaire à Brooklyn et le sous-sol d’une maison à Streatham (Londres). Contrairement à leur premier album, Does You Inspire, concocté la nuit après le boulot et l’école, Chairlift a composé Something au soleil autour d’une tasse de café, et cela se ressent dans l’univers de l’album. On retrouve Dan Carey dans le rôle de producteur, son implication joue pleinement sur l’album et le résultat final.

Liars : Formés dans la région de Los Angeles, où Andrew et Hemphill se sont rencontrés à la California Institute of the Arts, les LIARS ont vite filé à Brooklyn où ils se sont fait remarquer en étant mis dans le sac du revival postpunk dès leur premier album, They Threw Us in a Trench and Stuck a Monument On Top (2001).

Les LIARS font vite mentir cette étiquette avec le typiquement difficile deuxième album, They Were Wrong, So We Drowned, un concept noisy et agressif. Ils partent ensuite à Berlin pour concevoir en 2006 Drum’s Not Dead, autre disque conceptuel.

Perversement, sur le suivant (Liars, 2007) mixé par Gareth Jones, les thèmes typiquement lourds ont laissé place à un penchant prononcé pour le rock’n’roll dépouillé et primitif. Une telle admiration ne nous avait pas préparés pour l’album suivant, Sisterworld, en 2009 – le chef-d’oeuvre du groupe jusqu’à ce jour. En 2012, Liars revient avec WIXIW, un album plus intime et plus émotionnel.

Totally Enormous Extinct Dinosaurs : Tout droit sorti de l’écurie Greco- Roman, Orlando, aka TEED, a progressivement gravi les échelons depuis son premier EP qui a suscité l’attention en 2009.

Sa force se puise dans un mélange harmonieux de rythmes dancefloor et d’une sensibilité pop spontanée, l’équilibre s’est avéré unique. Très jeune, ce fils d’un professeur d’Oxford a affirmé son gout pour la Jungle et point de vue sur la musique est très intéressant.

Mais c’est en live que TEED excelle vraiment ; oscillant entre dancefloor et musicalité il anime la scène avec d’étranges instruments, des canons à paillette et bien sur … des dinosaures qui dansent ! On ressent de l’amusement, du fun et de la magie, chose que l’on retrouve peu chez ses contemporains.

John Talabot (Live) : John Talabot, l’Espagnol de Barcelone sort son premier album FIN sur Permanent Vacation après des maxis sur Hivern Disks, Young Turks (le label de The XX). Mariant à la perfection la house et le disco, John Talabot est aussi reconnu pour ses talents de producteur. LCD Soundsystem, Aeroplane et Âme, pour ne citer qu’eux, le playlistent régulièrement et le consacrent comme l’un des meilleurs de la scène si disputée qu’est celle de la musique électronique.

Twin Shadow : Fils d’une coiffeuse et d’un prof ayant eu plusieurs vies (semi- pro de football, kinésithérapeute, réalisateur et d’autres choses que nous vous raconteront quand vous serez plus agés), ce Dominicain a grandi en Floride. Son enfance ? Il n’essaye pas de l’oublier, au contraire, il semble être en vol stationnaire au dessus du paysage de ces décennies passées. Sur Forget, son premier LP, on retrouve Chris Taylor (Grizzly Bear) comme producteur, avec qui Twin Shadow travaille étroitement pour les arrangements tout en conservant l’ambiance sur laquelle George à planché durant des mois dans son appartement de Brooklyn.

Wild Nothing : Demandez à Jack Tatum ce que signifie «Wild Nothing». En 2010, Tatum âgé de 21 ans sortait l’un des enregistrements pop les plus cultes de l’été, alors qu’il était encore à l’université de Blacksburg (Virginie), une petite ville plus réputée pour produire des fans de football et des ingénieurs que des musiciens. Tatum vit de contradictions. Vous entendrez souvent que Wild Nothing et un «one man band». En studio, Jack est seul à composer, sur la route, il est avec son groupe. Il y a 2 Wild Nothing.

Factory Floor : La complexité des sonorités au sein du groupe rend quelque peut difficile la description de Factory Floor. Certes les beats froids et réguliers nous renvoient à cette dynamique industrielle bien illustrée par le nom du trio. Mais il y a également un coté sous-jacent très dansant qui dément l’austérité du son. Ce curieux équilibre a porté ses fruits : de nombreux remixes ont suivi (dont celui d’Optimo qui a été très remarqué), les critiques les encensent, Stephen Morris, producteur de Joy Division et de New Order ne cesse de faire leur éloge.

Japandroids : Japandroids (aka JPNDRDS) est un jeune duo de Vancouver donnant dans le garage/rock alternatif depuis 2006. Originellement crée pour être un trio, les deux membres du groupe ont décidé de renoncer à l’obligation d’avoir un « chanteur principal », ils décident d’être ensemble ce personnage.

Détrompez-vous, Japandroids n’est pas un groupe minimaliste, loin de là ! Ils ne sont que deux mais donnent l’étrange impression de se multiplier et d’être 5. Ce groupe illustre une fois encore que «deux» est la réponse à la grande question «Combien faut-il être pour former un groupe de rock?». Un guitariste et un batteur, telle est la recette des Japandroids. Recette qu’ils partagent avec les White Stripes entre autres, et ça tient diablement la route. Les morceaux baignent dans une sorte de naïveté et d’énergie positive, qui confère à leur musique une fraîcheur étonnante.

Cloud Nothings : Un an après leur premier album éponyme, Cloud Nothings, originaire de Cleveland (Ohio), revient avec Wichita pour un nouvel album, Attack On Memory. L’album sera produit par le king du rock-noisy, Steve Albini (Nirvana, Pixies, Manic Street Preachers et PJ Harvey). L’association a donné lieu à un enregistrement d’une grande avancée pour le groupe : plus expérimental, plus varié mais toujours accessible avec une inspiration post-rock, hindi, post-punk.

Disclosure : À seulement dix-sept et vingt ans, les frères Laurence dynamitent la bass musique londonienne et attirent les louanges critiques. Depuis deux ans, des singles et des remixes parfaits (Dixon, Jessie Ware…) impressionnent. Une tournée anglaise avec SBTRKT confère à Disclosure une crédibilité live au-delà des prouesses du studio. Au départ influencées par la scène post-dubstep londonienne, leurs productions ont vite pris une tournure plus dancefloor au carrefour de la house, du garage et de la bass musique.

Se retournant toujours plus loin en arrière, les frangins ont récemment fait resurgir leur amour de la house de Chicago et Detroit dans leurs dernières réalisations (le EP The Face paru sur le label Greco-Roman). On devrait passer beaucoup de bon temps avec eux dans les mois à venir !

Jessie Ware : Jessie Ware est une popstar bien à part. Avec sa voix mélancolique, sentimentale, ses qualités de parolières sans oublier ses cheveux plaqués en arrière, elle marque une nouvelle ère pour la pop music. Ses débuts remarqués avec l’album Devotion combinent l’ultra-moderne downtempo R&B et l’électro britannique avec le mélodrame de Sade ou de Whitney Houston.

AlunaGeorge : AlunaGeorge, c’est un peu l’assemblage du meilleur de la musique britannique du moment ; on y trouve le boom et le glitch de la basse culture anglaise allié à la douceur du R&B de SWV et des Destiny’s Child. Certains décriront leur musique comme une « minimale polyrythmique avancée » mais la seule chose qui est sur avec AlunaGeorge, c’est que leur musique ne pourra être cataloguée dans un style unique, que ce soit le hip-hop expérimental, le R&B des années 90 ou la house, chacun d’eux ayant pourtant une influence dans le résultat.

Outfit : Issu de lointaines terres galloises, le groupe est apparu l’an passé, avec Another Night’s Dreams Reach Earth Again, un EP étonnant qui les envoie directement sous les lumières londoniennes. Leur musique? un subtil mélange de diverses textures électroniques et de douces mélodies pop. Eux-mêmes la décrivent comme un monde de rêve « tangible, vivant, et pas moins réel que d’attendre le bus ou de tomber amoureux ».

Julio Bashmore : Il peut sembler paradoxal pour un producteur de se détacher de l’une des scènes musicales les plus prospères, mais dans le cas de Matthew Walker, alias Julio Bashmore, c’est exactement ce qu’il a fait, passant son enfance dans le foyer de la Bass music, à Bristol. En fait, la house music est le premier amour de Julio. Il était surtout actif en périphérie de la scène locale, ce qui lui a permis de cultiver tranquillement un genre qui ne ressemble à aucun autre. Si fin 2009 Julio a semblé exploser sur la scène, l’arrivée de son EP sur le label Dirtybird n’était qu’un début.

Death Grips : Originaire de Sacramento, Death Grips, formé à la fin de l’année 2010, est composé du chanteur Stefan ‘MC Ride’ Burnett et des producteurs Zach Hill & Andy Morin. Le groupe a lancé une mixtape très acclamée, Exmilitary, dont on soulignera la track ‘Guillotine’, single numéro 1 du Time Out NY de 2011. Depuis sa création le groupe a reçu des éloges sans précédents de médias tels que Pitchfork, NME, Spin, Rolling Stone, The New Yorker.

DIIV : DIIV est le nom de plume de Z. Cole Smith, provocateur musical. Récemment signé sur le solide label Captured Tracks, leur première sortie ‘Sometimes’ a instantanément créé la surprise dans le monde du blog. Trouver son chemin sur Pitchfork ou Altered Zone n’était qu’une question de semaines après la formation du groupe.

Rustie : Ces dernières années, la musique électronique fait exploser les genres ; et cela confirme une chose : que Rustie est l’un des joyaux de la couronne de ce royaume. Apparu avec le reste du crew Numbers aux talents multiples, et seulement avec une poignée de titres à son actif, sa présence complète une discographie en constante évolution. Justement mentionné dans un même souffle avec les producteurs les plus novateurs du monde, Martin Clarke (Pitchfork) a une fois décrit la musique de Rustie ‘comme la métaphore de l’expérience d’un excès digital intense’.

Purity Ring : Duo canadien composé de Corin Roddick et de Megan James, Purity Ring a sorti son album Shrines le 27 juillet dernier. Malgré le jeune âge du groupe, Purity Ring a réussi à concocter une première sortie de qualité.. Ces onze pistes tracent un univers esthétique unique : une invitation à l’exploration. Le challenge du live est également une réussite ; Après 6 mois de préparation, rien n’est laissé au hasard, de la tenue vestimentaire, aux instruments créés par Corin lui même. Le spectacle qui en résulte est surprenant.

How To Dress Well : How To Dress Well est le nom de scène du compositeur et producteur Tom Krell. Sa carrière a commencé en 2009. Lorsqu’il déménage de Brooklyn à Berlin, ses chansons ont commencé à émerger via l’EP Just Once publié dans l’anonymat sur son blog. La combinaison d’une voix de fausset magnifique et de beats R&B, une mélodie instinctive, ont donné naissance à ‘Love Remains’, le premier album de Krell, qui nous offre une belle fenêtre dans un imaginaire étonnamment artistique.

Ratking : Ratking a l’allure du prochain groupe phare new-yorkais. À l’instar des Beastie Boys ou des Yeah Yeah Yeahs, Ratking a su mélanger l’énérgie hard-jeune à des beats et des rimes propres à New-York dans un groupe de hip-hop pur comme il peut en exister qu’en 2012. Wiki, chanteur de 18 ans, a été repéré lors d’un concert du Wu-Tang à seulement 13 et a été invité à jouer sur scène par GZA qui proclamait : « Wu-Tang is for the babies ». Une étoile est née.

Isaac Delusion : Isaac Delusion, c’est avant tout deux artistes pluridisciplinaires explorant sans cesse de nouvelles contrées musicales. Du grave au léger, la voix particulière de L. lui permet de trouver le ton juste et garder son identité à chaque nouvelle idée. Son imagination fait de lui un personnage un brin mystérieux, que son charisme transforme totalement en live. Ce sont ses voyages en Islande et son amour pour la pop folk américaine qui l’amenèrent à composer avec son compère J. son premier disque, Midnight Sun.

PITCHFORK HALLOWEEN PARTY (LE 31 OCTOBRE)

Clinic : Au cours des quinze années qui ont suivi la sortie du premier EP du groupe, Ade Blackburn et les autres ont principalement livré des chefs d’oeuvres d’une singularité rare, toujours en quête de repousser leurs frontières vers une nouvelle pop dont ils contrôlent à merveille la trajectoire. Cette musique leur a valu une nomination aux grammys et un passage au célèbre David Letterman show.

Melody’s Echo Chamber : Melody’s Echo Chamber est le projet de Melody Prochet, auteur-compositrice et multi-instrumentiste française vivant à Paris. Avec un penchant pour le psychédélisme et un don mélodique naturel, Melody est à la fois une aficionado de la pop hors-normes mais aussi l’un de ses nouveaux espoirs.

Lotus Plaza : Lotus Plaza est le projet personnel de Lockett Pundt, le guitariste et multi-instrumentiste de Deerhunter pour lequel le leader Bradford Cox éprouve un amour incommensurable depuis leur rencontre lors de la plus tendre enfance. Musicalement parlant, influencé autant par Stereolab que par My Bloddy Valentine, Lockett a sorti son premier album éthéré The Floodlight Collective en 2009.

College : Collège, de son vrai nom David Grellier, est un compositeur de musique électronique français né en 1979 à Nantes. A la fin des années 90, il achète son premier ordinateur, avec lequel il réalise de nombreuses démos influencé par des artistes tels que Jeff Mills, Aphex Twin et des labels tels que Soma Records, Peacefrog ou encore Warp. En Avril 2007, il a rencontré Anoraak et a décidé de créer un blog pour partager leurs productions les plus récentes: le projet Valérie est née.

9ème édition du Ouest Park Festival

Ouest Park Festival

Pour la 9e édition de ce festival musical organisé par la Papa’s Production, rendez-vous en plein air, sous chapiteaux, dans l’enceinte verdoyante d’un ancien fort militaire reconverti en lieu de vie culturel. A l’affiche, un mix de valeurs sûres et de jeunes pousses prometteuses. Deux scènes, une caravane spectacle. Chaque soir 10 concerts pour 20 euros ! Au total, plus d’une trentaine de concerts de rock, électro, rap, + des animations pour les 10 000 festivaliers attendus (jeux interactifs, atelier sérigraphie).

Ça fait 9 ans que ça se passe comme ça, c’est la politique de la Papa’s Production : rendre le Ouest Park Festival accessible au plus grand nombre. Chaque soir, pour 20 euros, on écoute 10 concerts. Pour les mélomanes et aventuriers du dance-floor, il y a même des formules pass 2 ou 3 soirs à 36 € et 51 €. Le dimanche, concerts en journée, et c’est gratuit ! Alors, qui dit mieux ??

La météo, c’est la meilleure ennemie des festivals. La Papa’s Production a tout prévu pour que l’accueil des 10 000 festivaliers attendus se déroule dans les meilleures conditions de confort. Les concerts sont organisés sous chapiteaux chauffés, garantis pieds au sec : le Space Circus et le ChaPapa’s ! L’espace Barbapapa’s occupe un chapiteau en dur (avec plancher et canapés confortables). Plusieurs buvettes sont réparties sur tout le site. Entre Mémé Patate et les galettes bretonnes, il faudrait être fou pour avoir froid !

Principe de ce merchandising créatif : un atelier de sérigraphie ouvert pendant tout le festival. Les festivaliers amènent leur tee-shirt fétiche, slip préféré ou inséparable sac de toile (ou se procurent un t-shirt Ouest Park sur place). Ils choisissent l’un des visuels de Poilala, mascotte reliftée du festival et revisité par Cagibi Silkscreen, qui assurera l’atelier de sérigraphie, et hop, le tour est joué, ils repartent avec un souvenir exclusif du Ouest Park 2012 !

LE OUEST PARK EN QUELQUES CHIFFRES  : 4 jours • 40 artistes et groupes • 10 000 festivaliers • 10 concerts chaque soir, pour 20 euros • 100 bénévoles • 2 chapiteaux de 500 et 2000 personnes • 1 caravane spectacle • 1 atelier de sérigraphie • 1 borne de jeux d’arcade • 1 jeu de space-invader interactif • 1 babyfoot • 1 conteneur radio • 9 ans d’existence

ZOOM SUR LA PROGRAMMATION:

  •  Jeudi 25 octobre : 2MANYDJ’S, PONY PONY RUN RUN, BLAKE WORRELL, TRISTESSE CONTEMPORAINE, THE AGGROLITES, NADEAH, RUBY SHOES
  • Vendredi 26 octobre : MIOSSEC, LA RUE KETANOU, APRIL SHOWER, THE LANSKIES, BEATAUCUE, GINA TURNER, ACCORDEON CLUB DE SANVIC
  • Samedi 27 octobre : IAM, CHEVEU, HYPHEN HYPHEN, STUCK IN THE SOUND, DANGER, LCMDF, GRAPES.
  • Dimanche 28 octobre, journée gratuite : DAZE, WEEDONCARE, WILLO, WANKIN’NOODLES.

TOUT SAVOIR SUR LE FESTIVAL : www.ouestpark.com

Au programme : le croisement des genres !! Néo-BBoys et ados post-punk, trentaine pimpante et quarantaine assumée en mode disco-trash ou grosse électro qui clash, seniors élevés au rock-ska ou à la folk,… tous les publics sont dans la nature, toutes leurs musiques sont au Ouest Park !

26ème édition du Tourcoing Jazz Festival

tourcoing

Quelques grands noms du jazz : Herbie Hancock en solo, Marcus Miller, John McLaughlin, Melody Gardot…
Des artistes de la nouvelle génération : Roberto Fonseca, Sandra Nkaké…
Des artistes à la croisée du jazz et des musiques actuelles (hip hop, électro, pop) : Bernhoft, Blitz The Ambassador, Electro Deluxe…
Un parcours solo jazz avec : Misja Fitzgerald Michel, Renaud Garcia Fons, Vincent Peirani, Franck Agulhon, Pierre de Bethmann
Et beaucoup d’autres découvertes !

MELODY GARDOT

  • Samedi 20 octobre 2012
  • 20h30 – Théâtre Municipal Raymond Devos
  • Melody Gardot : voix, piano
  • Stephan Braun : violoncelle
  • Irwin Hall : saxophone
  • Petri Korpela : percussions
  • Mitchell Long : guitare
  • John Leftwich: contrebasse et basse
  • Charles Staab : batterie

Trois ans après le succès international de son album « My One And Only Thrill », Melody Gardot revient avec un nouvel opus « The Absence ». Ses nouvelles compositions, écrites dans un esprit bresiliano-portugais sont le reflet d’expériences personnelles et de plusieurs voyages au Maroc, au Brésil, en Argentine ou encore au Portugal. “Une grande partie des histoires sur ce disque proviennent de mon vécu, mais aussi de l’observation des gens, de la vie avec eux, la joie et la tristesse au hasard des petits moments. C’était réellement une connexion mutuelle” decrit-elle.

A 27 ans, la nouvelle diva du jazz aux allures de femme fatale flirte avec les genres, les cultures et les langues avec une aisance, un charme et un talent redoutables. Elle nous invite à une nouvelle ballade aux mille saveurs, entre jazz, pop, samba et fado.

MARCUS MILLER

Renaissance
  • Dimanche 21 octobre 2012
  • 17h00 – Théâtre Municipal Raymond Devos
  • Marcus Miller Bass, Clarinet Bass
  • Louis Cato Drums
  • Kris Bowers Keyboards
  • Alex Han Sax
  • Adam Agati Guitar
  • Lee Hogans Trumpet

Auteur d’un des chefs-d’œuvre les plus percutants du jazz moderne, « Tutu », pour le légendaire Miles Davis, Marcus Miller est également le représentant incontesté du jazz fusion. il a révolutionné l’usage de la basse électrique par sa technicité et sa maîtrise du slap et du tapping.

Cinq ans après son dernier album « Free », Marcus Miller sort avec un nouvel opus « Renaissance ». Son titre est le signe d’une volonté toujours aussi forte de se renouveler, entouré d’une génération de jeunes musiciens talentueux. « Je sens qu’une page se tourne », dit Marcus Miller ; « Nos derniers héros disparaissent et nous entrons dans une ère nouvelle, à la fois politique et culturelle. Mais la musique n’est pas aussi révolutionnaire que les médias. Il est temps pour une Renaissance. »

RENAUD GARCIA-FONS solo

“Parcours Solo Jazz”
  • Lundi 22 octobre 2012
  • 18h30 – Maison Folie Hospice d’Havré
  • Renaud Garcia-Fons : contrebasse à 5 cordes

Véritable esthète à l’imaginaire sans limite, Renaud Garcia-Fons est un musicien nomade et inclassable. Il tisse depuis de nombreuses années des liens entre le jazz et les sonorités méditerranéennes. Dans ce projet solo, tout est contrebasse et si certaines pièces sont écrites pour la contrebasse seule, l’utilisation de loops dans d’autres, permet une véritable démultiplication de l’instrument. Une véritable orchestration évolutive qui permet au jeu soliste et improvisé de s’exprimer dans toute son étendue et sa variété. C’est à un répertoire métissé et haut en couleurs que Renaud Garcia-Fons nous convie avec sa contrebasse à 5 cordes, dont l’amplitude sonore lui permet de voyager dans des thèmes qui oscillent entre orient et occident, mais aussi entre musique ancienne et musiques actuelles.

JERÔME SABBAGH Quartet featuring Jozef Dumoulin

  • Lundi 22 octobre
  • 20h30 – Maison Folie Hospice d’Havré
  • Jerome Sabbagh: saxophone et compositions
  • Jozef Dumoulin: Fender Rhodes, clavier et effets
  • Gary Wang: basse Rodney Green: batterie

Saxophoniste “résolument lyrique, à l’approche personnelle, et dont l’inspiration se nourrit moins de ses aînés que de sa propre imagination” (JazzTimes), Jérôme Sabbagh est né en France en 1973 et vit à New York depuis 1995. Il a été l’un des derniers saxophonistes de Paul Motian, avec lequel il s’est produit au Village Vanguard, dans le “New Trio” du batteur en septembre 2011. Son dernier projet “Plugged in” signifie “connecté”. Il est en effet à la fois question d’une rencontre entre deux musiciens (J. Sabbagh et J.Dumoulin) qui possèdent un univers musical personnel et fort, et aussi de beaucoup de machines. Ce projet remarqué par la critique en France comme outre-atlantique réunit les compositions des deux protagonistes qui ont cherché à mettre en valeur la diversité de leurs styles d’écriture et leurs points communs.

VINCENT PEIRANI Solo

  • Mardi 23 octobre 2012
  • Maison Folie Hospice d’Havré – 18h30
  • Parcours solo Jazz

Repéré en 2011 aux côtés de la chanteuse Youn Sun Nah sur la scène du Théâtre, Vincent Peirani est devenu en quelques années un musicien incontournable. Accordéoniste, clarinettiste, compositeur, il est aussi à l’aise dans le Jazz, que dans le classique, les musiques improvisées, ou les musiques du monde. La diversité de ses collaborations en attestent : de la Campagnie des Musiques à Ouïr à Roberto Alagna en passant par Daniel Humair, Laurent Korcia, Sylvain Luc, Les Yeux Noirs, Michel Portal ou Sanseverino, les rencontres se succèdent et ouvrent grandes les portes d’une carrière exceptionnelle à ce jeune musicien.

CARMEN SOUZA (plateau 1)

ROBERTO FONSECA (plateau 2)

  • Mardi 23 octobre 2012
  • 20h00 – Théâtre Municipal Raymond Devos
  • Carmen Souza : Chant, guitare, piano Fender Rhodes
  • Theo Pas’cal : Basse, contrebasse
  • Jonathan Idyagbonya : Piano
  • Maurizio Zottarelli : Batterie, percussions

Née à Lisbonne de parents cap-verdiens, Carmen Souza est en passe de devenir la nouvelle référence de la musique cap verdienne. Elle vient d’enregistrer son 4ème album à Londres et Lisbonne. Son titre « Kachupada » – le Cachupa est un plat traditionnel du Cap Vert mélangeant une grande variété d’épices et d’ingrédients – évoque très bien sa musique qui navigue entre jazz et world avec un héritage africain très présent. Scattant et caressant les mélodies de sa voix extravagante, son style unique apporte un nouveau souffle à la tradition musicale du cap vert, sans en perdre l’essence. A découvrir sans attendre.

ROBERTO FONSECA

« Yo »
  • Roberto Fonseca Piano, Key & Vocal
  • Joel Hierrezuelo Percussion
  • Jorge Chicoy Electric Guitar
  • Ramsés Rodríguez Drums
  • Yandy Martínez Bass
  • Baba Sissoko African Percussion

Il avait fait sensation lors de sa venue au festival en 2009. Roberto Fonseca, l’un des musiciens cubains les plus charismatiques de sa génération est de retour avec un nouvel album « YO ».Fonseca y explore une nouvelle dimension sonore alliant brillamment instruments acoustiques traditionnels et électroniques, le tout sous forme d’hommage aux racines africaines de Cuba. Fidèle à un jeu percussif, à une recherche constante de mélodies colorées, Roberto Fonseca nous offre ici un répertoire intime et personnel (« Yo » signifie « Je »), comme une affirmation de soi et de ses racines. La vélocité et la technique époustouflante de ce pianiste n’avait pas échappé à Ibrahim Ferrer qui en a fait son protégé et son accompagnateur. Le jazz cubain a trouvé son plus bel héritier et son nouvel ambassadeur !

YOM & THE WONDER RABBIS

  • Mardi 23 octobre 2012
  • 21h00 – Magic Mirrors
  • Yom : clarinette
  • Manuel Peskine : piano
  • Sylvain Daniel : basse
  • Emiliano Turi : batterie
  • Mehdi Haddab : oud

Le jeune prodige français de la clarinette klezmer revient sur le devant de la scène. Révélé il y a trois ans avec un premier album – New King of Klezmer Clarinet – sur lequel il enfilait le costume de son idole Naftule Brandwein, pionnier mégalomaniaque et légendaire du klezmer new-yorkais des années 20, Yom s’aventure ensuite sur un terrain plus personnel. Entouré de son nouveau groupe, les Wonder Rabbis, Yom sort aujourd’hui l’album « With love ». Si les musiques d’Europe de l’Est, juives ou non, restent le fil conducteur de son travail, les influences du post-rock de Mogwaï, celles de Kraftwerk, Brian Eno, Radiohead ou Sigur Ros sont tout aussi patentes. A découvrir absolument !

3/4 PEACE

  • Mercredi 24 octobre 2012
  • 12h30 – Magic Mirrors – Entrée Libre
  • Christian Mendoza : piano
  • Ben Sluijs : sax alto
  • Brice Sonanio : contrebasse

Accueilli l’an passé au Tourcoing Jazz Club dans le cadre du JazzPlaysEurope Laboratory #3, Christian Mendoza est assurément l’un des meilleurs espoirs du jazz belge. Ce jeune pianiste aux origines péruviennes propose un jazz contemporain et inventif, nourri de multiples influences. En effet, sa culture musicale ne s’arrête pas au jazz. Ce musicien est aussi à l’aise avec la salsa, les musiques populaires, l’improvisation ou encore la musique classique.

MISJA FITZGERALD MICHEL solo

Hommage à Nick Drake
  • Mercredi 24 octobre 2012
  • 18H30 – Maison Folie Hospice d’Havré
  • Parcours Solo Jazz
  • Misja Fitzgerald Michel : guitare

Dès qu’on s’approche de Nick Drake (1948-1974), singer-songwriter anglais fauché dans l’éclat de son âge et le sommet de son art, il est hélas plus fréquent qu’on entende la rumeur écrasante du mythe qui l’entoure que le souffle profond de son oeuvre. C’est que la courte et dense existence de ce surdoué aura alimenté bien des légendes et fantasmes. C’est donc un hommage à ce génie que le guitariste surdoué Misja Fitzgerald Michel a voulu rendre dans les reprises instrumentales de son dernier album Time of No Reply. A sa manière et avec une grande sensibilité, il éclaire sous un autre jour l’œuvre de Nick Drake sans jamais la dénaturer.

MAGMA & le Metälïk Orkestra

  • Mercredi 24 octobre 2012
  • 20h00 – Théâtre Municipal Raymond Devos
  • Christian Vander : batterie, chant
  • Stella Vander : chant, percussions
  • Isabelle Feuillebois : chant, percussions
  • Hervé Aknin : chant
  • Bruno Ruder : piano Fender, clavier
  • Benoit Alziary : vibraphone
  • James Mac Gaw : guitare
  • Philippe Bussonnet : basse

MAGMA occupe une place unique dans la musique européenne. C’est un groupe mythique qui conjugue l’énergie du rock, l’exigence de la musique contemporaine, la transe des musiques ethniques, le groove du rythm’n blues, le swing du jazz, la pureté du chant lyrique. Retrouver MAGMA en concert est un rendez-vous incontournable. Il y a une seconde raison à cela : le groupe a influencé et formé de nombreuses générations de musiciens et de mélomanes.

Dans cet esprit, Christian Vander et les musiciens de MAGMA s’impliquent dans un processus de transmission pédagogique en direction des musiciens amateurs en formation classique ou jazz. MAGMA MËTALÏK ORKESTRA est donc tout à la fois un projet de création, d’action pédagogique et de diffusion.

Pour ce faire, Hugues Rousé (responsable du Dpt Jazz de Tourcoing) a réuni des musiciens issus des départements jazz des conservatoires de Tourcoing et de Lille, ainsi que quelques musiciens du JFC Big Band. Un travail de résidence mené avec Benoît Alziary tout d’abord puis avec le groupe Magma au complet précédera ce concert. C’est donc une aventure palpitante et riche qui attend ces étudiants. Ils présenteront le fruit de leur travail en première partie de soirée, en compagnie de MAGMA.

BLITZ THE AMBASSADOR

  • Mercredi 24 octobre 2012
  • 21h00 -Magic Mirrors
  • Samuel Bazawule aka Blitz the ambassador : lead
  • Raja kassis : guitare
  • Alexis hountondji : basse
  • Sydney driver : batterie
  • Ezra brown : sax
  • Clemens braun : trombone
  • Josiah woodson : trompette

Certains artistes repoussent les frontières des genres musicaux, d’autres s’en affranchissent totalement et cassent tous les moules. Quiconque a déjà entendu les arrangements et les capacités vocales uniques de Blitz The Ambassador le classe clairement dans cette dernière catégorie.

Leader d’un nouveau mouvement musical, mélangeant sonorités africaines, comme l’Highlife et l’Afrobeat, avec un son hip hop lourd et originel, Blitz The Ambassador ne transforme pas seulement le paysage musical, il amène une nouvelle voix au monde.

Né et élevé à Accra au Ghana, Blitz The Ambassador a grandi bercé par des influences diverses, allant du Jazz à la Motown en passant par le Highlife. Accompagné de son live band, The Embassy Ensemble, qui lui apporte une dimension supplémentaire sur scène, Blitz commence à être reconnu comme un des artistes les plus talentueux de notre époque.

DAVID LAISNÉ TRIO

  • Jeudi 25 octobre 2012
  • 12h30 – Magic Mirrors
  • Entrée Libre
  • David Laisné : claviers, saxophones
  • Thomas Grimmonprez : batterie
  • Aléxis Thérain : guitare

Ils ont chacun un parcours et un bagage musical impressionnants. Originaires de notre région, Ils se connaissent très bien et ont déjà partagé la scène à de nombreuses reprises. Les voici réunis encore à l’initiative de David Laisné avec un nouveau répertoire original, mélodique et coloré. On y retrouve l’influence des compositeurs néo-classiques (Ravel & Debussy) mais aussi celle de musiciens actuels (J. Scofield) avec du bon groove…

L’ambiance que dégage ce trio est à la fois très fine et toujours passionnée. Le jeu des musiciens reste toujours en faveur d’une musicalité intense, d’un partage fort, qui va au-delà des styles ; le public, même non accoutumé au Jazz, y sera sensible.

FRANCK AGULHON

Solisticks
  • Jeudi 25 octobre 2012
  • 18h30 – Maison Folie Hospice d’Havré
  • Parcours solo Jazz
  • Franck Agulhon : batterie

Le festival ou le club l’accueillent régulièrement. Et pour cause. A 42 ans, le batteur français Franck Agulhon est un musicien incontournable de la scène jazz internationale, offrant son exceptionnel talent à de nombreux projets de premier plan. Il est partenaire au long cours de Biréli Lagrène, Pierrick Pédron, Eric Legnini, Flavio Boltro, Sylvain Beuf, David El-Malek, Christophe dal Sasso, Pierre de Bethmann, Baptiste Trotignon, Pierre-Alain Goualch, Stefano di Battista…

Franck Agulhon enseigne à la Music Academy International de Nancy, où il développe depuis plusieurs années une approche artistique et pédagogique originale, illustrée par le projet « Solisticks », une série de pièces jouées en solo qui permet d’appréhender la batterie dans sa globalité.

GREGORY PORTER (plateau 1) /

HERBIE HANCOCK plugged in : A night of solo explorations (plateau 2)

  • Jeudi 25 octobre 2012
  • 20h00 – Théâtre Municipal Raymond Devos
  • Gregory Porter : voc
  • Yosuke Sato saxophones
  • Chip Crawford : piano, claviers
  • Aaron James : contrebasse
  • Emmanuel Harold : batterie

Wynton Marsalis a dit de lui qu’il était un « jeune chanteur fantastique ». Natif de Los Angeles, Gregory Porter est parfois comparé à Kurt Elling. Il préfère revendiquer son côté Gospel & Soul plus proche de Sam Cooke, Marvin Gaye ou encore Donny Hathaway. Il ne faut pas oublier, quand on parle de lui, ses premiers émois, son influence de toujours, le crooner Nat King Cole, avec qui il partage le goût pour les prouesses techniques et l’art d’une voix particulièrement envoûtante qui voyage entre jazz et soul. Grégory Porter présente un répertoire entre standards de jazz, chansons contestataires et soul. C’est l’une des vraies belles révélations de ces dernières années.

HERBIE HANCOCK plugged in : A night of solo explorations

  • Herbie Hancock : piano

Il avait enflammé le Théâtre Municipal de Tourcoing lors du festival de 2008 avec son sextet. Cette année, c’est en piano solo que le Tourcoing Jazz Festival accueillera ce géant du jazz. Est-il encore besoin de le présenter ? Compagnon de route de Miles Davis, Wayne Shorter, Ron Carter ou encore de Tony Williams, il a écrit quelques-unes des plus belles pages de l’histoire du jazz. Il est toujours un des pianistes et compositeurs les plus influents et importants. Alors, l’enthousiasme de le voir revenir à Tourcoing est intact, et la curiosité de l’entendre, seul à son piano sur la scène du Théâtre, est immense !

BERNARD ALLISON

  • Jeudi 25 octobre 2012
  • 21h00 – Magic Mirrors
  • Bernard Allison : Guitare & Chant
  • José James : Saxophone & Percussion
  • Erick Ballard : Batterie
  • Thomas Hunter : Clavier
  • Victor Jackson : Bass
  • Michael Goldschmidt : Guitare

Depuis bien longtemps Bernard Allison est sorti de l’ombre de son père, la légende du blues Luther Allison. Mais la transmission a opéré et l’héritage est bien là puisqu’il est considéré par beaucoup de ses pairs comme l’un des meilleurs guitaristes dans le monde du blues. Il faut dire qu’il accompagnait déjà son père sur scène à l’âge de 13 ans. Depuis, il a développé au fil des ans un son unique, avec une interprétation funky-rock du blues, un jeu de guitare slide et lead explosif, une voix énergique et de superbes compositions. Attention, les murs du Magic Mirrors vont trembler !

L’QUARTET

  • Vendredi 26 octobre 2012
  • 12h30 – Chapiteau Magic Mirrors
  • Entrée Libre
“Hommage à Miles Davis”
  • Jean-Robert Lay – trompette
  • Olivier Lovergne – Guitare électrique, samples
  • Sébastien Dochy – contrebasse, basse électrique
  • Ludovic Hennequin – batterie

Formé spécialement pour l’occasion, le quartet revisite la musique de Miles Davis sans retenue ni barrière de style ou d’époque. De “Porgy & Bess” à “Jack Johnson”, de “Birth of the cool” à “Tutu”, un seul mot d’ordre : s’approprier la musique pour en donner une lecture personnelle, sans nécessairement renier son esprit d’origine.

PIERRE DE BETHMANN Solo

  • Vendredi 26 octobre 2012
  • 18h30 – Maison Folie Hospice d’Havré
  • Parcours solo Jazz
  • Pierre de Bethmann : piano

Après la contrebasse, l’accordéon, la guitare, la batterie, ce parcours solo s’achève sur un instrument emblématique du jazz : le piano. Et c’est un des pianistes français les plus talentueux et aventureux qui se frottera à cet exercice solo, toujours simple en apparence pour ceux qui l’écoutent, mais si complexe – et parfois redouté – pour ceux qui s’y essaient.

Fondateur du trio Prysm, leader et compositeur de nombreux projets (le Ilium Quintet), Pierre de Bethmann est aussi un sideman très prisé. Il a travaillé aux côtés de Rosario Giuliani, Stéphane Huchard, Pierrick Pédron, Philip Catherine ou encore Aldo Romano.

TUUR FLORIZOONE & DIDIER LALOY duo

QUARTETO GARDEL (L.Suarez / V. Segal / A. Besson / M. Garay)

Nuit de l’accordéon

  • Vendredi 26 octobre 2012
  • 20h30 – Centre culturel mouscronnois
  • Nuit de l’accordéon
  • Tuur Florizoone : accordéon chromatique
  • Didier Laloy : accordéon diatonique

Rencontre entre deux grands, au propre comme au figuré, accordéonistes belges. Côté chromatique, Tuur Florizoone, musicien qui a étudié et assimilé tous les langages (classique, jazz, et surtout sud-américain par ses nombreux voyages au Brésil). Il est associé à l’accordéon diatonique, Didier Laloy, autodidacte, et sans doute le talent le plus indépendant et le plus occupé de Belgique.

QUARTETO GARDEL

  • Lionel Suarez : accordéon
  • Airelle Besson : trompette
  • Minino Garay : percussions
  • Vincent Segal : violoncelle

Après les deux accordéonistes les plus demandés de Belgique, voici l’un des accordéonistes les plus sollicité de France : Lionel Suarez. Accompagnateur de Sansévérino, André Minvielle ou encore Art Mengo, il est un musicien qui n’a pas de frontière. Il a imaginé ce spectacle à Toulouse en hommage à Carlos Gardel qui compte parmi les plus grand chanteurs et compositeurs de tango. L’occasion pour lui de se plonger dans l’univers du zorzal criollo (le rossignol sud-américain) dont le répertoire a bercé son enfance. Pour l’accompagner dans cette aventure, 3 musiciens de haut vol ; Minino Garay, Airelle Besson et Vincent Segal lui offrent leur singularité et leur talent.

MICHEL PORTAL – BOJAN Z DUO (plateau 1)

NICOLAS FOLMER & DANIEL HUMAIR PROJECT (plateau 2)

ALDO ROMANO QUARTET New Blood (plateau 3)

  • Vendredi 26 octobre 2012
  • 20h00 – Théâtre Municipal Raymond Devos
  • Michel Portal : saxophones
  • Bojan Z : piano

Ces deux grands musiciens se connaissent bien. Ils ont partagé la scène de nombreuses fois dans diverses formules et Bojan Z (Artiste de l’année aux Victoires du Jazz 2012) est devenu en quelques années le pianiste « attitré » de Michel Portal. Mais ce qui pousse ces deux artistes inclassables à la rencontre, c’est leur goût pour l’improvisation, pour la joute musicale, pour cet espace de liberté que leur offre le jazz. Chaque protagoniste se lance des défis dans un jeu de question – réponse cherchant sans cesse à se surprendre et à s’étonner. De ce duo, Michel Portal dit « Je laisse venir, je me laisse aller, je deviens…Avec Bojan, le jazz est une partie de tennis, de ping-pong…on est à l’écoute l’un de l’autre »

NICOLAS FOLMER & DANIEL HUMAIR PROJECT

  • Nicolas Folmer : trompette
  • Daniel Humair : batterie
  • Laurent Vernerey : contrebasse
  • Thomas Enhco : piano

Quand le grand trompettiste Nicolas Folmer rencontre le phénoménal batteur Daniel Humair qui a marqué l’histoire de la batterie moderne, cela donne une musique qui prend son essence dans le plaisir de jouer sur l’instant. Accompagnés du jeune pianiste prodige Thomas Enhco et du talentueux contrebassiste Laurent Vernerey, Nicolas Folmer et Daniel Humair nous font partager des morceaux de leur répertoire respectif, ainsi que des compositions communes inédites.

ALDO ROMANO QUARTET

New Blood
  • Aldo Romano : batterie
  • Baptiste Herbin : saxophone
  • Alessandro Lanzoni : pianiste
  • Michel Benita : contrebasse

Un nouveau projet pour le batteur Aldo Romano,qui, à 70 ans, multiplie les collaborations. Cette nouvelle formation lui ressemble particulièrement, lui qui n’aime rien tant que jouer avec la nouvelle génération du jazz (le saxophoniste Baptiste Herbin : 25 ans ! ou le jeune pianiste italien Alessandro Lanzoni, meilleur jeune soliste au concours international Martial Solal en 2010) et valeur sûre : Michel Benita à la contrebasse.

BERNHOFT

  • Vendredi 26 octobre 2012
  • 21h00 – Chapiteau Magic Mirrors
  • Jarle Bernhoft : voix, guitare, effets

Véritable star dans son pays, le chanteur norvégien Bernhoft est la révélation scandinave de cette année : multi instrumentiste, chanteur et compositeur, il a été révélé en France en première partie de Ben l’Oncle Soul. Véritable phénomène musical, il pousse l’art de l’homme-orchestre à son sommet par l’utilisation de machines, de pédales et une maîtrise remarquable des effets et des boucles. Seul sur scène, il nous mène dans son monde où se mêlent folk, soul et groove. Attention, la sensation soul venue des fjords risque de vous laisser bouche bée !

JOURNAL INTIME

  • Samedi 27 octobre 2012
  • 12h00 – Chapiteau Magic Mirrors
  • Entrée Libre
  • Sylvain Bardiau : trompette
  • Frédéric Gastard : saxophone basse
  • Matthias Mahler : trombone

Lauréat du Jazz Migration 2011, ce trio de cuivres est aussi un big band de jazz, ou une fanfare de poche, à moins que ce ne soit un orchestre symphonique, une guitare électrique ? Ce trio est en tout cas une sorte d’ovni musical qui dépoussière le jazz en soufflant une musique délicate et sauvage, qui danse, chante, chuchote et crie tout en rendant hommage à la musique de Jimi Hendrix.

JAZZ PLAYS EUROPE Laboratory #4

(Pays-Bas, Allemagne, Pologne, France, Belgique, Slovaquie, Luxembourg)
  • Samedi 27 octobre 2012
  • 15h00 – Maison Folie Hospice d’Havré
  • Entrée Libre sur réservation
  • Jérôme Klein : drums (music:LX / LU)
  • Guillermo Celano : Guitar (Try Tone / NL)
  • Štefan Bartuš : Double-Bass (Music Centre Bratislava / SK)
  • Nathan Daems : saxophone (JazzLab Series / BE)
  • Roman Babik : piano (Jazzwerkruhr / DE)
  • Mateusz Rybicki : clarinet (Jazztopad / PL)
  • Jean-Baptiste Berger : saxophone (Jazzus Productions / F)

Accueillie ces deux dernières années par le jazz club, cette initiative européenne aura cette fois lieu dans le cadre du festival. Son objectif ? faire vivre l’esprit jazz en créant, en improvisant, en explorant, en confrontant, pour proposer de nouvelles pistes et de nouvelles esthétiques qui feront peut-être le jazz européen de demain. Pour ce faire, chaque pays participant sélectionne un de ses meilleurs espoirs et tous se retrouvent en résidence avec l’impératif d’en sortir avec un répertoire cohérent et créatif pour entamer une tournée internationale.

SANDRA NKAKÉ “Nothing For Granted”

  • Samedi 27 octobre 2012
  • 18h00 – Chapiteau Magic Mirrors
  • Sandra Nkaké : voix
  • Jerome Dru : Flute, voix
  • Matthieu Ouaki : Guitare, voix
  • Armel Dupas : Clavier, voix
  • Kenny Ruby : Basse, voix
  • Thibaut Brandalise : Batterie

Révélation de l’année aux Victoires du Jazz 2012, voici une artiste explosive que le festival suit quasiment depuis ses débuts. A l’instar de China Moses, elle fait partie de cette nouvelle génération de chanteuses sans frontières, aux origines et aux cultures plurielles (Sandra Nkaké a grandi entre Paris et Yaounde au Cameroun). Avec son dernier projet « Nothing For Granted », entre jazz, énergie soul, feeling pop rock, Sandra Nkaké signe un répertoire de chansons imaginées et réalisées à la maison. Elle y conte des destins croisés, individuels ou collectifs, tous en proie à des choix existentiels. Autant d’histoires qui sont certainement le reflet de sa vie et de sa personnalité.

PASS 2 CONCERTS : Sandra Nkaké + Electro Deluxe (21h30) : 15 euros ! (en vente uniquement au bureau du festival ou par correspondance)

JACQUES SCHWARZ-BART “The art of dreaming” (plateau 1)

CHINA MOSES & RAPHAEL LEMONNIER QUINTET (plateau 2)

  • Samedi 27 octobre 2012
  • 20h00 – Théâtre Municipal Raymond Devos
  • Jacques Schwarz-Bart : saxophone
  • Baptiste Trotignon : piano
  • Thomas Bramerie : contrebasse
  • Hans van Oosterhout : batterie

Jacques Schwarz-Bart est un musicien de premier plan par son apport original à cette musique. Le voici avec un album en quartet dans lequel il mêle avec bonheur de nombreuses compositions nouvelles. Autour de liaisons entre rêve et musique, le saxophoniste brode quelques-unes de ses plus belles mélodies. « Selon Carlos Castaneda, les sorciers Toltèques développaient l’art de rester éveillés dans leurs rêves, afin de voyager dans des mondes parallèles, de mieux percevoir le monde humain. En lisant son livre intitulé The Art of Dreaming, j’ai immédiatement dressé un parallèle avec l’effort du musicien, qui consiste non pas à se réveiller dans le rêve, mais à rêver éveillé… Partager ce rêve avec les autres musiciens et les auditeurs…Le résultat est organique, contrasté et souvent orgasmique, comme je l’avais rêvé! » Jacques Schwarz-Bart

CHINA MOSES & RAPHAEL LEMONNIER QUINTET

  • China Moses : chant
  • Luigi Grasso : sax alto
  • Raphael Lemonnier : piano
  • Fabien Marcoz : contrebasse
  • Jean Pierre Derouard : batterie

Fille de la chanteuse Dee Dee Bridgewater, China Moses est née à Los Angeles en 1978. Elle a déjà réalisé trois albums dont le dernier s’intitule Good Lovin’. Elle allie un répertoire soul en français et en anglais, teinté de rock et de blues. Après la création de leur nouveau spectacle « Women In Blues », en mai 2012 au Théâtre du Vésinet, China Moses et Raphaël Lemonnier présenteront un nouveau répertoire. Tout en continuité, ils y déclinent leur hommage à Dinah Washington et aux grandes dames du jazz (Billy Holiday, Abey Lincoln…) en allant rechercher les influences de celle que l’on appelait “The Queen of Blues”.

ELECTRO DELUXE

  • Samedi 27 octobre 2012
  • 21h30 – Chapiteau Magic Mirrors
  • Arnaud RENAVILLE : Batterie
  • Jeremie COKE : basse
  • Gael CADOUX : claviers
  • Thomas FAURE : saxophone
  • Vincent PAYEN : trompette
  • James COPLEY : chant
  • Bertrand LUZIGNANT : trombone

Electro Deluxe est composé de six musiciens parmi les plus actifs de la scène musicale française (ils collaborent les musiciens aux côtés de Jonasz, Ben l’Oncle Soul, Sixun…). Depuis 2001, le groupe a fait évoluer le son électro-jazz de ses débuts en une musique unique et originale, cocktail survitaminé de soul et de funk, au caractère reconnaissable entre tous.

PASS 2 CONCERTS : Sandra Nkaké (18h00) + Electro Deluxe : 15 euros ! (en vente uniquement au bureau du festival ou par correspondance)

Le Tourcoing Jazz Festival et l’Aéronef présentent : RAUL MIDON

  • Lundi 29 octobre 2012
  • 20h00 – L’Aéronef – Lille
  • Raul Midon : voix, guitare

“Un homme libre au-dessus de toute catégorie” (The Huffington Post). C’est ce qui décrit le mieux ce musicien unique, chanteur, auteur-compositeur et guitariste qu’est Raul Midón. Son son jazz, soul, blues ou pop hors du temps lui vaut la reconnaissance du public. Cet artiste, non voyant depuis sa plus tendre enfance, est doué pour défier les genres. Il a voyagé autour du globe, de l’Inde à l’Indiana, pour défendre son message d’espoir “Vous pouvez le faire, vous pouvez être vous-même, et être reconnu pour cela“.

Après trois albums très remarqués “State of Mind”, “A World Within A World”, “Synthesis” et plusieurs apparitions auprès d’autres d’artistes de renommée mondiale, tels que Herbie Hancock, Stevie Wonder, Marcus Miller, Roberta Flack, Jason Mraz… Raul Midón a su s’imposer dans le paysage musical actuel avec une seule idée : toujours donner le meilleur de soi-même et ceci surtout pour le public.

Programmation de l’Aéronef : c’est par ici !

JOHN McLAUGHLIN & The 4th Dimension

  • Mardi 30 octobre 2012
  • 20h30 – Le Colisée Théâtre de Roubaix – 20h30
  • John McLAUGHLIN : guitare
  • Gary HUSBAND : claviers et batterie
  • Etienne MBAPPE : basse
  • Ranjit BAROT : batterie

Guitariste de renommée internationale, John McLaughlin a joué avec les plus grands et dans des contextes très différents : jazz rock aux côtés de Tony Williams ou encore Miles Davis (sur le mythique album Bitches Brew), musique indienne avec Zakir Hussain et Billie Cobham (dans le mythique Mahavishnu Orchestra)… La figure de John Coltrane et de son oeuvre “A Love Supreme” est omniprésente chez lui et participe de sa quête musicale et spirituelle. Le groupe “4th Dimension” est l’aboutissement de beaucoup d’années de collaborations entre des musiciens de traditions, d’horizon et de cultures différentes (Est et Ouest). La musique de ce groupe intègre avec brio ces influences particulières, dans la tradition de la spontanéité que l’on trouve dans le jazz.